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"Mais ils assurent, les années n'ont vraiment aucun impact sur eux. Je suis à nouveau pleinement en état de profiter du show quand les premières notes de The number of the beat emplissent la salle après l'intro et que les paroles sont reprises en choeur par les milliers de spectateurs".
Afficher en entier"Ah, elle parle de Paul....Pierre ? J'ai cru qu'elle parlait de l'autre, le tatoué. Parce que franchement, je trouve que s'il y a un mec sexy dans le pub ce soir, c'est bien lui. Je l'ai observé discrètement (enfin j'espère) toute la soirée et il me plaît, beaucoup. Il sourit et ça, c'est un peu mon point faible à moi. Les gens qui sourient m'attirent. Ils ont cette aura qui me donne envie de profiter de leur énergie positive. Oui, dit comme ça, ça fait un peu vampire mais sincèrement, je suis persuadée que le positif attire le positif. Dans le sens où plus on tendance à ruminer, plus on voit la vie en noir. Il faut s'entourer de personnes qui nous tirent vers le haut et pas le contraire. Ou qui nous tire tout court. Je deviens grossière. Mais en gros c'est le principe".
Afficher en entier"Ma famille fait partie de ces nouvelles fortunes. L'argent de la mienne vient de mon grand-père maternel qui a su investir un héritage et le faire fructifier. Il a commencé par acheter un studio sur la côte, l'a retapé, vendu et réinvesti. Ainsi de suite jusqu'à être propriétaire de plusieurs immeubles dans une région où le prix du mètre carré ne se prononce pas à haute voix tant il est indécent. Enfin bref, je pourrais ne pas travailler mais j'aime l'idée de ne pas dépendre de quelqu'un, même si cet argent me reviendra un jour. Je préfère m'entretenir, c'est plus sain".
Afficher en entierElle fait demi-tour, s'approche à nouveau et m'attrape par le col de mon t-shirt pour m'attirer à elle et là... elle me roule une pelle... putain de bandante! J'ai bien conscience que mon cerveau est bloqué en mode "je pense avec ma bite" mais la fureur qu'elle met dans ce baiser... Cette façon de clamer quelque chose, ou de prouver un point... Je n'ai jamais rien connu de plus excitant. Elle glisse sa langue entre mes lèvres et sursaute légèrement quand elle sent le bijou sur la mienne, mais elle ne s'arrête pas pour autant. Je ne résiste pas alors que ma conscience, ou ce qu'il en reste, essaie tant bien que mal de me rappeler pourquoi je ne dois pas la laisser faire. Ce baiser a un goût de conquête, elle me montre qu'elle n'est pas une petite chose fragile. (...) Je pose une main sur sa nuque et l'attire plus près encore, j'en veux plus. Elle gémit doucement et je suçote sa langue entre mes lèvres dans un mouvement érotique qui me rend plus fou que je ne l'aurais cru. Je finis par la relâcher et elle rompt le contact. (...)
- Mon frère n'a jamais eu son mot à dire sur mes relations, il n'a jamais eu le droit de décider avec qui ou pas je peux m'envoyer en l'air. Alors oui, je suis baisable! Même avec un frangin mort! Va te faire foutre, connard!
source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier- Est-ce que tu vas commander quelque chose ou bien rester toute la soirée à me regarder comme un psychopathe? me demande-t-elle en essayant d'avoir l'air fâchée.
Ah c'est bien ce que je craignais. Et ça m'excite. Oui, en effet,, je commence à être inquiétant. C'est limite, même pour moi.
- Ce que j'aimerais n'est pas sur la carte, je lui réponds sans la quitter des yeux.
- Dis toujours... me rétorque-t-elle sans masquer son impatience.
Je plisse les yeux et me penche un peu en avant afin qu'elle seule profite de ce que j'ai à lui dire, et lui murmure:
- J'aimerais glisser la main sous cette ridicule petite jupe et te regarder prendre ton pied contre moi.
Je sens que je vais me faire refouler et que je vais rentrer avec ma bite sous le bras et uniquement le mode manuel pour me soulager. Mais c'était trop tentant de la voir gigoter, mal à l'aise, fuyant mon regard. (...)
- Rentre avec moi ce soir. (...)
- Ça fonctionne d'habitude?
- Je n'ai pas à me plaindre, je lui réponds en haussant les épaules.
- Tu réalises que ça ne va pas marcher, non? Je veux dire, tu ne peux pas réellement t'attendre à ce que je te tombe dans les bras après cette drague au rabais?
- Tu tomberais dans mes bras avec quel genre de drague, alors? je lui demande en toute innocence.
Elle se redresse et son regard est attiré par quelqu'un derrière moi. (...) J'aimerais bien qu'elle me sourit comme ça. Je me retourne, prêt à fusiller la personne qui bénéficie de cet accueil. Merde. Josselin.
- Alors, V, tu essaies de te prendre un autre truc dans la tronche? Le téléphone n'a pas suffi? se marre-t-il.
Nous nous serrons la main et il s'installe à côté de moi. Angélique s'approche de lui, se penche au-dessus du bar en prenant appui sur ses mains et l'embrasse sur la joue.
- C'est ton pote? lui demande-t-elle en sortant un verre et lui servant une pression sans attendre qu'il commande, tout en me montrant du menton.
- Ça dépend, il s'est mal comporté avec toi?
- Il voudrait bien que je rentre avec lui ce soir.
- Il te l'a demandé comme ça? s'étonne Joss. (...)
- Oui, il a d'abord dit qu'il voulait mettre sa main sous ma jupe et puis il m'a demandé de rentrer avec lui.
J'avale de travers la gorgée de la bière que je buvais pour me donner contenance. Epic fall.
- Mec, tu déconnes... me lance Joss tout en me tapant dans le dos source site "dans notre petite bulle"
Afficher en entier{Extrait #1 Les Bottes Rouges de Fleur Hana}
Elle vaque à son travail et finit par revenir vers moi, passablement agacée, cette fois.
— Est-ce que tu vas commander quelque chose ou bien rester toute la soirée à me regarder comme un psychopathe ? me demande-t-elle en essayant d’avoir l’air fâchée.
Ah c’est bien ce que je craignais. Et ça m’excite. Oui, en effet, je commence à être inquiétant. C’est limite, même pour moi.
— Ce que j’aimerais n’est pas sur la carte, je lui réponds sans la quitter des yeux.
— Dis toujours… me rétorque-t-elle sans masquer son impatience.
Je plisse les yeux et me penche un peu en avant afin qu’elle seule profite de ce que j’ai à lui dire, et lui murmure :
— J’aimerais glisser la main sous cette ridicule petite jupe et te regarder prendre ton pied contre moi.
Je sens que je vais me faire refouler et que je vais rentrer avec ma bite sous le bras et uniquement le mode manuel pour me soulager. Mais c’était trop tentant de la voir gigoter, mal à l’aise, fuyant mon regard. Elle hésite un moment et finit par reprendre de l’assurance :
— Est-ce que ton pote Pierre t’a envoyé en te disant que j’étais une traînée et que tu pouvais tenter ta chance avec ce genre de répliques ? Que ce soit clair, je ne suis pas une poupée gonflable à faire tourner entre vous !
— Paul, pas Pierre…
— Quoi ?
— Mon pote, il s’appelle Paul, pas Pierre. Et le fait que tu ne te souviennes pas de son prénom ne joue pas franchement en ta faveur…
J’essaie de me la mettre complètement à dos, là, ou bien ? C’est quoi mon problème ? Mais merde !
— Eh bien, Pierre, Paul ou Jacques, même combat ! s’impatiente-t-elle.
— Rentre avec moi ce soir.
{Extrait #2 Les Bottes Rouges de Fleur Hana}
— Je…
Elle est interrompue par une serveuse venue passer une commande. J’essaie de me rassembler pendant cet interlude bienvenu. Sérieusement, j’ai beau faire le malin, je ne suis absolument pas sûr de mon coup. Comme je suis complètement barré, qu’elle ne tombe pas dans mes bras comme les autres nanas que j’ai l’habitude de sauter, ça m’excite de plus en plus. Information que je garderai pour moi, je ne veux pas passer pour encore plus malade que je ne le suis auprès de mes potes. Et d’elle. J’essaie de rajuster discrètement mon futal quand elle revient se placer devant moi. Elle pose les deux mains à plat sur le comptoir et se penche vers moi, m’offrant une vue imprenable sur son décolleté. Taille moyenne, un respectable 90 B, d’après moi. Ils ont l’air fermes. Un doigt sous mon menton me fait relever la tête et je tombe sur le regard sévère qu’elle me lance.
— Ça fonctionne, d’habitude ?
— Je n’ai pas à me plaindre, je lui réponds en haussant les épaules.
— Tu réalises que ça ne va pas marcher, non ? Je veux dire, tu ne peux pas réellement t’attendre à ce que je te tombe dans les bras après cette drague au rabais ?
— Tu tomberais dans mes bras avec quel genre de drague, alors ? je lui demande, en toute innocence.
Elle se redresse et son regard est attiré par quelqu’un derrière moi. Elle sourit, un de ces sourires francs et spontanés auxquels je suis habitué avec mon père. J’aimerais bien qu’elle me sourie comme ça. Je me retourne, prêt à fusiller la personne qui bénéficie de cet accueil. Merde. Josselin.
— Alors, V, tu essaies de te prendre un autre truc dans la tronche ? Le téléphone n’a pas suffi ? se marre-t-il.
Nous nous serrons la main et il s’installe à côté de moi. Angélique s’approche de lui, se penche au-dessus du bar en prenant appui sur ses mains et l’embrasse sur la joue.
— C’est ton pote ? lui demande-t-elle en sortant un verre et lui servant une pression sans attendre qu’il commande, tout en me montrant du menton.
— Ça dépend, il s’est mal comporté avec toi ?
— Il voudrait bien que je rentre avec lui ce soir.
— Il te l’a demandé comme ça ? s’étonne Joss.
Sinon, faites donc comme si je n’étais pas là… Je suis leur conversation en ayant l’impression qu’ils parlent de quelqu’un d’autre tant mon approche me semble en effet bancale, une fois sortie de son contexte. Pourtant, habituellement, je n’ai pas besoin d’aller aussi loin pour emballer la fille… Ceci explique peut-être cela… Ma technique a donc ses limites.
— Oui, il a d’abord dit qu’il voulait mettre sa main sous ma jupe et puis il m’a demandé de rentrer avec lui
Afficher en entierElle vaque à son travail et finit par revenir vers moi, passablement agacée, cette fois.
— Est-ce que tu vas commander quelque chose ou bien rester toute la soirée à me regarder comme un psychopathe ? me demande-t-elle en essayant d’avoir l’air fâchée.
Ah c’est bien ce que je craignais. Et ça m’excite. Oui, en effet, je commence à être inquiétant. C’est limite, même pour moi.
— Ce que j’aimerais n’est pas sur la carte, je lui réponds sans la quitter des yeux.
— Dis toujours… me rétorque-t-elle sans masquer son impatience.
Je plisse les yeux et me penche un peu en avant afin qu’elle seule profite de ce que j’ai à lui dire, et lui murmure :
— J’aimerais glisser la main sous cette ridicule petite jupe et te regarder prendre ton pied contre moi.
Je sens que je vais me faire refouler et que je vais rentrer avec ma bite sous le bras et uniquement le mode manuel pour me soulager. Mais c’était trop tentant de la voir gigoter, mal à l’aise, fuyant mon regard. Elle hésite un moment et finit par reprendre de l’assurance :
— Est-ce que ton pote Pierre t’a envoyé en te disant que j’étais une traînée et que tu pouvais tenter ta chance avec ce genre de répliques ? Que ce soit clair, je ne suis pas une poupée gonflable à faire tourner entre vous !
— Paul, pas Pierre…
— Quoi ?
— Mon pote, il s’appelle Paul, pas Pierre. Et le fait que tu ne te souviennes pas de son prénom ne joue pas franchement en ta faveur…
J’essaie de me la mettre complètement à dos, là, ou bien ? C’est quoi mon problème ? Mais merde !
— Eh bien, Pierre, Paul ou Jacques, même combat ! s’impatiente-t-elle.
— Rentre avec moi ce soir.
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