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Liste des extraits

-Vous devriez vous sentir flatté, lui dit bastien. La plutart des femmes invoquent Dieu pendant l'amour, mais Fleur crie votre prénom. Vu le nombre de fois où elle vous a rendu hommage la nuit dernière, on pourrait croire que vous êtes une divinité.

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Carter et Georgina :

"Que penserait Seth si tu couchais avec moi?

-C'est une proposition?(Je me tournai vers Jerome, feignant l'excitation.) Si je me fais un ange, je peux prendre ma retraite, pas vrai? A taux plein et avec tous les avantages?"

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- Je sais ce que tu es, poursuivit-il, et je sais ce que tu fais. Il m'a bien fallu l'admettre dès le début de notre relation. Ca m'ennuie, bien sûr, mais je ne vais pas faire l'autruche. (Il posa sa main sur la mienne, me caressant distraitement du bout des doigts). Tu n'as pas à avoir peur de me dire la vérité. Jamais. Même si elle n'est pas agréable à entendre. Ce qui nous unit est assez fort pour se passer de sexe- ça, nous le savions déjà-, mai pas d'honnêteté

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- Tu ressembles à une des dames dans le catalogue Victoria's Secret.

- Une de mes lectures favorites, lui annonçai-je d'un ton grave.

- Comme papa.

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Je poussai de côté un carton couvert de plastique et jetai un coup d'œil à l'intérieur. Écartant un peu plus la bâche, je souris en apercevant une photo encadrée du mariage de Terry et Andrea - y compris une version bien plus jeune de Seth.

_ Regarde-moi ça, le taquinai-je. Tu te rasais, à l'époque.

Il frotta sa barbe d'un jour.

_ Je me rase toujours.

_ C'est don l'évènement tristement célèbre que Seth a bien failli manquer?

_ Eh oui, dit Terry d'une voix pleine de regret. Apparemment, mettre la touche finale à la "Fièvre de l'art" était plus important qu'assister à mes noces...

_ Oh, fis-je sur un ton neutre, c'est un superbouquin.

[...]

_ Qui est le type à côté de toi?

_ Notre frère, Ian.

_ Un autre Mortensen? Vous êtes pire que des lapins!

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page 373

"je veut te voir en proie à l'orgasme, avait écrit seth dans sa missive.

je veut voir tout ton corps se tordre, tes lèvres s'entrouvrir pendant que tu t'inprègnes de ton propre plaisir.le tien, celui de personne d'autre.rien que toi, cédant sans réserve a l'extase."

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-Quand tu dis "vieil ami", dois-je comprendre...depuis l'ère glaciaire?

-Non. Bien-sûr que non.

-Oh.

-On ne se connaît que depuis quatre cents ans - environs.

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les démon sont effrayants.

c'est une constante - dans toute les religions et tous les milieux. bien sûr, il leur arrive de se montrer saugrenus - croyez-en ma longue expérience - mais, dans le fond , les gens ont de bonnes raisons de craindre et d’éviter ces serviteurs diaboliques de l'enfer. ils sont cruels et sans pitié, ils se délectent des peines et des souffrances d'autrui, et ils occupent leur temps libre à torturer les âmes. ils mentent. ils volent. ils ne paient pas leurs impôts.

et pourtant, malgré tout cela, je ne pouvais m'empêcher de penser qu'en matière d'actes démoniaques, le plus terrifiant restait à venir.

une cérémonie de remise de prix. en mon honneur.

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Je les laissai s'amuser à mes dépends un moment, m'efforçant de garder mon calme et de ne pas prononcer de paroles que je regretterais.

- C'est bon? Vous avez terminé? repris_je une minute plus tard. Parce que j'aimerais vraiment avancer là-dessus.

- Tu vas partager avec nous si on te dit ce que c'est? demanda Jerome.

Levant les yeux au ciel, je sortis le sachet de mon sac à main et le jetai théâtralement sur la table qu'il traversa en glissant, avant de s'arrêter pile devant eux.

Leurs sourires s'effacèrent.

Ils fixèrent des yeux le sachet pendant un moment, puis, -avec une synchronisation presque parfaite - ils échangèrent un regard et se tournèrent vers moi.

Quand Carter prit la parole, il sembla amusé, mais avec une certaine gravité.

- J'ai peut-être écarté un peu vite l'hypothèse de monstres surnaturels.

- Comment, s'exclama Jerome, les narines dilatées, te débrouilles-tu pour te fourrer chaque fois dans un tel pétrin?

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_ Bah, juste une saute d'humeur _ tu es une femme, tu sais ce que c'est. Je me suis réveillé un peu ronchon, rien de plus. Un petit falafel et une bonne dose de charme à la Kincaid, et me voilà remis sur pied. Je me sens superbien. En fait, rien ne peut m'arrêter. Je suis un dieu, ma belle. Viens avec moi dans le bureau et je te montrerai.

Je m'éloignai, lui lançant un regard railleur par-dessus mon épaule.

_ Ce n'est pas ma religion, mon beau, répliquai-je toujours sur un ton léger.

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