Date de sortie
Le Commander, Tome 8 : Commandos perdus
- France : 1965-01-01 (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
Le Commander, Tome 8 : Commandos perdus
Résumé
Plus personne n’a le droit d’aller là-bas maintenant. Il n’y a que les Special Forces du capitaine Harper, et ils sont capables de vous tirer dessus. Dans la bagarre, ils sont ivres d’alcool et abattent n’importe qui pour le plaisir. Et c’était le capitaine Harper que Kovask venait rencontrer, dans cette petite ville de phan-Tho, ancien déserteur des marines, à la tête d’une bande d’aventuriers, tueurs à gages et affreux de tous poils et toutes nationalités. Un gosse vêtu d’un slip de bain s’approcha d’une poutre et essaya de la tirer, sans accorder la moindre attention à l’officier américain. Kovask avait revêtu sa tenue d’été, mais ne portait aucune arme sur lui. Simplement le pouvoir de la maison Blanche et le laissez-passer du gouvernement provisoire de Saigon. Dans la chaleur moite, il transpirait et avait l’impression que son corps humide attirait toute la poussière, s’en recouvrait d’une couche épaisse.
Afficher en entier