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Nous avons tous dans notre vie des épisodes que nous voudrions effacer à jamais. Mais c'est impossible, ma fille. Cela fait partie de nous. C'est ce qui nous façonne, tu sais. Nous sommes comme de la pâte entre les mains du destin. Chaque coup du sort laisse son empreinte.

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Quelque chose frôla ma main. J'ouvris les yeux.

Frances s'était agenouillée devant moi et me tendait le petit mouchoir brodé de tante Nellie.

- Demain, tu dois retourner à Carnoch, maman.

- Oui, hoquetai-je entre deux sanglots. Pourra-t-il jamais me pardonner d'avoir douté de lui?

- Papa t'aime, et aimer n'est-il pas pardonner?

- Frances... C'est parfois si difficile de pardonner.

- Il comprendra que tes mots ont dépassé ta pensée.

J'essuyai mes yeux et me mouchai; je caressai la joue de ma fille qui me regardait avec compassion.

- Je ne sais pas; sa blessure est profonde. Mais je le souhaite de tout mon cœur.

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Tu es plus belle que dans mes rêves, a Mhórag. Et Dieu sait combien j'ai rêvé de toi.

Il s'accroupit devant elle, emprisonnant ses hanches dans ses mains. Puis il posa sa joue contre son ventre, s'enivrant de sa chaleur et de son odeur. Elle tremblait.

-Était-ce comme en ce moment?

-Hum...

Il lui embrassa le nombril et fit descendre sa bouche un peu plus bas. Elle eut un léger mouvement de recul, mais il la retint fermement. Elle ne pouvait plus lui échapper, il était trop tard...

-Non...

Les doigts de Marion plongèrent dans sa chevelure et tirèrent doucement sa tête vers l'arrière. Il put lire de l'appréhension dans son regard, mais aussi du desir.

-Dans mes rêves, je ne pouvais pas te toucher, te sentir. A Mhórag, ceci est bien meilleur.

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L' Écosse, vielle terre ridée et usée, avait été la Calédonie pour les Romains, la Dalriada pour les Scots venus d'Irlande. Puis elle avait été appelée le royaume d'Alba par les Pictes et enfin le royaume de Scotti.

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Pendant la journée, mon esprit avait eu tout le loisir de se perdre dans les méandres de l'analyse des derniers faits que j'avais appris. Il avait sauté d'une thèse à une antithèse. Il s'était égaré sur le chemin du doute. Il avait trébuché sur des éléments nouveaux, quelques détails, quelques lacunes qui m'avaient échappé dans mon affolement. Il avait un moment pris le sentier de l'optimisme. Puis, il s'était heurté durement au mur des évidences, de l'irréfutable... pour finalement revenir à la case départ.

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Si la défaite avait laissé aux insurgés un goût amer, elle ne leur avait pas enlevé l'espoir d'arriver un jour à leurs fins . Certes, les anglais nous avaient à l’œil. Mais les années passeraient , et un jour un homme se lèverait et brandirait de nouveau une croix ardente. Alors les clans sortiraient de leur léthargie et fourbiraient l'acier tranchant de leur armes, astiqueraient leurs mousquets.Puis les cris de guerre retentiraient dans les vallées pourpres et ocre des Highlands et feraient vibrer les guerriers endormis.Le sang des Gaels se remettrait à bouillir dans leurs veines.Les anglais devraient se méfier de l'eau qui dort. Les écossais avaient la tête aussi dure que le granit de leurs montagnes:Jamais ils n'abandonneraient.

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Mais qu'était la vie d'un homme ? Un espace de temps insignifiant dans l'éternité, mais si riche et intense, jalonné d'épreuves parfois si terribles. Comment un homme pourrait-il les traverser sans amour ? Et que restait-il de cet homme après son passage, aussi insignifiant fût-il, sur cette terre ? Ses enfants ? Sa chair, son sang, bref le prolongement de lui-même. La preuve irréfutable qu'il avait été et qu'il avait occupé un rôle quelconque, dans l'histoire des hommes.

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— Duncan, il y a tellement de souffrances et de sang entre nous.

Il s’assombrit. « Mais qu’est-ce que je fais? Elle a raison! Tout ce sang qui a coulé entre nos deux clans, nous ne pourrons jamais l’effacer. »

Personne ne comprendrait. Il rêvait, oui. Mais il en avait tellement envie.

Il désirait tant ne pas se réveiller, du moins pas tout de suite.

— Le sang a coulé sur les pages que d’autres ont écrites et tournées. Oh, Marion… Pourquoi revenir sur ce qui a été écrit? Nous n’y pouvons plus rien.

Le souff le chaud de la jeune femme se faisait irrégulier sur son visage. « Du miel, de la bruyère… Elle dégage le parfum des Highlands.

Dans son corps coule le même sang que le mien. »

— Mais les mots restent gravés dans les mémoires, Duncan… Même si les pages ont été tournées… cela ne suffit pas toujours.

— Alors déchire-les avec moi!

Avec une appétence débridée, il couvrit sa bouche de la sienne.

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Duncan entourait Marion de son bras, glissa sa main sur le ventre qu'il avait empli de vie. Jamais il ne pourrait lui rendre la pareille. Que pouvait un homme devant une femme qui lui offrait le miracle de la vie, un enfant ? Rien, si ce n'était l'aimer.

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Au début, nous souhaitons être morts avec eux. Nous voudrions que le soleil s'éteigne, que la terre s'arrête de tourner. Puis un nouveau matin se lève, et un autre, nous faisant faire un pas vers l'acceptation. Comment arrivait-on à accepter quelque chose d'aussi déchirant qu'était la perte d'un être cher ?

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