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page 552 elle posa ses lèvres sur les sienne, et il ressentit le meme chocs qu'au moment de sa mort. toutes les momeculesde son corps explosèrent,soncorpsvola en éclats.son amesfut libéreret s'eleva vers le ciel.

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— Tu attends ici.

Mais Beth lui emboîta le pas.

Il se retourna, montrant du doigt la pièce par-dessus son épaule.

— C’est un ordre.

— Je n’attends nulle part.

— Putain, fais ce que je te dis !

— Non.

Elle avait répondu sans s’énerver. Elle le défiait avec un calme absolu et une détermination sans faille. Comme s’il n’était pas plus un obstacle sur son chemin qu’un petit tapis.

— Bordel de Dieu ! Très bien. Gerbe ton dîner.

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Quand elle revint de la cuisine, ils gardèrent le silence en finissant les biscuits. Même ceux qui étaient cassés au fond du paquet.

— Vous auriez autre chose à manger ? demanda-t-il.

Elle se leva, consciente qu’elle aussi avait encore un petit creux. — Je vais voir ce que je peux nous préparer,

— Vous avez le câble ? (Il désignait son poste de télévision.) Elle lui lança la télécommande,

—Oui. Je crois qu’il y a une soirée spéciale Godzilla sur TBS ce soir.

— Super, dit le vampire en étendant les jambes. Mais je dois vous dire : Je suis du côté du monstre.

Elle lui sourit.

— Moi aussi.

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Les humains se sentent menacés par tout ce qui est différent et cherchent à l'éliminer. Ce sont de grosses brutes qui s'en prennent aux faibles et chient dans leur froc devant les puissants.

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-Excusez-moi, messieurs. Le dîner sera servi dans environ un quart d'heure.

-Dites, ce sont des crêpes aux épinards ? demanda le blond en se dirigeant vers le plateau.

-Oui, Monsieur.

-Génial !

Les autres hommes se regroupèrent autour du majordome et se servirent. Et prirent des serviettes à cocktail. Comme s'ils ne voulaient pas risquer de renverser quoi que ce soit.

Putain, mais qu'est-ce que c'est que tout ce cirque ?

-Puis-je vous demander une faveur ? dit le majordome.

M. Normal acquiesça vigoureusement.

-Apportez un autre plateau et on tuera tout ce que vous voudrez.

Ouais, finalement, ce type est peut-être pas si normal que ça.

Le majordome sourit comme si la réponse le touchait.

-Si vous envisagez de saigner l'humain, seriez-vous assez aimable de le faire dans la cour arrière ?

-Aucun problème, répondit M. Normal en enfournant une autre crêpe dans la bouche. Bon sang, Rhage, t'as raison ! Ces crêpes sont bonnes !

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Il y eut un grincement au sol de cinq chaises qu'on repoussait.

Les membres de la Confrérie se levèrent comme un seul homme. Les cinqs vampires se dirigèrent vers elle.

Beth regarda le visage des deux qu'elle connaissait, mais leur expression grave n'avait rien d'encourageant.

Puis ils tirèrent leur couteau.

Dans un cliquetis métallique, cinq dagues noires étincelèrent hors de leur fourreau.

Paniquée, Beth recula, les mains levées devant elle. Elle se cogna contre un mur et était qur le point d'appeler au secours Kolher lorsque les hommes s'agenouillèrent en cerlcle autour d'elle. D'un même mouvement, comme une chorégraphie, ils plantèrent leur dague dans le sol à ses pieds et inclinèrent la tête. Le son de l'acier heurtant le bois sonnait autant comme un engagement que comme un cri de bataille.

Les manches des dagues vibrèrent dans l'air.

Le martèlement du rap se poursuivait.

Les hommes semblaient attendre une réponse de sa part.

- Mmm, merci, dit-elle.

Ils relevèrent la tête. Dans les traits durs de leur visage était gravée un expression de complète vénération. Même le visage du balafré exprimait le respect.

Sur ces entrefaites, Kolher arriva avec un chocolat bien chaud.

- Le bacon arrive. (Il sourit) Hé, on dirait qu'ils t'aiment bien !

- Dieu merci, murmura-t-elle, l'oeil fixé sur les dagues.

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Sa main franchit la distance entre leurs corps et il saisit le menton de Beth entre le pouce et l'index. Il lui inclina le visage.

- Vous allez me tuer vite? murmura-t-elle. Ou lentement?

- Pas tuer. Protéger.

Tandis qu'il baissait son visage vers elle, elle se dit qu'elle devrait essayer de le repousser, en dépit de ses paroles. Il fallait qu'elle retrouve l'usage de ses bras et de ses jambes. L'ennui, c'était qu'elle n'avait pas vraiment envie de le repousser. Elle prit une profonde inspiration.

Bon sang, il dégageait une odeur extraordinaire. De la transpiration fraîche et propre. Une odeur masculine musquée. Et cette fumée!

Les lèvres de l'homme effleurèrent son cou; elle sentit qu'il humait. Elle entendit le craquement du cuir de son blouson lorsque l'air emplit ses poumons et que sa poitrine se gonfla.

- Vous êtes presque prête, déclara-t-il d'une voix douce. Et ça arrive vite

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Lorsqu’elle sortit dans le couloir, elle n’en crut pas ses yeux au spectacle qui l’attendait.

Devant l’entrée de la salle d’opération, comme un énorme rempart vivant, les Frères et Butch étaient étalés sur le sol. Tous dormaient à poings fermés et paraissaient aussi épuisés qu’elle. Vishous et Butch étaient adossés au mur, l’un à côté de l’autre, un petit récepteur de télévision et deux revolvers entre eux deux. Rhage était couché sur le dos, une dague à la main, à ronfler doucement. Tohrment avait posé sa tête sur ses genoux relevés. Phury était allongé sur le côté, une étoile ninja serrée contre sa poitrine comme s’il la berçait.

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— Du calme, mon amour. Détends-toi, dit-elle. Je veux que tu serres ma main, une fois pour "oui", deux fois pour "non". Tu as mal?

Non.

Avec tendresse, elle essuya les larmes de ses joues râpeuses.

— Tu es sûr?

Oui.

— Tu veux que j’aille chercher Havers?

Non.

— Tu as besoin de quelque chose?

Oui.

— À manger? À boire? Une veine

Non.

Il se mit à s’agiter, les yeux affolés et sauvages.

— Chut, ça va aller. (Elle l’embrassa sur le front.) Calme-toi. On va trouver ce dont tu as besoin. On a tout notre temps.

Il posa ses yeux sur leurs mains jointes, avant de la regarder à nouveau. Puis il recommença le même manège.

— Moi? chuchota-t-elle. Tu as besoin de moi?

Il lui serra la main, sans relâcher la pression.

— Oh, Wrath… Je suis à toi. On est ensemble, mon amour.

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— Tu tiens vraiment à elle.

Wrath pensa qu’il aurait dû s’en tenir à : « Va te faire foutre ! »

— Et je crois qu’elle ressent la même chose, ajouta Tohr.

Oh, génial. Il se sentait beaucoup mieux. Comme ça, en plus, il risquait de lui briser le coeur au final. Ce dîner était vraiment une très mauvaise idée. Mais à quoi jouait-il au juste avec ses conneries sentimentales?

Wrath montra les dents.

— Je reste avec elle jusqu’à sa transition. C’est tout.

— Ouais, tu parles. (Quand Wrath émit un grondement sourd, l’autre vampire haussa les épaules.) Je ne t’ai jamais vu te mettre sur ton trente-et-un pour une femelle.

— C’est la fille de Darius. Tu veux que je la traite comme Zsadist ses putes?

— Bon Dieu, non. Si seulement il pouvait arrêter ses conneries, celui-là. Mais ça me plaît que tu sois avec Beth. Tu es resté seul trop longtemps.

— C’est ton avis.

— Et celui des autres.

Wrath sentit la sueur perler à son front.

La franchise de Tohr lui donnait la sensation d’être piégé. Tout comme le fait qu’il était censé protéger Beth… et s’évertuait au contraire à lui donner la fausse impression qu’elle comptait pour lui.

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