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Extrait ajouté par Margotte1611 2016-05-05T14:08:46+02:00

-J'aime tes boucles. Elles te vont bien.

Mon ego est flatté de ce compliment. Il lève la main pour repousser de mon visage une mèche rebelle. Puis il pose le bout de ses doigts sur le côté de mâchoire et me tient comme ça, scrutant mon regard. L'ascenseur s'arrête à son étage.

-C'est ta dernière chance de t'enfuir.

Le son rauque de sa voix anéantit totalement ma volonté. Mon coeur s'affole. Je hoche la tête en signe d'acceptation, sans grande conviction, incapable de trouver les mots pour lui répondre.

Sans tenir compte de la porte de l'ascenseur qui s'ouvre derrière lui, il continue à me regarder droit dans les yeux avec intensité.

-Moi, je ne serai pas capable de partir, Rylee

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Extrait ajouté par Tiate 2015-12-01T13:14:13+01:00

- Vous ne jouez pas franc-jeu, Colton.

- Et alors ? On est parfois contraint de se montrer déloyal pour obtenir ce qu'on veut.

- Et qu'est-ce que vous voulez exactement ?

Je croise les bras sur ma poitrine pour ériger une barrière invisible de protection contre lui. Comme si quelque chose pouvait vraiment me protéger ! Colton s'éloigne de la fenêtre et se dirige vers moi, comme un lion prêt à bondir sur sa proie. Il s'immobilise devant moi, plus près qu'il est nécessaire, il tend la main et, du bout des doigts, il me relève le menton pour m'obliger à le regarder dans les yeux.

- Vous.

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Extrait ajouté par Do83 2014-03-12T20:14:15+01:00

"I'm seeing the true Colton Donavan - the unmasked version with a vulnerability that makes me want to reach over and take the hurt that often flickers through those green eyes and make it better. To show him that love and commitment are possible without complications. That it is real and pure and much more powerful than ever imagined with it is built and shared between two people."

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Extrait ajouté par MissFantastic 2018-02-07T19:17:00+01:00

« Je voudrais faire partie de ces gens qui ont le sens de la répartie. Mais ce n’est pas le cas. Au lieu de ça, c’est toujours des heures plus tard que je trouve une réponse bien sentie et que je regrette de ne pas l’avoir trouvée sur le moment. »

Tellement moi :'D

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Extrait ajouté par Sabine68 2017-11-13T01:11:58+01:00

Les gloussements séducteurs d’une voix féminine traversent le silence, suivis du timbre profond d’un gémissement masculin. Je m’immobilise instantanément, choquée par l’audace de certains de nos invités, quand le son reconnaissable entre tous d’une fermeture Éclair, suivi d’un halètement féminin familier – « Oh oui ! » – me provient depuis un coin sombre, à quelques pas devant moi.

Tandis que mes yeux s’accoutument à l’obscurité, je distingue une veste de smoking jetée négligemment sur un vieux fauteuil poussé dans un coin et une paire d’escarpins abandonnés dessous, au hasard.

Il faudrait me payer cher pour faire ça en public. Mes pensées sont interrompues par le souffle d’une respiration sifflante, suivi d’une voix masculine.

– Doux Jésus !

Je ferme les yeux, indécise. J’ai absolument besoin pour les enchères des ardoises qui sont dans le local au bout du couloir. Malheureusement pour y accéder, je dois nécessairement passer devant l’alcôve des Amants. Je n’ai pas le choix. Je fais une prière, aussi vaine que silencieuse, en espérant réussir à me faufiler sans attirer l’attention.

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Extrait ajouté par violette6989 2017-10-19T17:36:22+02:00

1) Soudain, quelque chose par-delà son épaule attire mon attention. Je fais un pas de côté pour voir ce que c’est. Et je retiens un cri de surprise : Zander, sa peluche toujours serrée contre lui, contourne lentement le canapé pour venir vers nous. Lui d’ordinaire su impassible, a un drôle d’expression sur le visage.

Colton se retourne, Intrigué par ma réaction. Il s’apprête à me poser une question, mais je lève la main avec autorité pour le faire taire. Heureusement, il s’exécute. Tous les autres garçons se sont retrouvés, l’air surpris. C’est la première fois que Zander prend l’initiative, volontairement, d’interagir avec quelqu’un. Il vient vers nous, les yeux rivés sur Colton, et ouvre et renferme la bouche plusieurs fois. Il a les yeux comme des soucoupes. Je m’agenouille pour me mettre à sa hauteur. Je sens que Colton, à côté de moi, essaie de comprendre ce qui se passe.

- Salut, dit-il alors, d’une voix douce.

Zander s’arrête et se contente de la regarder. Je crains que quelque chose dans le look de Colton, ou dans ses vêtements, n’ait provoqué cette réaction chez lui. Un souvenir négatif qui le pousse à venir voir de plus près si c’est réel. Je me prépare à la crise- les hurlements, la lutte, la terreur dans ses yeux.

- Zander, tout va bien, mon bébé.

Je perle tendrement pour le faire sortir de sa transe, d’une vois volontairement familière et réconfortante. Je tourne la tête vers Colton et le regarde droit dans les yeux.

- Partez, maintenant !

J’ai peur de ce que Zander voit en lui.

Mais, sans m’écouter, Colton s’avance et s’accroupit lentement à côté de moi. Il règne un tel silence dans la maison que j’entends ses bottes crisser sur le carrelage. Un des garçons a dû couper le son de la télé.

- Hé, mon pote. Comment tu vas ? bien ?

Zander avance d’un pas et ses lèvres esquissent un pâle sourire. J’écarquille les yeux. Il n’a pas peur. Il aime bien Colton. Je lance un coup d’œil rapide en direction de celui-ci, craignant de rater le moindre mouvement de Zander. Il soutient mon regard et hoche le tâte. Il comprend qu’il se passe quelque chose. Quelque chose d’important. Quelque chose qui demande du doigté

- Zander, c’est ça ?

Un regard hanté croise celui de Colton, et soudain il bouge la tête pour un petit hochement, timide, mais bien visible je retiens ma respiration, au bord des larmes à la vue de cette avancée spectaculaire

- Dis-moi, Zander, tu aimes les courses de voiture ?

Un murmure d’excitation circule parmi les garçons de la famille qui réalisent soudain qui est Colton le ton monte jusqu’à ce que je les regarde sévèrement pour les faire taire.

Colton tend la main à Zander.

- Ravi de te rencontrer, Zander. Moi, c’est Colton.

Pour la deuxième fois de la journée, je reste sans voix, stupéfaite : le petit Zander vient de tendre la main pour serrer celle de l’homme qui se trouve à côté de moi.

J’assiste aux premiers pas d’un petit garçon se libérant de l’emprise d’un violant traumatisme. C’est la première fois en trois mois qu’il initie un contact physique avec quelqu’un.

Colton garde la petite main de Zander dans la sienne et la serre gentiment. Quand ils ont fini de ce salué, Zander semble ne pas vouloir retirer sa main. Colton comprend et garde la main minuscule dans la sienne en souriant avec douceur.

Je lutte pour retenir les larmes qui me brulent les yeux. J’ai envie de sauter et de crier l’excitation devant un tel progrès. J’ai envie d’attraper Zander pour le serrer dans mes bras et lui dire à quel point je suis fière de lui. Je n’en fais rien. L’intensité de ce moment est tellement plus significative que si je faisais tout ça.

- Je vais te dire un truc, Zander. Si Rylee est d’accord pour m’accorder ce rencard qu’elle fait tout pour éviter, alors je t’inviterai personnellement sur le circuit la prochaine fois que nous ferons des essais. Qu’est-ce que tu en dis ?

Il a dit ça sans quitter Zander des yeux. Un pâle sourire revient sur les lèvres du petit garçon dont les yeux s’éclairent pour la première fois ne même temps qu’il fait oui de la tête.

Une joie profonde m’envahit et je porte la main à ma poitrine. Enfin ! Et tout ça parce que Colton m’a suivie dans la maison. Tout ça parce qu’il ne m’a pas écoutée. Tout ça parce qu’il se sert d’un de mes gamin pour le faire du chantage et m’obliger de sortir avec lui. Je pourrais l’embrasser, à cet instant même ! Enfin, je crois que je l’ai déjà fait, mais je pourrais recommencer. A ce moment précis, je ferais tout ce que Colton ne me demanderait rien que pour revoir un sourire sur le visage de Zander.

- Marché conclu, mon pote !

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2017-03-05T21:10:34+01:00

" Normal, ça ne veut pas dire ennuyeux. Ce qui est normal est désirable. "

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Extrait ajouté par SlythKhaleesi 2017-03-05T21:04:59+01:00

" - Comment ça se fait que le soleil semble mettre une éternité à atteindre l'horizon et que, à l'instant où il y est, il disparaisse aussi vite ?

- C'est à l'image de la vie, vous ne croyez pas ?

- Comment ça ?

- Parfois nos parcours dans la vie semblent durer une éternité pour atteindre le point culminant de nos efforts, pour atteindre le but. Et une fois que nous y sommes, tout s'accélère et c'est déjà fini.

Il hausse les épaules. Je suis étonné de cette introspection.

- Nous oublions que le meilleur moment, c'est le parcours lui-même. La raison pour laquelle nous l'entreprenons. C'est là que nous apprenons le plus. "

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Extrait ajouté par choupiiichou 2015-12-27T19:54:26+01:00

"normal ça ne veut pas dire ennuyeux. Ce qui est normal est désirable."

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Extrait ajouté par Elo-Fernandes 2024-02-04T21:28:38+01:00

La vraie vie commence au-delà de ta zone de confort.

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