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Je suis face au diable et je ne peux pas montrer la moindre faiblesse.
Afficher en entier- Ces pétasses n'étaient rien pour moi. J'avais juste besoin de me détendre puisque tu n'avais pas répondu à ma demande.
- En couchant avec deux autres femmes ?
- Bien sûr, Mia. Un homme a sa fierté. Tu avais blessé la mienne, répond-il comme s'il était de son droit de coucher avec les premières venues.
- Alors, tu t'es tapé deux putes pour te donner l'impression d'être un homme ?
Afficher en entierMon Dieu, je déteste l'entendre m'appeler ainsi. Il passait son temps à me dire combien j'étais belle et que jamais aucune autre femme ne pourrait lui plaire après moi. Bien sûr, c'était sans parler de sa secrétaire et de sa sœur jumelle. Qui se tape deux sœurs, de toute façon ? C'est dégoûtant.
Afficher en entierMon Dieu je vous en supplie, laissez-le vivre, s'il vous plaît. Faîtes qu'il puisse revenir à moi.
Afficher en entierRien ne va changer, Mads. Rien. C'est toujours toi et moi contre le reste du monde, d'accord ?
Afficher en entierJe n'ai jamais eu personne sur qui compter, quelqu'un qui laisserait tout tomber pour être avec moi.
Afficher en entierQuand on aime autant une personne, on se soucie de son bonheur avant le sien. On fait des sacrifices. C'est un échange, bien sûr, mais ça fait partie de la vie de famille, d'une vie à deux.
Afficher en entier- Ta mère n'a jamais été bien dans sa tête, ma poupée, et tu le sais. Au fond de toi, tu sais qu'elle n'était pas faite pour avoir des enfants et mener une vie de famille. Son esprit avait besoin d'être libre de tout, sinon elle se sentait emprisonnée.
- Attends, tu lui trouves des excuses ?
Afficher en entier- Tu m'as apporté un jeu avec des chiffres ? À moi ?
Elle sourit jusqu'aux oreilles et feuillette les pages du magazines.
- Je ne sais pas. Le caissier du supermarché était canon et on s'est mis à parler. Je lui ai dit ce que je cherchais et il m'a montré tout ces trucs, alors j'ai tout pris et j'ai flirté avec lui, dit-elle en regardant par la fenêtre comme si elle y repensait. Bref, il a dit que c'était son jeu préféré, qu'il adorait essayer de résoudre les énigmes, bla-bla-bla. J'étais surtout occupée à regarder ses lèvres bouger et à rêver qu'il les pose sur ma... dit-elle en désignant son entrejambe.
- Gin ! je m'écrie en regardant papa. meuf, il t'entend, tu sais !
- Ah bon ? Tu crois ?
- Oui. Alors, ne parle pas de tes fantasmes avec le caissier.
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