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Extrait ajouté par Olonique 2015-12-08T18:06:48+01:00

Le jeune homme prit place à l’autre bout du banc et regarda droit devant lui.

Aucun danger qu’il me touche, pensa Jacques avec dérision.

— En effet, j’ai fait une erreur, ne démentit pas Keir. Je ne couche pas avec les servantes, d’ordinaire.

— Mais vous vouliez nous montrer que vous étiez le maître… ?

— Absolument ! Père m’a imposé cet Handsfast qui, fort heureusement, s’est transformé en fiançailles. Je n’ai pas eu mon mot à dire.

— Amélie est dans le même cas. Elle était bouleversée en apprenant que notre père l’avait mariée en Écosse avec un homme qu’elle ne connaissait ni d’Êve ni d’Adam.

— J’apprécie votre sœur. Elle est…

— Je m’en suis aperçu, ricana doucement Jacques.

— Je ne faisais pas mention du baiser, mais je pensais à son tempérament.

— Elle fera une bonne épouse de chef de clan. Elle est belle, instruite, et lucide. Vous auriez pu avoir une femme exécrable.

— Aye. Le baiser…

— J’ai été fort surpris de vous voir l’embrasser. Je savais que cela allait arriver, mais je n’imaginais pas aussi vite.

— J’ai essayé…

— Essayé ! s’indigna Jacques.

— Naye, se défendit Keir en se tournant vers lui. J’ai voulu découvrir quelque chose…

— Que vouliez-vous donc ? s’étonna Jacques. Amélie est une belle personne, et je ne doute point de l’effet qu’elle ait pu vous faire.

— Justement ! Elle ne m’attire pas et je voulais en être certain. Elle est belle, je le conçois, intelligente, je l’ai remarqué, mais elle ne me transporte pas.

— Vous les préférez plus girondes, se moqua Jacques, interloqué par les confidences de Keir.

— Aye, en règle générale. Je ne suis pas parfait, mais je ne feins jamais des envies ou des sentiments que je ne ressens pas. Votre sœur serait parfaite… pour Duncan !

— Je suis tout de même stupéfié de vous entendre dire cela.

— J’en suis tout aussi surpris que vous, ironisa Keir. Vous savez que cela fait quelques minutes que nous conversons tranquillement.

— Oui, j’ai remarqué, admit Jacques. Je suis persuadé que cela ne va pas durer.

— J’en suis certain également, admit Keir en riant doucement. Vous êtes fort irritant.

— Je vous retourne le compliment, ironisa Jacques. Je n’ai pas pour habitude de me soumettre et je n’aime pas les gens trop présomptueux.

— Comme moi-même ?

— Je ne répondrais pas à cette question. Je ne voudrais pas que notre conversation se détériore. De plus, vous avez votre couteau sur vous alors que moi, je suis désarmé.

— Je ne vous ferai jamais de mal ! s’indigna Keir.

— Hum ! Ce n’est pas l’impression que vous me donnez lorsque je vous contrarie. Ce matin encore quand je vous ai interrompu dans votre entraînement. J’ai bien cru que vous alliez m’embrocher avec votre épée.

— C’est une claymore !

— Oui, je le sais, affirma Jacques.

— Je ne vous blesserais jamais. Je ne supporte guère vos airs supérieurs, mais…

— Mes airs supérieurs ? C’est la poêle qui se moque du chaudron. S’il y a une personne avec un air supérieur, c’est bien vous.

— Je suis le futur chef du clan et je ne peux permettre à quiconque de défier mon autorité.

— Je conçois parfaitement votre point de vue, assura Jacques. Mais ce que j’aimerais que vous compreniez également, c’est que tout ce que j’entreprends, je le fais pour le bien-être du peuple et par conséquent, le vôtre.

— Je m’en rends compte, n’en doutez point. Mais il y a quelque chose chez vous qui… m’irrite.

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Extrait ajouté par Fells 2024-03-31T19:13:59+02:00

Keir se tendit de désir, en le voyant venir vers eux. Il tenait une magnifique jeune femme dans ses bras qui, normalement, aurait dû le mettre dans tous ses états, et il se trouvait comme un cheval en rut devant un homme qui n’était même pas beau. Seuls ses yeux étaient incroyables… et son corps aussi… et ses cheveux qui avaient l’air…

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:49:47+01:00

« — Jacques De Beauchesne, dit Douglas d’une voix solennelle, aujourd’hui, tu deviens un membre de notre clan. À compter de maintenant, ta place est auprès de nous.

Jacques ne savait que répondre tant le choc était grand. Il fut encore plus surpris quand Douglas posa un objet dans la main de Keir. Ce dernier eut une sorte de hoquet. Son père le regarda en souriant et continua.

— Jacques De Beauchesne, tends ta main gauche.

Le jeune homme fit ce qu’on lui demandait.

— Keir ! l’interpella Douglas.

Celui-ci se mit lui aussi face à Jacques. Il prit sa main et, tandis qu’il lui passait un anneau le long du doigt, ne le lâcha pas des yeux alors que Douglas continuait :

— Jacques De Beauchesne, aujourd’hui, tu deviens officiellement Jacques Mac Leod. Mes amis, dit-il en se tournant vers l’assistance, je suis heureux de vous annoncer que je compte un membre de plus dans ma famille. J’ai, nous avons, rectifia-t-il en saisissant la main de sa femme, un nouveau fils.

L’étonnement fut la première réaction des personnes présentes. Ensuite, Amélie se mit à applaudir, Gigi aussi et le reste suivit tout de suite après.

— Que vient-il de se passer ? demanda Jacques à Keir doucement.

— Nous sommes mariés, l’informa ce dernier

— Comment cela ?

— Mon père t’a déjà accueilli dans notre clan avec le tartan qui maintenant t’appartient et en me confiant l’anneau de notre famille pour que je te le passe, il reconnaît que nous sommes un couple. Pour tous, tu es devenu son fils, mais, pour moi et les miens, tu deviens officiellement… ma femme.

Jacques l’avait fusillé des yeux, mais, en l’entendant éclater de rire, il s’était mis à sourire. »

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:46:36+01:00

« — Tais-toi, maintenant ! l’interrompit Keir. Je vais te dire ce que j’ai ressenti quand je t’ai cru mort, lorsque je n’ai plus vu ta poitrine se soulever pour respirer. Je me suis débattu, mais ils étaient trop nombreux. Je n’ai même pas pu aller vérifier si tu étais vivant. Pendant des jours et des jours, je leur ai demandé ce qu’ils avaient fait de toi. Personne ne m’a jamais répondu. Je te voyais sans cesse, étendu sur le sol, seul. Je n’ai tenu que parce que j’étais certain de sortir un jour du cachot où ils m’avaient enfermé. Mon seul désir était de te venger, de leur faire payer ta mort. J’ai imaginé un millier de fois ma vie sans toi si je venais à être libéré. Je te promets qu’aucun des avenirs que je me suis créé ne me rendait heureux. Je sais que jamais je ne pourrais aimer une autre ou un autre, comme je t’aime. Alors oui ! Tu peux mourir dans une semaine, dans cinq ou dix ans, mais je veux vivre avec toi toutes ces journées qu’il nous reste. Je veux pouvoir me réveiller le matin au creux de tes bras, m’endormir le soir ainsi. Je veux savoir, dans la journée, que tu es là, quelque part, et que tu attends comme moi avec impatience de nous retrouver dans notre chambre. Pour discuter, nous quereller aussi, pour nous cajoler et nous embrasser. Faire l’amour avec intensité. Je ne suis pas idiot, je sais qu’au fil du temps, notre passion va être moindre, mais point notre amour. Même quand nous serons vieux, je veux regarder tes si beaux yeux bleus, me noyer dans leur reflet et quand nous nous coucherons, quand nos corps ne seront plus capables de faire l’amour, je veux encore te serrer contre moi. À ce moment-là, si les dieux le veulent, nous partirons ensemble. Tu peux ranger au fond de ton cœur tes tourments. J’ai pris ma décision en mon âme et conscience et je ne reviendrais jamais là-dessus. Je te le promets, Jacques. »

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:30:57+01:00

« — J’aime Jacques ! Je suis épris de lui et il l’est de moi. Je sais que je dois me montrer prudent, et je le ferai. Jacques restera ici, quoi que vous puissiez en penser.

— Keir, pense à ton avenir. Tu désires des enfants, une femme…

— Non, Mère, murmura-t-il en se tournant vers elle. Je ne désire que Jacques. »

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:30:20+01:00

« Jacques, je t’aime ! Je te veux ici, pour toujours. Même si un jour, je suis obligé de me marier, je refuserais que tu retournes en France. Tu vois, je suis un sale égoïste qui ne pense qu’à lui.

Jacques se leva et se plaça à quelques centimètres de son guerrier.

— Je ne pense pas non plus avoir le courage de te quitter, le jour où cela arrivera. Je t’aime aussi, et je suis prêt à recevoir de toi tout ce que tu pourras me donner.

Keir l’attrapa par les bras et le serra contre lui. Le fardeau qu’il portait depuis leur retour de leur escapade chez les Mac Kintosh avait disparu. Il n’y avait plus que le bonheur de tenir contre lui l’homme qu’il aimait par-dessus tout. »

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:15:02+01:00

« — Keir, je me suis épris de toi, avoua enfin Jacques.

Keir se mit à rire.

— Je savais que lorsque tu me connaîtrais mieux, tu m’aimerais. Jacques, je t’aime, dit-il sérieusement. Je n’ai jamais eu des sentiments aussi forts pour personne. Nous trouverons une solution pour rester ensemble. Je ne veux plus vivre sans toi.

— Je te crois, accorda Jacques sans vouloir le contrarier, doutant fortement qu’un jour, ils puissent vivre ensemble. Nous trouverons une solution.

Ils s’endormirent sur ces paroles, le cœur lourd. Ils savaient que cela ne serait jamais possible. »

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:14:20+01:00

« — Nous devrions nous laver dans la rivière, suggéra-t-il alors que Keir le serrait contre lui.

— Oui, mon beau, nous allons y aller. Reste un peu comme cela. J’aime te tenir. Tu es si fragile par rapport à moi.

— Je ne suis pas fragile, Keir, dit-il en tournant la tête pour déposer un baiser sur ses lèvres.

— Je sais, tu es fort et j’aime savoir que tu peux te défendre seul. Mais j’adore te sentir ainsi nu contre moi. J’ai envie de toi, à longueur de temps.

Jacques posa sa tête contre son torse.

— Moi aussi, j’aime être ainsi. Profitons de cette journée, Keir, ne pensons à rien d’autre qu’à nous. »

.

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Extrait ajouté par minette467 2020-11-21T11:12:54+01:00

« — Je ne veux surtout pas qu’un autre que moi te touche, te caresse, t’offre du plaisir. Jacques, je crois que je suis épris de toi ! »

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Extrait ajouté par anonyme 2016-06-25T10:38:24+02:00

- Vous n'avez pas une seule fois essayé de me connaître, de m'estimer. Tout ce que vous avez toujours vu, c'est que j'étais celui qui empêchait Keir de vous donner des petits-enfants. Vous n'avez jamais pris en considération le dévouement que j'ai pour lui, pour vous, pour vos gens. Depuis le début, vous avez décidé que je n'étais qu'un embarras, une tare... Keir ne se rend pas compte de vos agissements. Pour lui, vous êtes tellement parfait!

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