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- Un jour, tu devras embrasser mes fesses, mon vieux. Je te jure que tu le feras.

- Je ne croies pas.

- Oh ! Tu peux me croire. Tu t'excuseras en baisant mon cul.

Une flamme incandescente traverse les iris d'Ari, les faisant passer d'un vert émeraude à un rouge rubis.

- Attention aux promesses que tu fais... bébé, dit-il d'un ton rauque.

Un frisson dévale le long de ma colonne vertébrale. Je repasse la conversation au ralenti dans ma tête et... Non mais quel boulet intersidéral . Aristote n'aurait quand même pas cru que j'allais le laisser me prendre, n'est-ce pas ? Bordel ! Le salaud me connaît trop bien. Il discerne aussitôt mon malaise et passe un bras autour de mes épaules.

- Pour l'instant, je vais me contenter de te nourrir, ok ? Pour le reste...

- Pour le reste ?

- On en reparlera. Plus tard.

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« — J’ai prévenu vos protégés que vous preniez une pause. Ils m’ont fait une offre que je n’ai pas pu refuser. À partir de demain, vous serez pris en charge par l’unité spéciale des anges pervers.

— Tu… Tu… Tu veux rire ? s’étouffe Aristote.

— Ne me remerciez pas. C’est un plaisir de faire ça pour vous ! lâche Dieu en souriant tel le chat du Cheshire.

Ce qui conclut notre entretien. Comment je sors du bureau et rentre chez moi après ça… Je ne m’en rappelle pas. Papy vient de faire de nous des cobayes sur le point d’être disséqués par une bande de malades mentaux. J’en fais des cauchemars toute la nuit durant.

Ayez pitié. »

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- J'ai peur, dit Aristote en soupirant. Nous avons lâché des anges complétement dérangés parmi les leurs. Pire, nous les avons encouragés dans leur délire.

- Ils sont six. Les risques de dommages collatéraux sont limités.

- Tu ne le crois pas toi-même, Éros. A eux seuls, Jasper et Cameron sont des catastrophes ambulantes. Alors avec les autres... Cette marche de la fierté angélique n'était que le début. C'est l'apocalypse qui nous attend désormais !

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Le repas se déroule plutôt bien, jusqu'à ce que débute l'Inquisition Espagnole, avant le dessert. Si ce n'est pas dramatique ça ! Gâcher le merveilleux goût d'une mousse au chocolat avec des questions indiscrètes...

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- On n'en fait jamais trop.

- Question de point de vue, temporise Cameron. Si tu demandes à Jasper, il paraît que j'en fais souvent trop avec lui. Pourtant, il continue de me crier "plus" quand on est au lit. Comment veux-tu que je m'y retrouve après moi ?

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Une heure plus tard, mes Cupidons m'ont rencardé sur ce qui m'attendait. Ou comment le dieu de l'Amour se retrouve à prendre un cours sur le sujet de la part de ses élèves. J'ai formé des démons, à n'en pas douter. Ils sont accros à l'amour tous les trois, ils ont besoin de leur dose quotidienne pour survivre. C'est effrayant au possible. Cependant je suis comme eux. Rien ne me rend plus heureux que de voir mes anges l'être.

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- [...] et si nous passions à la phase 2 du plan, les gars?

- Oui, faisons ça, acquiesce Benji en lui adressant un clin d'oeil, juste avant de lui octroyer une grande tape dans l'épaule.

- Quelle était la phase 1, au juste? interroge Ari.

C'est Dylan qui l'éclaire:

- Vous faire venir jusqu'ici.

- Ca a été facile, souligne Bastien.

- En même temps, Papy ne nous a pas laissé le choix, dis-je en reniflant.

- C'est pour votre bien les enfants, raille Jude.

- Tu ne crois pas que nous sommes assez vieux pour veiller, seuls, à notre propre bien? proteste Aristote.

- Si c'était le cas, Papy ne vous aurait pas mis dans nos pattes, rétorque Jasper.

Il marque un point.

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« Et je ne me retiens plus, j’ai atteint mes limites. Je fonds sur lui, m’accrochant à ses lèvres, les dévorant comme s’il n’y avait pas de lendemain possible pour nous. Je prends ce qui m’appartient, j’exige sa soumission dans ce baiser. Le sentir se presser contre moi est une révélation. Je repousse les couvertures, l’amenant à se blottir contre mon torse. Encore plus près, encore plus fort. Je ne veux plus qu’un seul centimètre d’air puisse passer entre nous. C’est juste ça, nous. Seuls au monde, dans ce lit décharné. Ma bouche qui capture la sienne, la découvre comme si elle était son territoire. C’est chez moi. Aristote est mon foyer, l’autre partie de moi. Je ne peux pas me tromper. Pas quand l’embrasser me paraît si juste et si bon. Alors je plonge, plus loin, plus vite. Nos langues s’entremêlent, se combattent, glissent l’une contre l’autre. J’apprends son goût, sa chaleur. Cela surpasse mes rêves les plus fous. La réalité ne m’a jamais paru aussi douce, aussi intense qu’en cet instant où tout fait sens. Cœur et raison cèdent dans un même soupir de plaisir.

— À moi, grondé-je à la porte des lèvres d’Ari lorsque nous nous séparons le temps d’une respiration. »

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« — Chochotte, me nargue-t-il en souriant. Tu as demandé. Assume tes désirs, Eros.

Mec, si je les assumais, tu serais déjà allongé sur ce bureau, moi entre tes jambes, en train de te prendre et… Putain, mais à quoi est-ce que je pense, moi ? Marche arrière toute !

— Hum. Et sinon, fossile de mon cœur, de quelles conneries parlais-tu, au juste ?

Oui, j’essaie de détourner la conversation. Ou le cours de mes pensées. Ou les deux, pour être honnête. »

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« Et je ne me retiens plus, j’ai atteint mes limites. Je fonds sur lui, m’accrochant à ses lèvres, les dévorant comme s’il n’y avait pas de lendemain possible pour nous. Je prends ce qui m’appartient, j’exige sa soumission dans ce baiser. Le sentir se presser contre moi est une révélation. Je repousse les couvertures, l’amenant à se blottir contre mon torse. Encore plus près, encore plus fort. Je ne veux plus qu’un seul centimètre d’air puisse passer entre nous. C’est juste ça, nous. Seuls au monde, dans ce lit décharné. Ma bouche qui capture la sienne, la découvre comme si elle était son territoire. C’est chez moi. Aristote est mon foyer, l’autre partie de moi. Je ne peux pas me tromper. Pas quand l’embrasser me paraît si juste et si bon. Alors je plonge, plus loin, plus vite. Nos langues s’entremêlent, se combattent, glissent l’une contre l’autre. J’apprends son goût, sa chaleur. Cela surpasse mes rêves les plus fous. La réalité ne m’a jamais paru aussi douce, aussi intense qu’en cet instant où tout fait sens. Cœur et raison cèdent dans un même soupir de plaisir.

— À moi, grondé-je à la porte des lèvres d’Ari lorsque nous nous séparons le temps d’une respiration. »

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