Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre
navigation
sur
notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces
outils,
nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des
publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et
l'art.
Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans
ces
domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des
offres
pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien
vouloir
désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à
vous
fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et
tendances de
la
littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités
et
cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre
option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée,
sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement,
cliquez ici.
Là, je ne comprends pas la hype, l’histoire est complètement téléphonée, pleine d’incohérences et bon sang (!) les répétitions ont fini par me sortir par les yeux. Typiquement, la construction Wattpad, qui n’a pas a été fluidifié avant de passer à l’étape de l’édition.
Partant de là, tout de même je dois dire que le concept initial est prometteur.
L’idée des compagnons « captives » qui accompagnent en binôme les membres d’une société secrète y a un truc, c’est pas mal. Là où ça se délite, c’est quand l’autrice tente d’expliciter et légitimer les rôles de ces dernières. Pour cela, elle utilise l’héroïne néophyte qui vient d’intégrer l’ordre, Ella. C’est une méthode qui permet au lecteur de découvrir la cosmogonie imaginée par l’autrice, ça marche toujours.
Là, on comprend qu’il y a un avant et après dans la vie d’Ella, et qu’elle a été bernée sur ces premières années en tant que « captive », OK, d’accord, mais dans ce cas, s’il n’y a pas eu consentement au départ, il aurait fallu lui rendre sa liberté, non ? Rapidement ça m’a donné l’impression que l’autrice abandonnait son concept, en tentant de dorer cette étiquette de « captive ».
Ce qui m’a beaucoup gênée aussi, c’est que le titre de « captive » semble être réservé aux femmes, OK, donc dans cette société secrète tous les « fonctionnaires » du crime sont des hommes ? On en est 1990 là ou ?
D’ailleurs, la société ne m’a pas semblé crédible trois minutes, entre les Illuminati et la mafia, il faut choisiiiiir.
Asher, à la tête de cette dite organisation… non, mais non.
Le mec détestable le jour est mignon une minute la nuit. Chérie, il est juste toxique, quels que soient son passé, ses traumas, ses doutes… c’est un con violent et hystérique. Sa mauvaise humeur, ça va bien deux minutes, après c’est lassant. Le côté possessif alors que détestable… c’est tortu, ce ne sont pas les bons signaux !
Franchement, j’ai regretté qu’il ne soit pas mystérieux et taiseux tant il a fini par me taper sur le système.
Ella, elle, mise à part la trouver immature, je l’ai trouvée au service d’Asher. Elle existe pour le mettre sur un piédestal, #ColleenHooverStyle. Hallucinant : elle échappe au pire grâce à une transaction douteuse (et restée inexpliquée), à aucun moment elle ne tente de se barrer ? Concrètement : la meuf elle sort d’une cave quasiment, survivante de mille et un vice sur sa personne et elle n’est pas combative pour un sou ? Arrêtez ! Ce qui m’a achevé c’est la confrontation avec Éric, le mec repart ni vu ni connu.... La sœur ne pose pas de questions, le mec possessif non plus. OSEF. Catastrophique cette galerie de personnages, je sauve Ben et Kiera, le reste entre antipathique et carpette… ils étaient justes trop fatigants.
Bon.
Un concept intéressant au service d’une histoire qui ne va pas au bout du potentiel, dont la construction en épisode, sans rendre la lecture indigeste et la structure chaotique, la prive de fluidité.
Non, nooooooon, mais non !
Là, je ne comprends pas la hype, l’histoire est complètement téléphonée, pleine d’incohérences et bon sang (!) les répétitions ont fini par me sortir par les yeux. Typiquement, la construction Wattpad, qui n’a pas a été fluidifié avant de passer à l’étape de l’édition.
Partant de là, tout de même je dois dire que le concept initial est prometteur.
L’idée des compagnons « captives » qui accompagnent en binôme les membres d’une société secrète y a un truc, c’est pas mal. Là où ça se délite, c’est quand l’autrice tente d’expliciter et légitimer les rôles de ces dernières. Pour cela, elle utilise l’héroïne néophyte qui vient d’intégrer l’ordre, Ella. C’est une méthode qui permet au lecteur de découvrir la cosmogonie imaginée par l’autrice, ça marche toujours.
Là, on comprend qu’il y a un avant et après dans la vie d’Ella, et qu’elle a été bernée sur ces premières années en tant que « captive », OK, d’accord, mais dans ce cas, s’il n’y a pas eu consentement au départ, il aurait fallu lui rendre sa liberté, non ? Rapidement ça m’a donné l’impression que l’autrice abandonnait son concept, en tentant de dorer cette étiquette de « captive ».
Ce qui m’a beaucoup gênée aussi, c’est que le titre de « captive » semble être réservé aux femmes, OK, donc dans cette société secrète tous les « fonctionnaires » du crime sont des hommes ? On en est 1990 là ou ?
D’ailleurs, la société ne m’a pas semblé crédible trois minutes, entre les Illuminati et la mafia, il faut choisiiiiir.
Asher, à la tête de cette dite organisation… non, mais non.
Le mec détestable le jour est mignon une minute la nuit. Chérie, il est juste toxique, quels que soient son passé, ses traumas, ses doutes… c’est un con violent et hystérique. Sa mauvaise humeur, ça va bien deux minutes, après c’est lassant. Le côté possessif alors que détestable… c’est tortu, ce ne sont pas les bons signaux !
Franchement, j’ai regretté qu’il ne soit pas mystérieux et taiseux tant il a fini par me taper sur le système.
Ella, elle, mise à part la trouver immature, je l’ai trouvée au service d’Asher. Elle existe pour le mettre sur un piédestal, #ColleenHooverStyle. Hallucinant : elle échappe au pire grâce à une transaction douteuse (et restée inexpliquée), à aucun moment elle ne tente de se barrer ? Concrètement : la meuf elle sort d’une cave quasiment, survivante de mille et un vice sur sa personne et elle n’est pas combative pour un sou ? Arrêtez ! Ce qui m’a achevé c’est la confrontation avec Éric, le mec repart ni vu ni connu.... La sœur ne pose pas de questions, le mec possessif non plus. OSEF. Catastrophique cette galerie de personnages, je sauve Ben et Kiera, le reste entre antipathique et carpette… ils étaient justes trop fatigants.
Bon.
Un concept intéressant au service d’une histoire qui ne va pas au bout du potentiel, dont la construction en épisode, sans rendre la lecture indigeste et la structure chaotique, la prive de fluidité.
Afficher en entier