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Extrait ajouté par Helyy 2017-05-12T16:25:51+02:00

— Vous préféreriez discuter de votre rêve ?

— Non.

— Dans la mesure où j’y apparaissais, j’estime que je mérite d’en savoir plus. Étais-je dévêtu parce que nous étions au lit ? Est-ce que je vous touchais ?

Il me décocha un nouveau coup d’œil. Il avait une voix à faire fondre les vêtements à même mon corps.

— Est-ce que vous me touchiez ? proposa-t-il.

Je n’aurais pas dû monter avec lui. J’aurais dû prendre un véhicule séparé.

— Vous avez perdu votre langue, Nevada ?

— Non, nous n’étions pas au lit. Je vous poussais du haut d’une falaise. Une chute mortelle.

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Extrait ajouté par Helyy 2017-05-12T16:26:23+02:00

— Donc au lieu de venir me parler, de m’interroger sur mon travail ou d’agir comme l’aurait fait n’importe quelle personne normale, vous avez décidé de m’agresser et de m’enchaîner dans votre sous-sol ?

Il haussa les épaules, un geste lent et dénué de culpabilité.

— Ça m’a paru être le moyen le plus rapide pour obtenir l’information. Et, soyons honnêtes, vous n’avez pas vraiment été blessée. Je vous ai même ramenée chez vous.

— Vous m’avez larguée sur le pas de la porte. D’après ma mère, j’avais l’air à moitié morte.

— Votre mère exagère. Au tiers morte, tout au plus.

Je le dévisageai. Séchée. Il m’avait séchée.

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Extrait ajouté par LLyza 2017-05-01T15:13:14+02:00

— Je n’ai aucune raison de croire la moindre de vos paroles.

Il se pencha en avant. Son corps se tendit et je vis ses muscles se contracter sous ses vêtements. Son expression était celle d’un prédateur. Le vernis de civilisation s’était craquelé pour révéler sa véritable forme, celle d’un dragon dans toute sa terrifiante gloire.— Ne vous avisez pas de partir, prévint-il d’une voix vibrante de pouvoir. Vous êtes dépassée. Adam Pierce, la maison Pierce et IIM sont bien trop forts pour vous. Je vous propose de devenir votre allié. Ne faites pas de moi un ennemi, vous le regretteriez.

— Et c’est exactement pour ça que je dis non, répliquai-je en me levant. Et la prochaine fois que vous déciderez de vous projeter dans mes rêves, merci de garder vos vêtements.

Il sourit. C’était un sourire très masculin, très sûr de lui, pas seulement sexy mais carrément sexuel. L’éclat prédateur dans son regard devint franchement sauvage. Je ressentis le besoin de saisir une serviette de table pour la brandir devant moi, tel un bouclier.

— Je suis capable de ce genre de projections, mais il faudrait que je me trouve à côté de vous pour le faire.

Oh non.

Sa voix se fit soyeuse et sensuelle. Aucun homme n’aurait dû être autorisé à avoir une telle voix.

— Dites-moi, qu’est-ce que je ne portais pas dans votre rêve ?

Je me redressai, tournai les talons et sortis. Le son de son rire me caressa le dos.

Continue à marcher, continue à marcher, continue à marcher.

J’avais agi bêtement. Tout ça parce qu’il fallait toujours que j’aie le dernier mot. Ça m’aurait tuée de rester silencieuse ?

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Extrait ajouté par LLyza 2017-05-01T14:56:41+02:00

Mad Rogan se leva dans un mouvement fluide. Un serveur apparut, comme par magie, et tira mon siège pour m’aider à m’asseoir.

Mad Rogan n’avait pas touché à la chaise. Il aurait dû la tirer pour moi, mais il n’avait pas esquissé un geste. Peut-être voulait-il me faire comprendre par là que je ne méritais pas un tel égard, mais le respect du protocole était une seconde nature chez les membres des grandes maisons.

— Vous avez fait quelque chose à ma chaise ? demandai-je, suspicieuse.

— Non. Ma magie réagit avec la force d’un coup de fouet. Mensonge.

Je me tournai vers la table près de la fenêtre.

— Je préfère cette table-ci, dis-je.

Le serveur se figea, pétrifié, ne sachant quoi faire.

Je me dirigeai vers l’autre table, désignai le siège qui faisait face au parking et les dévisageai tous les deux.

— Je vais m’asseoir ici.

Mad Rogan esquissa un geste presque imperceptible de la main gauche. Une légère fumée rouge s’éleva de la moquette, révélant la forme d’un cercle magique autour de mon précédent siège avant de se dissiper dans l’air. Il avait mis en place un piège et j’avais failli m’y asseoir. Le salaud.

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Mon téléphone portable, que j’avais posé sur la table, sonna. Je m’en saisis. Numéro inconnu. Oh, joie !

— Nevada Baylor.

— Il faut que je vous parle, dit Mad Rogan. Retrouvez-moi pour le déjeuner.

Mon pouls s’accéléra, mon corps se raidit et mon cerveau s’éteignit pendant une seconde pour accuser le coup de l’impact de sa voix sur moi. Je me serais volontiers mis une gifle, mais ma mère et ma grand-mère me prenaient déjà pour une folle. Si je commençais à m’infliger des claques, elles me feraient interner, c’était certain.

— Bien sûr, je suis super partante.

Hé, j’avais gardé l’usage de ma voix !

— Est-ce qu’il faut que j’apporte mes propres chaînes, cette fois ? repris-je. Ou est-ce que vous avez un plan plus grandiose encore, où le déjeuner tient lieu de préliminaires dérangés avant une cérémonie de meurtre qui me fera terminer en petits morceaux dans un congélateur, quelque part ? Je peux peut-être m’asperger moi-même de gaz lacrymogène et me tirer une balle dans la tête, si ça peut vous faciliter les choses ?

— Vous avez fini ? demanda-t-il.

— Je commence à peine, répliquai-je.

J’étais tellement courageuse au téléphone.

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Extrait ajouté par Migabo 2015-04-04T19:20:40+02:00

"You're Mad Rogan ! " Leon burst out.

"Yes," Mad Rogan said, his voice calm.

"And you can break cities ?"

"Yes."

"And you have all this money and magic ?"

"Yes."

Where was Leon going with this ?

My cousin blinked. " And you look...like that ?"

Mad Rogan nodded. "Yes."

Leon's dark eyes went wide. He looked at Mad Rogan, then glanced down at himself. At fifteen, Leon weighed barely a hundred pounds. His arms and legs were like chopsticks.

"There is no justice in the world !" Leon announced.

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Extrait ajouté par Folize 2017-06-05T12:09:37+02:00

Ce qu’ils cherchaient se trouvait donc dans le mur. L’homme qui posait la main sur le mur était probablement un renifleur. Dotés d’une sensibilité exacerbée à la magie, les renifleurs étaient capables de trouver un objet magique même à travers une paroi en pierre.

- L’escalier nous amènera ici, dit Mad Rogan en indiquant le coin en bas à gauche de l’écran.

C’est-à-dire en plein dans le champ visuel des trois individus armés.

- Vous êtes insensible aux balles ?

- Non, mais la porte en métal qui protège l’accès aux escaliers doit l’être. Vous avez votre Ruger ?

Je sortis mon pistolet de son holster.

- Je brandirai la porte comme un bouclier mais ce sera à vous de tirer.

- Pourquoi vous ne les découpez pas en tranches comme la baguette au restaurant ?

- Parce que mes pouvoirs télékinésiques ne fonctionnent pas sur les êtres vivants. Je peux projeter un objet en métal avec assez de force pour mettre un ennemi en pièces. Je peux lui balancer une planche parce que le bois coupé est mort. Je peux même l’étrangler avec ses propres vêtements s’ils sont suffisamment amples. Mais je ne peux tout simplement pas projeter un corps.

Oh.

- Donc la meilleure manière de vous affronter est de se mettre tout nu avant d’attaquer ?

Une lueur malicieuse passa dans son regard.

- Oui. Vous devriez essayer, pour voir ce qui se passerait.

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Extrait ajouté par Thyda 2018-01-21T22:27:49+01:00

— Vous avez envoyé une escorte pour ma famille ?

— Oui. Vos proches sont des cibles potentielles. 

— Comment saviez-vous qu’ils allaient partir ?

— Mes hommes les ont vus charger leurs bagages. Ils m’ont appelé et je leur ai dit de les suivre.

Logique.

— Merci.

— Avec plaisir. Je prévois de les garder en otages jusqu’à ce que vous couchiez avec moi.

Je me figeai et manquai trébucher. Il se retourna pour me gratifier d’un sourire incroyablement beau.

— Je plaisante.

Bon sang.

— Déjeunez donc avec moi, proposa-t-il.

— Non.

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— Vous allez aussi me demander de ne pas quitter la ville, sergent ?

« Encore une petite maligne », parut dire le regard de Munoz.

— Non. Vous avez affronté un mage militaire à mains nues pour mille dollars. Quelqu’un ayant à ce point besoin d’argent n’a sans doute pas les moyens d’aller où que ce soit.

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Mad Rogan étala la serviette sur ses genoux. La baguette se mit à tournoyer sur elle-même. Les tranches de bois se détachèrent à toute vitesse pour former un cercle parfait tout autour, tel un anneau de minuscules pétales.

Le serveur, qui émergeait de l’arrière-salle avec nos boissons, s’immobilisa au milieu de la salle.

Le premier cercle se remplit de copeaux de bois et un deuxième, plus large, se forma autour de lui. La moitié restante de la baguette atterrit au centre des deux cercles et se divisa, dans un craquement bruyant, en quatre morceaux égaux.

Je me rappelai la nécessité de respirer. L’homme du couple d’âge mûr sortit trois billets de vingt, les abandonna sur la table et prit la main de la femme. Ils quittèrent les lieux presque au pas de course.

C’était le truc le plus effrayant que j’aie pu voir depuis longtemps. Comment était-il même possible d’accomplir une chose pareille ? S’il faisait ça à un être humain, ce serait atroce.

Mad Rogan me dévisagea.

Il fallait que je dise quelque chose, que je fasse quelque chose. N’importe quoi.

Je sortis mon téléphone et pris une photo de la table.

Il haussa légèrement les sourcils.

— C’est pour ma grand-mère, dis-je.

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