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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-18T21:18:29+01:00

La vie n’était qu’un immense terrain de jeux pour lui. Qu’il gagne ou qu’il perde, il s’en moquait complètement, il trouvait toujours un moyen pour recommencer la partie.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-18T21:18:14+01:00

La maturité et l’évolution de la société l’avaient rendue plus coulante, plus flexible, mais elle restait assise sur ses positions un brin rétrogrades. En même temps, c’est ce qui faisait d’elle la femme touchante et authentique que Gabi admirait bien au-delà des mots.

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Extrait ajouté par anonyme 2014-03-18T21:17:40+01:00

Gabi ne voulait pourtant pas qu’on se méprenne, elle n’était pas du genre à exposer ses attributs à tout bout de champ, ni même à se regarder avec admiration dans un miroir, cependant, à situation désespérée, mesure désespérée. Elle avait vraiment besoin d’argent.

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Extrait ajouté par Aalabrini-1 2020-12-11T03:34:22+01:00

Il y eut un silence de mort pendant une trentaine de secondes, quand soudain, M. Piou-Piou laissa filer un roucoulement qui résonna dans la pièce. Tous les yeux se braquèrent sur Gabi.

Paniquée, elle se tourna vers sa voisine de gauche, une petite dame blonde bien en chair.

— Vous avez dit quelque chose ?

L’attention se porta immédiatement sur cette dernière.

— Moi ? Mais pas du tout ! répliqua-t-elle, mortifiée.

Gabi se composa un air perplexe.

— Vous êtes sûre, parce que…

— Mais puisque je vous le dis !

Et lorsque le pigeon roucoula une deuxième fois, il lui fut impossible de refaire porter le chapeau à quelqu’un.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2019-11-29T02:06:53+01:00

Le dragon en chef avait peut-être mauvais caractère, mais il était fichtrement agréable à regarder. À se demander comment un homme tel que lui pouvait encore être célibataire. Gabi y réfléchit deux ou trois secondes et décida que c’était à cause de sa propension à tout vouloir diriger. N’importe quelle nana avec un peu de jugeote devait le fuir comme la peste.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2019-11-29T01:44:45+01:00

Son sang ne fit qu’un tour et son imagination aussi, par la même occasion.

En l’espace d’une fraction de seconde, elle se convainquit qu’elle était tombée dans le laboratoire secret d’un savant fou. Une espèce de cinglé qui tentait des expériences interdites sur les humains. Un désaxé qui embauchait des nourrices pour en faire des cobayes. Et pourquoi des nourrices d’ailleurs ? Parce que c’était un psychopathe fétichiste, pardi ! Petit, il avait été maltraité par une nurse, enfermé pendant des jours dans un placard, sans boire, ni manger, et depuis, il n’avait de cesse de vouloir se venger.

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2019-11-29T01:01:31+01:00

— Oui. Je vous prie de bien vouloir m’excuser pour ce désagrément.

Il éclata d’un rire mauvais.

— Vous appelez ça un désagrément ? J’appelle ça une tornade, un tsunami ! Vous n’avez manifestement pas plus de cervelle que ce moineau pour l’avoir amené jusqu’ici ! Je ne sais pas quel niveau d’intelligence il vous faut pour être archéologue, mais pour le poste de standardiste, vous êtes recalée haut la main !

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Extrait ajouté par clary-bouquineuse 2019-11-29T00:42:11+01:00

Gabi ne donnait pas cher de la peau de ce pigeon si elle le laissait là. Il pourrait se faire bousculer, écraser, attaquer par un chien ou kidnapper par… par… un faucon ! Non, non, et non. Sa conscience était formelle, on n’abandonne jamais un oiseau transi de peur sur un trottoir, c’est mal – et encore moins sous le prétexte d’être du genre à tout exagérer, alors qu’il n’y avait aucun risque pour qu’un rapace fasse une entrée théâtrale en plein Paris. Cela dit, ça ne faisait pas l’ombre d’un doute : ce pigeonneau était en très mauvaise posture. Il était recroquevillé, tremblotant et clignait des paupières en alternance sans discontinuer. Droite gauche, gauche droite. Pour un peu, Gabi en aurait eu le tournis. La pauvre petite bête avait dû rater son premier envol.

La jeune femme soupira, attendrie. Il était si mignon avec sa petite tête grise et sa collerette irisée. D’aussi loin qu’elle se souvienne, avec les animaux, elle avait toujours eu l’âme d’un saint-bernard. Elle avait grandi à la campagne et, enfant, lorsque son grand-père annonçait qu’il allait tuer un lapin, elle se levait la nuit pour ouvrir les cages et les laissait filer. Pour les poules, elle faisait la même chose, mais les gallinacés n’ayant pas inventé le fil à couper le beurre, elles ne bougeaient pas d’un pouce et finissaient fatalement dans une casserole.

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Extrait ajouté par Livie-1 2019-09-30T17:25:22+02:00

— Je vous laisse, monsieur de Bérail, vous semblez très occupé. Si votre nuit est agitée, tâchez tout de même de ne pas rater votre vol de demain, car cette fois, vos enfants vous en voudraient à mort et je me ferais un plaisir de leur servir de bourreau ! Bonne soirée !

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Extrait ajouté par Elouu 2019-08-17T17:21:51+02:00

[...]

- Assez parlé. Tes lèvres sont certes magnifiques quand elles bougent, et ce que tu as à dire est sûrement très intéressant, mais j’ai le regret de t’apprendre que je suis un piètre gentleman. Tout de suite, je me fous de ce que tu penses. J’ai assez attendu.

Et il l’embrassa.

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