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Liste des commentaires

Commentaire ajouté par pwachevski 2016-06-09T14:38:00+02:00
Diamant

Livre acheté un peu par hasard, et surtout par curiosité, je l'avoue. La couverture me plaisait, la référence à Nina Simone aussi, il trônait dans les meilleures ventes en plus. Bon par contre la quatrième de couverture, franchement, s'il n'y en avait pas eu ça m'aurait fait le même effet. A sa lecture je ne comprenais pas vraiment où on voulait m'embarquer. Tout ça m'a intrigué, j'ai donc acheté le livre. Et puis finalement, je ne le regrette pas du tout. Je ressors de ma lecture conquise, j'aurais bien aimé le double de pages pour prolonger le plaisir.

Ce livre m'a beaucoup fait penser à "L'Écume des jours" de Boris Vian. Je trouve qu'on y retrouve la même folie et le même coté un peu rêveur, la même ambiance jazzy et festive, les mêmes personnages attachants, la même jolie histoire d'amour. Mais aussi le même mélange de légèreté et de thème grave (ici la maladie mentale de la mère, eh oui, c'était donc de ça qu'on parlait sur la quatrième de couverture), la même évolution des personnages, qui peuvent monter très haut dans le bonheur comme redescendre très bas dans le malheur, et la même émotion à sa lecture. Il ne manque que les jeux de mot, en fait. Et en même temps, j'ai en aucun cas eu une impression de "plagiat". Même s'il y a une filiation évidente, on a quand même deux entités qui m'ont semblé clairement distinctes.

Je n'ai pas grand chose de plus à ajouter, quand on fait une comparaison si flatteuse, sans dire que la ressemblance est gênante, c'est forcément qu'on a aimé le livre. Pour une raison que je n'arrive pas réellement à identifier, je pense même avoir préféré ce livre à "L'Écume des jours". D'une certaine façon je l'ai trouvé plus moderne et actuel. Il a une fraicheur qui le rend super agréable à lire. On va aussi plus au but, on ne s'embarrasse d'aucun de personnage secondaire, ce qui permet de plonger complètement dans la vie de Georges et sa femme. Et de leur fils également. Je trouve très intéressant de voir l'histoire raconté du point de vue de l'enfant le plus souvent, avec quelques incursions du point de vue du père quand cela est nécessaire.

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Commentaire ajouté par dadotiste 2016-06-29T20:34:16+02:00
Or

Ce livre est un léger excès de folie qui rappelle « Gatsby le Magnifique » ! (Notamment pour ce qui est des festivités).

Une belle névrose maniaco-dépressive encouragée plutôt que tuée à coup de pilule et de médicaments assommants !

Vous l'aurez compris, j'ai beaucoup apprécié ce livre que j'ai dévoré en moins de deux jours (même en marchant dans la rue). Les personnages sont extrêmement bien travaillés. La mère, imprévisible, est prête à tout pour vivre, de joie et d'amour ! Le père s'amuse des extravagances de sa femme et préfère rester sur son nuage et encourager son comportement plutôt que de le brimer. Ils sont très heureux ainsi et cela, pour le plus grand bonheur de leur jeune fils dont la vie est une aventure.

Bien sûr, cette situation ne peut pas durer mais cela n'est jamais vu comme une fatalité.

La fin m'a touchée et si j'aurais préféré qu'elle soit différente, je n'en voyais toutefois pas une autre.

En conclusion, ce n'est pas un Grand Livre mais il s'agit d'une histoire d'amour magnifique, sans mièvrerie. Ce livre vous fera peut-être voir la maladie autrement et vous donnera peut-être envie d'éviter les convention.

Quoi qu'il en soit, c'est à lire.

Pour finir, cette belle phrase visionnaire du narrateur : « J’avais appelé son roman En attendant Bojangles, parce qu’on l’attendait tout le temps, et je l’avais envoyé à un éditeur. Il m’avait répondu que c’était drôle et bien écrit, que ça n’avait ni queue, ni tête, et que c’était pour ça qu’il voulait l’éditer. Alors, le livre de mon père, avec ses mensonges à l’endroit à l’envers, avait rempli toutes les librairies de la terre entière. Les gens lisaient Bojangles sur la plage, dans leur lit, au bureau, dans le métro, tournaient les pages en sifflotant, ils le posaient sur leur table de nuit, ils dansaient et riaient avec nous, pleuraient avec Maman, mentaient avec Papa et moi… »

NB : Si vous avez aimé ce livre, je vous recommande le film «Folles de Joie». J'étais allée le voir quelques jours plus tôt au cinéma et je ne peux pas m'empêcher de faire un parallèle.

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Commentaire ajouté par Ismaire 2016-07-04T14:36:31+02:00
Diamant

Beau, Drole, Triste. C'est les trois adjectifs que j'utiliserais pour décrire ce livre. Les premiers qui me viennent à l'esprit. Ce livre, il se dévore frénétiquement, et en même temps se savoure comme un met de luxe. On danse en même temps que le narrateur, les narrateurs, sur le fil de la raison qui se délite au fur et à mesure que l'on continue à lire. Un vrai petit bijou, très rapide à lire mais vraiment magnifique, à lire absolument !

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Commentaire ajouté par x-Key 2016-08-17T12:35:27+02:00
Or

En attendant Bojangles est une ode à la vie, à la joie, au non-commun. C'est une histoire qui s'incarne dans une excentricité, l'excentricité d'une famille vue à travers les yeux d'un petit garçon pour qui cette originalité qui fait son univers est des plus banales.

On se laisse porter dans ce trio familial, dans leurs habitudes, leurs manies. Tout est cocasse dans leur façon de vivre. De leur liberté à partir en vacances quand ils le souhaitent, à Mademoiselle Superfétatoire, la grue de Namibie qui vit avec eux et adore la lecture, en passant par la mère qui change de prénom tous les matins. Et au milieu de tout ça ? Un enfant : le narrateur.

Olivier Bourdeaut nous propose un récit d'enfance entrecoupé d'extraits d'une sorte de journal intime écrit par le père de celui-ci. On suit les prémices et la construction de cette drôle de famille en parallèle de sa routine quotidienne qui n'a rien pourtant strictement rien de routinière !

Les émotions se mélangent, s'alternent tout au long du récit. On est amusé par le drôle de trio (de quatuor, en comptant Mademoiselle !) tout en étant touché par la tournure dramatique que peut parfois prendre la vie. Le ton d'Olivier Bourdeaut semble toujours juste, à la fois naïf, tendre et pourtant, emprunt d'une certaine gravité qui transparaît de plus en plus à mesure que l'histoire progresse.

Avec ses 160 pages, En attendant Bojangles est un court roman marquant, une petite perle d'originalité pleine de névrose et d'amour qui se dévore le temps d'une valse, comme une grande bouffée de fraîcheur.

http://desmotsenvrac.blogspot.fr/2016/08/livre-en-attendant-bojangles-dolivier.html

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Commentaire ajouté par anneju 2016-02-22T20:55:10+01:00
Or

Alors Anne-Ju, rien de tordu ?

Si, tordu dans le sens loufoque…comme ma chronique d’ailleurs. Comme vous l’avez compris, ce livre est une danse (bon, là je viens de me dire que c’est peut-être un peu facile comme métaphore ;-) mais j’ai osé le faire !).

Mon prof de danse, Olivier Bourdeaut , m’a tout de suite mis dans l’ambiance en me parlant d’un couple de danseurs qu’il a bien connu : ses parents. Quand, il commence à me raconter leur histoire, je me suis demandée si il pouvait me dire comment aller sur leur planète ! Ils sont complètement décalés et, ça, (j’achète!! oups sors de ce corps Jean-Marc Généreux) j’adore. Je n’arrivais pas à m’arrêter de rire dans un premier temps. Une enfance où l’école n’est qu’une perte de temps, où les soirées avec les grands de la ville sont de rigueur et surtout où la danse rythme leurs vies. La danse, c’est la vie ? Oui surtout en mettant du Nina Simone. Mais au fait, c’est qui ce Mr Bojangles , Mr le professeur ?

« Maman me racontait souvent l’histoire de Mister Bojangles. Son histoire était comme sa musique : belle, dansante et mélancolique. C’était pour ça que mes parents aimaient les slows avec Monsieur Bojangles, c’était une musique pour les sentiments. Il vivait à la Nouvelle-Orléans, même si c’était il y a longtemps, dans le vieux temps, il n’y avait rien de nouveau là-dedans. Au début, il voyageait avec son chien et ses vieux vêtements, dans le sud d’un autre continent. Puis son chien était mort, et plus rien n’avait été comme avant. Alors il allait danser dans les bars, toujours avec ses vieux vêtements. Il dansait Monsieur Bojangles, il dansait vraiment tout le temps, comme mes parents. Pour qu’il danse, les gens lui payaient des bières, alors il dansait dans son pantalon trop grand, il sautait très haut et retombait tout doucement. Maman me disait qu’il dansait pour faire revenir son chien, elle le savait de source sûre. Et elle, elle dansait pour faire revenir Monsieur Bojangles. C’est pour ça qu’elle dansait tout le temps. Pour qu’il revienne, tout simplement. »

Il continue par nous raconter des anecdotes avec sa vision de petit garçon de l’époque. Ça donne envie de danser, de se dire que la vie mérite d’être vécue. Ses parents débordent d’imagination et c’est enrichissant. P…. que ça fait du bien !!!

Mais tout d’un coup, la danse est beaucoup moins enjouée. Car derrière cette frivolité, il y a une grande souffrance. Mais je ne veux pas vous en dire plus, car j’ai envie de que vous rentriez dans la danse comme le dirait si bien Grégoire ;-).

Il reste encore plein de places pour assister aux cours d’Olivier Bourdeaut. Il est top comme prof. Je me suis déjà inscrite pour son prochain cours ! Dansons …

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Commentaire ajouté par Julitlesmots 2016-03-09T16:51:45+01:00
Lu aussi

Les différents avis tous plus élogieux les uns que les autres, m’ont poussé à plonger dans ce roman, court, donc rapide à lire.

J’ai beaucoup de mal à décrire mes sentiments à la fin de cette lecture, mais je n’ai pas été « emballée »! Sûrement ne suis-je pas assez romantique, le côté léger, fantaisiste dans la tragédie, je n’adhère pas. Cet amour fou, ces personnages hors du temps, ne m’ont pas émus.

Raconté du point de vu de l’enfant est une très bonne idée, c’est sûrement ce qui rend le récit encore plus décalé. L’univers est fantaisiste, attachant, avec des nuances de gris. La maladie mentale y est décrite comme une fantaisie, mais sans vraiment rendre palpable la douleur, alors même que la douleur est bien présente dans le roman.

Une fois rattrapé par la folie, le roman perd de son rythme endiablé, on tourne en rond, pour un final très prévisible et peu convaincant.

On a comparé cet auteur à Boris Vian, je pense que c’est quelque peu exagéré.

Je n’ai pas compris la décision ultime!

Je n’ai pas réussi à rentrer dans l’histoire, ni à ressentir d’émotion ni d’enthousiasme et c’est avec beaucoup de mal que je suis allée au bout de cette lecture.

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Commentaire ajouté par hcdahlem 2016-04-27T20:47:17+02:00

Commençons par goûter les belles qualités de visionnaire d’un auteur sur de son fait et qui fait dire à son narrateur: «J’avais appelé son roman En attendant Bojangles, parce qu’on l’attendait tout le temps, et je l’avais envoyé à un éditeur. Il m’avait répondu que c’était drôle et bien écrit, que ça n’avait ni queue, ni tête, et que c’était pour ça qu’il voulait l’éditer. Alors, le livre de mon père, avec ses mensonges à l’endroit à l’envers, avait rempli toutes les librairies de la terre entière. Les gens lisaient Bojangles sur la plage, dans leur lit, au bureau, dans le métro, tournaient les pages en sifflotant, ils le posaient sur leur table de nuit, ils dansaient et riaient avec nous, pleuraient avec Maman, mentaient avec Papa et moi…»

Ajoutons que ce premier roman a effectivement suscité un tombereau de critiques élogieuses et que je ne vais pas déroger à la règle. Voilà une œuvre qui brille par son originalité, son humour, sa folie et sa petite musique. Une légèreté apparente qui emporte tous les suffrages.

Poursuivons avec quelques mots sur la construction et le style. En donnant la parole à un enfant, l’auteur peut pointer les incongruités de la vie d’adulte et la difficulté de comprendre les choses les plus anodines, à l’exemple de ce sénateur, ami de la famille : «La journée, il allait travailler au palais du Luxembourg, qui se trouvait bien à Paris, pour des raisons que j’avais du mal à comprendre. Il disait qu’il allait travailler tard mais revenait toujours très tôt. Le sénateur avait un drôle de train de vie. En rentrant il disait que son métier était beaucoup plus drôle avant la chute du mur, parce qu’on y voyait beaucoup plus clair. J’en avais déduit qu’il y avait eu des travaux dans son bureau, qu’on avait cassé un mur et bouché les fenêtres avec.»

L’autre bonne idée dans la construction du roman est d’offrir au lecteur des extraits du récit écrit par son père, ce qui donne aussi une autre perspective à l’histoire de la famille. Car les excentricités continues finissent aussi par emprisonner ce père amoureux fou : «Après des années de fêtes, de voyages, d’excentricités et d’extravagante gaîté, je me voyais mal expliquer à mon fils que tout était terminé, que désormais, nous irions tous les jours contempler sa mère délirer dans une chambre d’hôpital, que sa Maman était une malade mentale et qu’il fallait attendre sagement de la voir sombrer. Je lui avais menti pour pouvoir continuer la partie.»

Arrivons enfin au bel aphorisme de Chris Marker, «l’humour est la politesse du désespoir», pour souligner que jamais il n’aura trouvé meilleure illustration que dans ce beau roman. Je comprends fort bien tous ceux qui ne veulent pas dévoiler la fin du roman à leurs lecteurs, mais pour moi cette histoire d’amour fou est d’abord le cri d’un enfant qui se retrouve seul. Aussi m’attarderai-je davantage sur ce désespoir, qui est beaucoup moins abordé par la plupart des chroniqueurs.

Pour moi la formidable réussite de ce roman tient à la manière choisie par Olivier Bourdeaut pour nous raconter ce drame absolu. Avec la finesse et la légèreté d’une bulle de champagne, il accroche le lecteur en retraçant les différents épisodes de la vie de cette famille qui a choisi de rêver sa vie plutôt que de garder les pieds sur terre. Épisodes épatants, rocambolesques, enchanteurs… avant de basculer dans la folie. On est donc plus proche du Fitzgerald de «Tendre est la nuit», du Vian de «L’écume des jours» que de Queneau ou des comédies de Capra, références souvent mentionnées.

Les premières facéties, très amusantes, conduisent à des pathologies plus sévères, à l’internement de la mère du narrateur, puis à son enlèvement et à la fuite de la famille vers l’Espagne. Mais, comme le dit Zola dans La fortune des Rougon : « L'écroulement de ses châteaux en Espagne fut terrible ».

Voilà un grand livre, de ceux qui laissent une trace indélébile longtemps après l’avoir refermé.

http://urlz.fr/3sLo

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Commentaire ajouté par lamadeleine 2016-05-07T23:03:10+02:00
Diamant

Pour un premier roman , voici un coup de maître , un roman écrit avec une plume délicate, sensible, originale. Et j'ai adoré cette étonnante famille où l'amour sans faille rayonne. J'ai adoré ce roman où la chanson de Nina Simone donne une tonalité unique.

L'histoire familiale est racontée par le fils, alors enfant. Et ce choix de point de vue permettra de créer tout l'univers fantaisiste du roman. Le petit garçon émerveillé admire ses parents qui s'amusent tout le temps, dansent, reçoivent des amis, voyagent en Espagne et adorent Mister Bojanglès. Tous deux réinventent la réalité par la force du langage ; Georges, le père, attribue un prénom nouveau chaque matin pour sa femme, les parents prennent les expressions au premier degré et en jouent ; "avoir un château en Espagne", "parier son slip", ils trouvent une métaphore pour des réalités quotidiennes.

Cependant, au cours du temps, la maladie mentale de la mère s'aggrave et cette dernière doit être internée. Cela, c'est compter sans le désir absolu de Georges de rendre sa femme heureuse coûte que coûte. Et les événements vont se précipiter jusqu'à la fin du roman tenant le lecteur en haleine.

Dans ce roman, on rit, on est ému, on s'attache très fort à ce couple atypique qui fait penser à celui de Colin et Chloé dans "L'écume des jours". En effet, par la magie de l'écriture, Olivier Bourdeaut transforme cette histoire personnelle , autobiographique peut-être, en mythe universel.

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Commentaire ajouté par pheallys 2016-09-20T20:02:43+02:00
Bronze

C'est pas mal, ça se lit d'une traite, c'est à la fois léger et grave ... Mais ça m'a laissée sur ma faim.

L'histoire aurait pu être poignante, mais j'ai eu beaucoup de mal à m'attacher aux personnages. L'idée est très bonne, et offre un point de vue rafraichissant et plutôt intelligent sur la mère et son "problème" (je n'en dis pas trop : même si on devine assez vite ce qui lui arrive, la partie la plus réussie pour moi est le début, quand tout s'installe progressivement à travers les yeux de l'enfant). Pourtant, pour moi, ça a manqué d'un petit quelque chose pour donner de l'épaisseur à l'histoire. Peut-être un narrateur un peu plus fouillé ? Son manque de personnalité m'a gênée tout au long du roman.

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Commentaire ajouté par sarina_akr 2017-11-03T13:04:06+01:00
Diamant

Ce roman est une palette de couleurs éclatantes et extravagantes. Les lettres dansent à un rythme fou sur le papier folio, les personnages dansent à une cadence folle sur Mr. Bojangles. Des éclats de rire, des gueules de bois à coup de vodka, des cigares de fêtards, un oiseau perché tel un plumeau, un couple transis sur des transats, et au milieu de tout ça, un petit garçon qui fait tout comme un grand en compagnie de ses parents.

Des moments de peine, de tristesse, de doute, de rire, de colère... C'est la disquette des sentiments ! Je vous conseil d'écouter ce morceau, juste pour entendre la mélodie de la vie !

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