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Une fois à l'intérieur, je détachai la bandoulière de mon Benelli et le posai sur la table de la cuisine avec mon casque. Puis j'enlevai mes gants, mon collier en cotte de mailles et plusieurs crucifix. En retirant les pieux et autres lames que je portais, de la boue séchée s'effrita et s'éparpilla à terre avec de petits bruits étouffés. Je sentais la sueur. Gros Bras appuya une de ses hanches contre le plateau de la table et m'observa me défaire de tout ça. Son regard était froid, mais il avait toujours cette amorce de sourire au coin des lèvres.

_ Est-ce que je suis censé fourrer un billet dans ta jarretière à la fin du spectacle?

Incapable de m'en empêcher, j'éclatai de rire. Il sourit.

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Une voix délicate et douce retentit dans le combiné :

— Salut Tante Jane.

Mon coeur commença à fondre. La Bête cessa de pousser vers la surface, s'assit et je l'entendis haleter dans mon esprit. Chaton pensa- t elle, heureuse.

— Salut Angie, alors comme ça, tu embêtes ta maman dans le bain ?

— Oui je suis pas sage, répondit-elle en riant.C'est parce que j'ai loué dans la boue. Tu me manques. Quand est-ce que tu viens à la maison ?

— Bientôt j'espère. Je te rapporterai une poupée. Quel genre de poupée tu veux?

— Avec de cheveux longs noirs et des yeux jaunes, comme toi !

Bon sang. Mon coeur dégoulinait autant qu'une motte de beurre au soleil.

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- troll en aura vite besoin. dis lui merci

- troll?

- Tom fis je en pointant le doigt vers son patient. toi c' est gros bras

- j'ai un nom, je m'appelle Georges Dumas.

- et alors?

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— Je viens de tomber amoureuse, répondis je au cuisinier, la bouche pleine. Si vous n'êtes pas marié, prenez ça comme une demande officielle.

Il sourit et son visage se plissa. Ses rides traçaient de véritables sillons sur ses joues. Il dévoila les plus grandes dents blanches qu'il m'avait été donné de voir jusqu'alors chez un humain.

— Ta copine, je l'aime bin, vraiment, mon p'tit Ricky, ajouta-t-il avec ce que je devinais être un accent cajun. (i1 se tourna vers moi, une étincelle de malice dans le regard.) Tu f'rai bin de lui parler de ma Marlene, j'aime pas quand un nouveau client termine le repas en sang sur mon sol tout prop'.

Rick, les coudes appuyés sur le bar, un acra dans une main, une chope dans l'autre, esquissa un sourire. Il se pencha vers moi :

— Marlene, c'est sa femme. Cent vingts kilos de jalousie et de danger ambulants.

— Et belle, t'as oublié de dire qu'elle est belle, intervint l'homme.

— A vous faire tomber à la renverse. Comme un volcan en éruption sur la piste de danse. Les hommes gémissent rien qu'à sa vue. Mais elle a toujours une lame de trente centimètres glissée dans sa jarretière.

— Jalouse, répéta le cuisinier. Bin jalouse.

Il plongea un panier grillagé en acier dans une cuve pleine de graisse bouillante. Sa tête penchait sur le côté.

— Elle a tué une femme ici même, l'année dernière, dit Rick en indiquant le sol un peu plus loin. Une femme qui essayait de le draguer, raide morte, juste là.

Réalisant enfin qu'ils se moquaient de moi, j'avalai une autre rondelle d'oignon et mâchai tout en ajoutant:

— Vous l'avez enterrée derrière, je suppose? Un soir de pleine lune ? Au son des tambours ?

— Sous un arbre, rétorqua l'homme en riant. Marlene lui a même fait graver une belle plaque. Dessus, il est écrit : « Ci-gît une idiote qui a essayé de draguer mon jules. »

Il essuya l'une de ses mains et me la tendit au dessus du bar.

- Antoine.

— Jane, fis-je à mon tour en l'imitant.

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Gros Bras leva le sourcil, surpris de me voir accomplir ces gestes féminins.

_ Tu cuisines, aussi? demanda-t-il d'un ton taquin. Parce qu'une femme qui fait un strip-tease avec ses armes, qui tient un Benelli comme quelqu'un qui sait s'en servir et qui, en plus, sait cuisiner me met dans tous mes états.

_ Non.

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_ Jane? balbutia-t-il.

Mon regard croisa le sien.

_ Ouais. Est-ce que tu as appelé une ambulance?

_ Des renforts. J'ai appelé... (Il marqua une pause pour respirer.) ... des renforts. (Je réfléchis un instant. Du vocabulaire de flic. Sans lui en demander la permission, je fouillai ses poches.) C'est pas le moment, bébé. Je ne suis pas vraiment en état pour... une partie de jambes en l'air.

ça me fit rire.

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"c'était la première fois que j'assistait à une soirée aussi guindée, et j'avais déjà horreur de ça : les robes des grand couturiers, les bonnes manières obligatoires, et tous ces gens déambulant de groupe en groupe pour papoter. pour moi, la soirée idéale se résumait en un fut de bière, un poste crachant de la musique country et quelques experts en sécurité qui discutent flingues, armes blanches et harley.

j'étais au supplice." p.230

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_ Je suis venu voir si tu voulais monter.

_ Quoi?

Des images de félins en plein accouplement, de grognements et de morsures se bousculèrent dans mon esprit. Son sourire s'élargit encore plus, il était plein de sous-entendus. C'était une chose à laquelle j'avais du mal à résister.

_ A cheval, précisa-t-il comme à une demeurée et sur un ton qui laissait à supposer qu'il voyait défiler les images dans ma tête.

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Je fis le tour de ma moto en gardant Joe à ma gauche.

J'arrimai l'étui de mon revolver par-dessus ma veste et glissai l'arme dans le fourreau en cuir fait sur mesure par un artisan dans les montagnes près d'Asheville.

Je vérifiai mes sacoches et vis des traces de doigts sur les chromes astiqué.

Des traces de gants pour être exacte.

Pas d'empreintes.

Toutefois,le simple fait d'avoir touché les cadenas lui avait fait un mal de chien,pariai-je.

En faisant semblant d'inspecter mes sacoches de plus près,je me baissai et reniflai.

L'odeur de son cigare était ténue,mais bien là.

Je relevai la tête et lui souris.

Il souleva le bord d'un chapeau de cow-boy imaginaire et m'imita.

J'enfourchai ma moto.

Il retira ses lunette.

Ses yeux étaient foncés,presque noir;un mélange de descendance européenne et indienne.

-Ça fait encore mal? Lui demandai-je en laissant ma voix flotter dans l'air humide.

-Ça picote,admit-il sans renâcler.( Après tout,s'il avait voulu que je ne l'identifie pas,il ne serait pas resté.)

Cadenas ensorcelé ?

J'opinai du chef

-C'est pas donné.Tu as eu le boulot?

Je levai le sourcil d'un air interrogateur.

-Chez Katie.Le bruit court que le Conseil à fait venir un prodige de loin pour anéantir le paria.

-J'ai le job,oui

Néanmoins,je n'aimais pas l'idée que tout le monde en ville connaissent la raison de ma présence.

Les vampires paria étaient d'excellent chasseur,les meilleurs même.

La Bête grogna pour exprimer son désaccord mais je l'ignorai.

Il hocha la tête et soupira.

-J'espérais qu'elle te virerait.Je voulais ce contrat.

Je haussais les épaules.

Qu'y avait-il à ajouter ?

Je donnai un coup de kick.

Ma moto cracha de la fumée et la Bête se rétracta en entendant le moteur gronder.

Elle n'aimait pas cette odeur,même si elle approuvait sans réserve mon moyen de transport.

Elle trouvait les motos carrément cool.

Je braquai le guidon et m'éloignai en gardant un œil sur Joe dans le rétroviseur.

Il ne bougea pas.

PAGES 28 ET 29

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— Vos papiers d'identité disent que vous avez vingt-neuf ans, cependant vous agissez comme une gamine de quinze ans la moitié du temps, comme une mamie de cinquante ans l'autre moitié. Vous vous comportez en guerrière urbaine, vous affolez mon psychomètre, ce qui signifie que soit vous dégagez de l'énergie, soit vous en transportez avec vous, soit vous la générez. De plus, vous venez de narguer un représentant de l'ordre alors que vous serez peut-être amenée à avoir besoin de nos services

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