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Extrait ajouté par Miss-Charley 2020-04-12T12:03:34+02:00

Mais le narrateur est plutôt tenté de croire qu'en donnant trop d'importance aux belles actions, on rend finalement un hommage indirect et puissant au mal. Car on laisse supposer alors que ces belles actions n'ont tant de prix que parce qu'elles sont rares et que la méchanceté et l'indifférence sont des moteurs bien plus fréquents dans les actions des hommes.

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Extrait ajouté par MoonBear 2018-11-25T14:47:56+01:00

Ma mère était ainsi, j’aimais en elle le même effacement et c’est elle que j’ai toujours voulu rejoindre. Il y a huit ans, je ne peux pas dire qu’elle soit morte. Elle s’est seulement effacée un peu plus que d’habitude et, quand je me suis retourné, elle n’était plus là.

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Extrait ajouté par PavillonRouge 2018-04-04T14:28:39+02:00

« A Oran comme ailleurs, faute de temps et de réflexion, on est bien obligé de s’aimer sans le savoir. »

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Extrait ajouté par Sabine68 2017-11-07T11:50:14+01:00

La presse, si bavarde dans l'affaire des rats, ne parlait plus de rien. C'est que les rats meurent dans la rue et les hommes dans leur chambre. Et les journaux ne s'occupent que de la rue.

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Extrait ajouté par wizbiz06 2012-04-27T14:06:36+02:00

Le lendemain, 30 avril, une brise déjà tiède soufflait dans un ciel bleu et humide. Elle apportait une odeur de fleurs qui venait des banlieues les plus lointaines. Les bruits du matin dans les rues semblaient plus vifs, plus joyeux qu’à l’ordinaire. Dans toute notre petite ville, débarrassée de la sourde appréhension où elle avait vécu pendant la semaine, ce jour-là était celui du renouveau. Rieux lui-même, rassuré par une lettre de sa femme, descendit chez le concierge avec légèreté. Et en effet, au matin, la fièvre était tombée à trente-huit degrés. Affaibli, le malade souriait dans son lit

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-19T20:01:21+01:00

Le fléau n’est pas à la mesure de l’homme…

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-19T20:01:21+01:00

La presse, si bavarde dans l'affaire des rats, ne parlait plus de rien. C'est que les rats meurent dans la rue et les hommes dans leur chambre. Et les journaux ne s'occupent que de la rue.

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Extrait ajouté par myra44 2012-08-07T14:00:28+02:00

Il répondait pour finir, et c'est ici que les carnets de Tarrou se terminent, qu'il y avait toujours une heure de la journée et de la nuit où un homme était lâche et qu'il n'avait peur que de cette heure-là.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-19T20:01:21+01:00

Mes frères, vous êtes dans le malheur, mes frères, vous l’avez mérité.

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Extrait ajouté par x-Key 2010-11-19T20:01:21+01:00

Qu'est-ce que cela fait ? dit-il. Ce n'est pas la loi qui compte, c'est la condamnation. Nous n'y pouvons rien.

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