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-Quoi? Beaucoup de détectives privés portent une arme.

-Quand ils sont en pyjama?

Je ronchonnai.

-Oui. Surtout si ce sont des pyjamas Star Wars que ton flingue ressemble justement à un blaster.

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"Pourquoi tuer les gens avec gentillesse quand on peut utiliser une hache ?" Tee-shirt

Je me tenais dans une zone un peu moins peuplée de l'entrepôt, toujours aussi confuse. Il habitait avec elle ? Cette femme ? Cette sale harceleuse psychopathe ? Dire que j'étais étonnée aurait été le plus gros euphémisme depuis « Houston, nous avons un problème ». J'étais abasourdie. Mais, nom d'un chien, il habitait avec elle ? Ma jalousie semblait sans fin, et je détestais ça. J'aurais encore préféré être attaquée par des fourmis de feu enragées plutôt que d'être jalouse. Cette émotion superflue était une combinaison de peur, de rage, d'humiliation, et d'un manque de confiance en soi. Je baissai les yeux pour observer l'étendue des attributs féminins dont j'étais pourvue, également connus sous le nom de Danger et Will Robinson. De toute évidence, je n'avais aucune raison de manquer d'assurance.

Même si je n'avais aucune envie de voir Reyes se battre à nouveau, je me glissai dans un coin sombre pour faire exactement ça. Il ne serait pas en mesure de me remarquer d'aussi loin et ne péterait pas une durite. Fort heureusement, la plateforme était assez haute pour que je ne rate rien de l'action par-dessus la foule de spectateurs. Mais je grimpai tout de même sur une poutre métallique cimentée dans un pylône, m'y accrochai et me mis à chercher Reyes.

Il parla à son entraîneur puis se retourna pour entrer dans la cage, mais il s'arrêta après avoir fait un pas. Baissa les yeux. Prit une profonde inspiration. Puis il lança un regard menaçant dans la direction exacte où je me situais. Je me recroquevillai le plus loin possible dans le coin. Comment est-ce qu'il aurait pu me voir ? Peut-être qu'il dévisageait quelqu'un d'autre. Il pencha la tête sur le côté avant de lever un long bras qu'il pointa en direction de la sortie.

Comme s'il s'agissait d'une vague chorégraphiée, la marée de têtes se tourna pour suivre son geste. Je me tournai également, histoire qu'ils ne remarquent pas que c'était moi qu'il désignait. Quand je pivotai à nouveau, il avait croisé les bras et me lançait un regard furieux. Je sautai en bas du pylône et croisai les bras à mon tour. Sauf que les miens l'étaient par défi. S'il voulait à ce point que je parte d'ici, il n'avait qu'à me traîner à la porte lui-même.

Non, une minute, ce n'était sûrement pas une bonne idée.

Avant que j'aie le temps de décider de ce que j'avais envie de faire, la foule recommença à pousser des hurlements parce que l'adversaire de Reyes sortait de la pièce à l'autre bout de la salle. Il détourna son attention quand un homme émergea de l'escalier. Je comprenais aisément pourquoi. Il était encore plus imposant que le précédent, plus musclé. Reyes était grand, mais il était mince, robuste, taillé pour la vitesse autant que pouf la force. Ce type n'était que force. Il ressemblait plus à un bodybuilder professionnel qu'à un lutteur. Et aussi impressionnante que soit la stature de Reyes, son adversaire devait bien faire dix centimètres de plus.

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Après avoir trouvé une place, je me garai derrière le salon de tatouage en face d'un signe qui stipulait « Interdiction de stationner ». Dans la mesure où il n'expliquait pas clairement à qui il s'adressait, je me disais qu'il était possible que ce ne soit pas à moi.

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Je venais de reprendre la route de la maison - après un arrêt au drive-in pour un mocha latte -remplie de cette énergie flambant neuve lorsque mon portable sonna.

— Oui ? répondis-je en acceptant l'appel, bien qu'il soit illégal de téléphoner au volant dans les limites de la ville.

Tout en observant les alentours à la recherche d'éventuels policiers, j'attendis qu'oncle Bob ait fini de s'entretenir avec quelqu'un d'autre et remarque que j'étais en ligne.

Mon oncle Bob, ou Obie, comme je préférais le surnommer, était détective pour l'APD, et je l'aidais de temps à autre sur certaines affaires. Il savait que j'étais en mesure de voir les défunts et utilisait ce détail à son avantage. Je ne pouvais pas trop le lui reprocher.

— Amène-lui ça, et ensuite appelle le légiste, presto.

— OK, répondis-je. Mais je ne sais pas trop ce que ça va donner si j'appelle le légiste presto. Je suis pratiquement certaine qu'il s'appelle George.

— Oh, salut Charley.

— Hey, oncle Bob. Quoi de neuf ?

— Tu es en train de conduire ?

— Non.

— Tu as entendu quelque chose ?

Nos conversations ressemblaient souvent à ça. Oncle Bob et ses questions aléatoires. Moi qui essayais de lui donner des réponses tout aussi aléatoires. Pas que j'essayais très dur.

— Il paraît que Tiffany Gorham, une fille avec qui j'étais à l'école, rembourre toujours son soutif. Mais ce n'est qu'une rumeur.

— À propos de l'affaire, dit-il, les dents serrées.

J'étais persuadée que ses dents étaient serrées, car ses mots semblaient tout à coup forcés. Ça signifiait qu'il était frustré. Dommage que je n'aie aucune idée de ce dont il me parlait.

— Je ne savais pas qu'on avait une affaire.

— Cookie ne t'a pas appelée ?

— Elle m'a appelée « tronche de cake » une fois.

— À propos de l'affaire.

Ses dents étaient à nouveau serrées.

— On a une affaire ?

Mais je l'avais perdu. Il était en train de parler à un autre officier. Ou à un détective. Ou à une prostituée, selon l'endroit où il se trouvait et s'il avait un accès facile à un distributeur. Mais je doutais fortement qu'il demande à une prostituée de vérifier l'avancement d'une autopsie. À moins qu'il soit plus pervers que je le pensais.

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— Harper pense que quelqu'un essaie de la tuer, alors je l'emmène dans notre planque.

— Ça me paraît être une bonne idée.

Après que la porte se fut refermée, je l'entendis crier :

— On a une planque ?

(Charley & Cookie)

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Ne me jugez pas parce que je suis silencieux. Personne ne planifie un meurtre à voix haute.

TEE-SHIRT

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« —  Ce lit est vraiment très dur, me plaignis-je en donnant des coups de poing dans mon oreiller.

—  Tu devrais me grimper dessus. Je suis encore plus dur. »

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Cookie à Charley :

"Oh, chérie, qui sait quoi penser de lui ? C'est une énigme emballée dans un papier cadeau fait de sensualité, entouré d'une dizaine de chaînes de désir et recouvert de rubans aussi tranchants que des rasoirs. Il est constitué de plus de couches que le gâteau de mariage d'un multimillionnaire."

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— Harper pense que quelqu'un essaie de la tuer, alors je l'emmène dans notre planque.

— Ça me paraît être une bonne idée.

Après que la porte se fut refermée, je l'entendis crier :

— On a une planque ?

(Charley & Cookie)

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Qui se frotte à la Faucheuse se pique à la faux.

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