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« - Comment ca tu en avais marre d’attendre ? Tu attendais quoi au juste. S’offusqua-t-elle.

Jay prit tout son temps, mais lorsqu’il finit par répondre, elle se dit que son attente était vraiment récompensée.

- J’attendais seulement que tu me désires autant que je te désirais. »

Source Lune&Plume

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-01T12:06:24+02:00

Chaque traque était aussi unique que la fille elle-même.

Il valait mieux ne jamais prélever deux filles de la même façon. Ni au même endroit.

Mais c’était devenu de plus en plus difficile ces derniers temps, car ses absences au travail passaient de moins en moins inaperçues. Il s’était donc vu contraint de chasser plus près de chez lui, ce qui l’obligeait à prendre plus de précautions. Il devait se montrer encore plus consciencieux. Scrupuleux.

Cela dit, il n’était jamais brouillon ; cela allait à l’encontre de tous ses préceptes.

l effleura du doigt le tranchant de son couteau Ka-Bar. Il savait qu’il n’aurait pas à s’en servir ; l’effet terrifiant que produisait cette arme sur les filles suffisait à obtenir d’elles une soumission totale. Le seul fait de caresser la lame en acier le stimulait comme aucune femme ne l’avait jamais fait.

Il fourra le couteau militaire dans sa « trousse à outils », un sac de marin qu’il emportait toujours avec lui lors de ses traques, avec un rouleau de ruban adhésif et des liens en plastique.

Il n’avait rien contre ces mesures de sécurité supplémentaires. En réalité, pour une raison qu’il ignorait, devoir débusquer des filles aussi près de son travail et de son domicile ajoutait encore à l’excitation. C’était pervers et mal. Et ça lui plaisait.

Il se regarda une dernière fois dans la glace avant de se diriger vers la porte.

La chasse était ouverte.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-01T12:05:08+02:00

Ils rentrèrent sans se presser, flânant nonchalamment le long du rivage à l’écart des bateaux plus rapides. Il fallut plus de temps que d’habitude à Violet pour se rendre compte que le trajet qu’elle empruntait n’était pas anodin, qu’elle était aiguillée… attirée.

Quelque chose l’appelait.

Quelque chose de mort.

Elle ne dit rien à Jay, surtout parce qu’il n’y avait encore rien à dire. Elle se concentra plutôt sur l’endroit d’où l’appel pouvait provenir. Il était puissant, plus puissant qu’elle n’aurait cru de la part de quelque chose qui reposait sous l’eau, et elle se demanda si cela signifiait que cette créature était morte très récemment.

Scrutant l’eau à la recherche d’un signe, d’un indice sensoriel à même de la guider, elle suivait cette force qui l’aimantait, qui l’avait entraînée jusqu’ici presque malgré elle. Elle ne discernait ni goût ni odeur incongrue. Aucun son inexpliqué ne lui parvenait… du moins pas par-dessus le bruit du moteur.

Il lui sembla apercevoir quelque chose devant elle non loin de la berge, à proximité d’une épaisse touffe d’herbe et de roseaux. Cela ressemblait à une grande nappe d’essence affleurant à la surface du lac. La substance avait pu fuir du réservoir d’un bateau, sa présence en cet endroit n’avait rien d’exceptionnel. Violet s’approcha néanmoins, désireuse d’y jeter un coup d’œil.

Jay ne lui posa pas de questions ; il était simplement heureux d’être du voyage, comme d’habitude.

Mais plus Violet avançait et moins cela ressemblait à du carburant. Cela avait bien l’aspect huileux et luisant de l’essence et déployait un arc-en-ciel de couleurs à la surface de l’onde ridée par les vagues. Mais quelque chose ne collait pas.

Une fois arrivée sur place, elle prit garde à ce que les herbes ne se coincent pas dans le moteur et se pencha par-dessus bord pour s’assurer que le jet-ski n’allait pas s’échouer.

Elle ressentait le besoin de voir ce qui se trouvait là.

— Qu’est-ce que tu regardes ? finit par demander Jay sans grand intérêt.

Il avait l’habitude des errances de Violet.

— Aucune idée, répondit-elle laconiquement, trop dévorée par la curiosité pour s’aventurer dans une explication plus élaborée.

Elle s’arrêta et se mit debout. Une lumière multicolore semblait irradier de sous la surface, jaillissant du cœur des roseaux, avant de se disperser une fois à l’air libre. L’adolescente n’avait jamais rien vu de tel.

Il ne pouvait s’agir que d’une seule chose.

Un cadavre gisait là-dessous.

Elle pensa d’abord à un canard, ou même à un gros poisson qui aurait dérivé dans le bouquet d’herbes. La lumière chatoyante continuait de jouer avec les vagues depuis le fond de l’eau, avant de s’évaporer en une brume fine et colorée au moment de franchir la surface et de disparaître complètement. Violet s’efforçait de voir à travers la végétation touffue.

Elle crut apercevoir quelque chose en émerger furtivement. Elle sauta dans l’eau pour en avoir le cœur net, malgré la peur qui la tenaillait.

— Qu’est-ce qu’il y a, Vio ? s’inquiéta Jay. Reviens, j’y vais.

Mais c’était trop tard. Violet avait déjà vu. Et elle pataugeait dans l’eau en direction de cette chose qui se cachait dans les roseaux à proximité de la rive.

Des yeux laiteux la fixaient, creusés dans une peau épaisse, pâle et boursouflée. Un écho mortuaire créait un halo de lumière éthérée tandis qu’un entrelacs de longs cheveux rayonnaient autour de la tête de la jeune fille.

Violet poussa un cri au moment même où Jay la rejoignait. Celui-ci l’entoura de ses bras et la tira en arrière pour aller chercher du secours.

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« - Je ne peux pas me permette de te perdre, expliqua-t-il avec un haussement, comme si ce n’était pas la chose la plus merveilleuse qu’il avait donné à entendre a Violet.

Surtout pas maintenant que tu es enfin à moi. »

Source Lune&Plume

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Extrait ajouté par chlxe_bt 2017-10-08T08:40:59+02:00

"Ces corps reposaient en paix. Arrachés trop tôt à ce monde mais enterrés par ceux qui les aimaient. Ils étaient en harmonie."

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Allongée sur le ventre en travers de son lit, elle essayait de se concentrer sur une équation quand sa mère frappa à la porte. Violet fit la sourde oreille. Elle ne se sentait pas la force de s'entendre dire que garder ses sentiments pour soi était mauvais pour la santé et bloquerait ses chakars. Mais il en fallait plus a sa mère pour s'avouer vaincue et elle toqua à nouveaux... plus fort cette fois-ci.

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Extrait ajouté par Rosara 2013-10-11T18:00:42+02:00

Il lui fallut une éternité pour se doucher, se brosser les dents et s'habiller-sa routine habituelle avant une journée de lycée. Lorsqu'elle inspecta son reflet dans le miroir et remarqua les cernes noirs sous ses yeux, elle ressentit encore une fois l'envie irrépressible de retourner se glisser sous les couvertures.

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Extrait ajouté par Eriella 2013-09-29T01:43:03+02:00

Déjà minuit et quart, et il était d'humeur massacrante.

Rien ne s'était passé comme il l'avait espéré. Il n'avait pas croisé une seule candidate prometteuse depuis la tombé de la nuit.

C'était ce qu'il avait craint. Pas tant ne pas trouver de fille, mais que ses choix seraient limités, ses options moins attrayantes. Littéralement. Il avait une préférence pour celle qui étaient jolies.

Il savait que la nouvelle des disparitions s'étaient répandue, et les familles surveillaient leurs brebis de plus près. Mais toute règle avait ses exceptions. Les faibles et les idiots finissaient toujours par s'écarter du troupeau.

Toutes les adolescentes qu'il avait vues se soir-là soit se déplaçaient en groupe, soit ne valaient pas la peine de se fatiguer.

Il s'apprêtait à plier boutique lorsqu'il la vit. Elle traversait la rue dans l'obscurité. Seule. Et jolie.

Il ne perdit pas une seconde.

-Vous voulez que je vous ramène? demanda-t-il par la vitre baissée, ralentissant pour rouler à sa hauteur.

-Merci, ça va aller, répondit-elle, lui jetant un bref coup d’œil par politesse. J'habite juste un peu plus bas.

-Ça ne me dérange pas. Pour tout vous dire, je serais rassuré si vous me laissiez vous raccompagner.

Elle ralentit sans s'arrêter pour autant.Il voyait bien qu'elle flanchait, mais c'était encore insuffisant.

-Par les temps qui courent, ajouta-t-il. Vous savez, ces filles que l'on a retrouvées...

Il laissa sa phrase en suspens, espérant instiller en elle un peu de peur. Mais il avait dû se tromper sur son compte.

Si la peur était bel et bien là, ce n'était pas celle sur laquelle il avait misé.Il aperçut une lueur d'affolement sur son visage, et il ne put s'empêcher de se demander ce qu'elle avait vu en lui que les autres n'avaient pas décelé.

Elle accéléra le pas et il la vit fouiller nerveusement dans sa poche. A la seconde où elle extirpa ce qu'elle cherchait, il sut ce que c'était. Son téléphone portable.

Elle voulait appeler à l'aide.

Il ne pouvait pas la laisser faire, et il lui fallait agir vite s'il voulait l'en empêcher.

Il enfonça la pédale de frein et serra le frein à main.Il n'était pas encore descendu de la voiture que la fille détala.

Cette petite garce était rapide.

Il s'élança à ses trousses, ses lourdes bottines martelant le trottoir. L'avance qu'elle avait pris au départ ne tarda pas à s'effacer devant l'agilité de son poursuivant.

Sans compter qu'il est toujours plus simple d'être dans la peau du prédateur que dans celle de la proie.Les proies paniquent.

Il la percuta par-derrière et l'entendit pousser un petit cri aigu quand il la plaqua au sol et que ses poumons se vidèrent sous son poids.Le téléphone portable ricocha de l'autre côté de la rue.

Il lui couvrit la bouche sans lui laisser le temps de reprendre son souffle. C'était déjà assez catastrophique comme ça qu'elle ait couru; il n'avait pas besoin qu'elle cri par-dessus le marché.

Il roula rapidement sur le dos, l’entraînant avec lui pour l'avoir sur sa poitrine pendant qu'il scrutait les environs à l’affût d'éventuels témoins.Cette situation avait tout d'un désastre en puissance; il venait peu être de commettre l'erreur qu'il avait réussi à éviter pendant tout ce temps.

Mais ils étaient toujours seuls. Rien que tous les deux.

Elle avait beau se débattre comme une furie, il savait qu'elle avait conscience de sa supériorité. On aurait dit une poupée de chiffon s'agitant inutilement dans ses bras. Il resserra malgré tout son étreinte, se retenant de l'étouffer.

D'un seul mouvement il se remit sur ses jambes et la releva avec lui.Le moteur de sa voiture tournait toujours. Le véhicule était bien trop visible avec ses phares illuminant la rue obscure.

Il était en colère contre cette fille. Elle n'aurait pas dû courir.Elle n'était pas censée faire ça; aucune n'était censée faire ça.

Elle lui avait gâché sa traque...gâcher son plaisir.

Il se pencha à l'intérieur de la voiture et ouvrit le coffre. Il se fichait pas mal d'elle-cette maudite fille-, elle ne méritait ni sa sollicitude ni ses paroles de réconfort.

En voyant où il l'emmenait, elle le roua de coups de pied. Il la poussa violemment contre le rebord du coffre avant de la balancer à l'intérieur, laissant sa tête heurter la carrosserie au passage.Elle profita de la fraction de seconde où il ôta sa main de sa bouche pour essayer de crier, mais un poing atteignit sa mâchoire sans laisser au son le temps de gagner en amplitude. Son cri sortit en un gémissement douloureux.

Le plaisir revenait.

Il procéda rapidement, attrapant sa trousse à outils et déchirant un morceau de ruban adhésif. Elle secoua vivement le tête pour y échapper, mais il lui agrippa les cheveux et lui tira la tête en arrière d'un coup sec, la réduisant au silence une bonne fois pour toutes.

Les liens en plastique la privaient de l'usage de ses mains et de ses pieds, faisant d'elle la victime docile qu'il affectionnait.Il regarda la fougue quitter ses yeux.Elle lui lança un regard implorant.

Il se sentit beaucoup mieux.

Pris d'un élan de compassion, il tenta de la rassurer en lu caressant le visage. Mais à peine l'eut-il effleurée que la panique la reprit et qu'elle rua de plus belle, tirant sur ses liens.

"Garce, la maudit-il en silence.Sale petite garce!"

Il claqua le coffre avec force, heureux d'en avoir fini avec elle.Il était fatigué de l'observer. Tant pis pour elle si elle avait peur ou si elle souffrait.

Il était sur d'une chose...lorsqu'il la reverrait, elle ne se débattrait plus.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-01T12:08:14+02:00

— Je ne les ai pas vraiment tuées, tu sais ?

Il l’observa, guettant sa réaction.

Elle ne savait pas si elle devait mordre à l’hameçon. Mais ses explications énigmatiques commençaient à se tarir, et la curiosité était un désir puissant. Il n’avait aucun moyen de savoir qu’elle voyait clair dans son mensonge.

— Je ne vous crois pas, dit-elle platement.

— C’est pourtant vrai. Enfin ça l’était. C’était lui le tueur, expliqua-t-il, faisant allusion à son partenaire. Je les débusquais et les lui apportais sur un plateau. La traque. C’est ce que j’aimais. C’est ce qui me faisait vibrer. Le reste, du moins jusqu’au moment de se débarrasser des corps, c’était son affaire.

Il en parlait comme si ces filles ne représentaient rien. Leurs vies n’avaient aucune valeur à ses yeux ; elles étaient des pièces de gibier qui, une fois capturées, ne lui étaient plus d’aucune utilité.

Elle comprit soudain pourquoi l’autre homme était bardé d’empreintes, comme drapé dans un immense patchwork. Cela ne l’avait pas effleurée jusque-là, mais si elle avait eu le temps d’y réfléchir calmement, elle s’en serait aperçue. Cet homme, ce policier devant elle, ne portait qu’un seul écho.

Mais alors à qui appartenait-il ?

C’était une question qu’elle ne pouvait pas se permettre de lui poser.

Mais elle n’eut pas besoin de se donner ce mal.

— Tu sais, la fille qu’ils cherchaient dans les bois ? Ils ne la trouveront jamais.

Violet le dévisagea. Il sourit à nouveau, imperceptiblement, et elle en eut la chair de poule.

— J’ai toujours pris toutes les précautions nécessaires. Je ne me suis jamais débarrassé de deux filles au même endroit, de la même manière. Pas une fois. Sauf là. Sauf avec elle. Elle a été ma première victime, et ils ne penseront jamais à la chercher à l’endroit où mon partenaire montait la garde auprès de la fille McDonald.

Son sourire s’élargit, dévoilant le temps d’un éclair une rangée de dents blanches étincelantes.

— Et ils ne te trouveront jamais non plus.

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Extrait ajouté par Jenna95 2013-09-01T12:07:47+02:00

— Ton père m’a raconté ce qui s’est passé aujourd’hui… dans les bois. Il m’a dit que tu étais remontée jusqu’au type qui a tué toutes ces filles… que tu t’étais mise en danger.

Violet n’arrivait pas à déterminer s’il était agacé ou en colère… ou les deux. Il se passa nerveusement la main dans les cheveux, signe d’une agitation grandissante.

— Et ce n’est pas la première fois que tu fais ça. Les ennuis semblent te suivre à la trace, et tu es la seule à t’en moquer. Je ne veux même pas imaginer ce qui serait arrivé si je n’avais pas débarqué hier soir pour empêcher Grady de… t’agresser.

Il marqua une pause, comme bouleversé à cette seule pensée, avant de continuer à fulminer :

— Tu n’es même pas capable d’aller au centre commercial sans prendre de risque. J’ai fait une promesse à tes parents, et toi tu disparais sans même me dire où tu vas.

La voix de Jay devint soudain si grinçante que Violet eut l’impression qu’il faisait crisser ses ongles sur un tableau noir. Son ton accusateur la fit frémir. Jay n’était tout à coup plus le seul à être en colère.

— Et toi, tu m’as ignorée pendant une semaine ! contre-attaqua-t-elle. Tu voulais me faire passer quel message, au juste ? J’ai attendu toute la semaine que tu daignes m’adresser la parole. Et tout ça parce que je ne t’avais pas demandé la permission ? Tu n’as pas à me dire ce que j’ai le droit de faire ! Tu n’es pas mon père, je te rappelle.

— Me voila rassuré, mademoiselle Ambrose, rétorqua-t-il, ironique. Ce serait l’angoisse, si tu commençais à me confondre avec ton père.

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