Ajouter un extrait
Liste des extraits
La morale de cette histoire, bien sûr, est que la beauté est dans l’œil de celui qui regarde.
Afficher en entier"Seriez-vous médecin ? Lui demanda t-elle.
Il leva les yeux vers elle et lui adressa un sourire désarmant.
- Je suis un bouffon, ma dame, ce qui est encore mieux.
- En quoi est-ce mieux qu'un médecin ?
- N'avez-vous jamais entendu dire que le rire est la meilleure médecine ?"
Afficher en entier- Y a t-il une raison particulière à ta visite, Cheshire ?
- Eh bien, oui, j'aimerais beaucoup une tasse de thé. Je le prends avec beaucoup de lait et sans thé. Merci.
Afficher en entier-Ah! j'allais oublier ! s'exclamation Badin.
Lâchant la main de Cath, il ôta son bonnet à grelots et fouilla à l'intérieur. Il en sortit deux long lacets blancs roulés en boule.
-C'est à vous, dit-il.
Cath les pris d'un geste hésitant.
-D'où est-ce que ...
Elle resta bouche bée. Sa main vola dans son dos palpant l'étoffe de sa robe. Elle sentit les baleine de son corset, mais ... pas les lacets. Le dos de son corset était ouvert sur le largeur d'une main.
La chaleur affluaient à ses joues.
-Comment ...?
Badin s'écarta d'un bon, accroire qu'il craigrait qu'elle ne le gifle. Elle fut d'ailleurs tentée de le faire. Quel toupet ! Il s'inclina bien bas , comme si il saluait après un rappel.
-Bonne soirée, Lady Pinkerton. J'espère que vous apprécierez de pouvoir respirer à pleins poumons sur le chemin du retour.
À la fois mortifiée et impressionnée malgré elle, Catherine gravit la dernière marche et claqua derrière elle la porte de la calèche.
Afficher en entierC'est dangereux de refuser de croire à ce qui nous fait peur.
Afficher en entier-Je ne suis pas creuse. Je suis pleine à ras bord de meurtre et de vengeance. Je déborde ; prends garde à ne pas être éclaboussé.
-Fut un temps, observa Cheshire en baillant, où tu débordais de fantaisie et de sucre en poudre. Je préférais cette Catherine-là.
Afficher en entier- Heureux, je bats comme un tambour. Triste, je me brise comme du verre. Une fois dérobé, on ne peut plus jamais me reprendre. Qui suis-je?
Elle réfléchit longuement avant de suggérer :
- Un cœur?
Hatta la dévisagea avec affection.
- Exactement, lady Pinkerton.
- Elle est excellente, le complimenta-t-elle,mais je me demande s'il ne serait pas plus exact de dire : "une fois donné, on ne peut plus jamais le reprendre"?
- Cela impliquerait que nous donnons toujours notre cœur de notre plein gré, et je ne suis pas sûr que ce soit le cas.
Afficher en entierVous savez que révéler un secret revient à le détruire.
Afficher en entier-Ça va? S’inquièta Badin, prenant sa main dans les siennes en la regardant avec la même inquiétude que lorsqu’elle avait repris connaissance dans les jardins royaux.
Elle hocha la tête.
-Je me sens déjà mieux, merci.
-J’ai cru que vous alliez vous évanouir encore une fois. Avez vous manger quelque chose aujourd’hui?
Elle déglutit.
-O-oui. Une tourte à la viande, quand je suis arrivée ce matin.
Il eut un petit sourire.
-Excellent choix.
À cet instant précis, Cath se rendit compte avec une certitude absolue qu’elle était amoureuse de ce Fou.
Afficher en entier" - Vous ne pouvez pas, reconnut-il en se redressant sur les coudes. Ne me donnez pas votre cœur, Catherine. Je ne le mérites pas. Mais... (Sa voix se fêla.) Ne le donnez pas au Roi non plus. Il le mérite encore moins. "
Afficher en entier