Date de sortie
La machine à fantasmes
- France : 2012-04-11 - Poche (Français)
Cher Lecteur,
Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.
Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.
Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.
Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.
Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.
Cordialement,
L'équipe BookNode
P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.
La machine à fantasmes
Résumé
Ecrire l'histoire n'est pas chose facile. Surtout quand on a choisi de s'intéresser à la Révolution française, grande pourvoyeuse d'idéologies, d'images et de fantasmes. Ces inventions et des digressions sont pourtant le socle où s'enracinent mémoires collectives et convictions individuelles. Elles sont ici à l'honneur, ou plutôt à l'épreuve.
A travers des analyses de cas très concrets, l'un des meilleurs spécialistes de la période s'interroge ici sur les non-dits et les impensés à l'oeuvre dès lors qu'on traite du régicide, des meurtres de masse, du peuple, de la nation ou de l'héroïsme.
Ainsi, les monuments de notre mémoire nationale sont démontés : la « guerre de Vendée » comme emballement d'un discours officiel, au sein d'un régime en proie à des divisions internes incontrôlées ; la « Terreur » comme un tour de passe-passe pour endiguer des pulsions meurtrières puis pour discréditer un bouc-émissaire. Tandis que les pratiques commémoratives, fondatrices de l'opinion dominante, sont passées au crible : « Valmy » et son bicentenaire laborieux ; Charlotte Corday et Joseph Bara, en leurs interminables déclinaisons morbides ou érotiques... Une leçon de méthode.
Afficher en entier