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Dans les années 1940, une épidémie de peste s'abat sur la ville d'Oran. Jour après jour, le lecteur suit l'apparition et l'extension de la maladie. Il découvre les réactions de chacun des personnages face aux souffrances et à la mort : certains fuient, d'autres restent pour lutter. À travers ce grand roman, Albert Camus rend hommage à ceux qui affrontent la vie avec modestie et honnêteté, et nous invite à réfléchir sur les valeurs de solidarité et d'engagement
Écoutant, en effet, les cris d'allégresse qui montaient de la ville, Rieux se souvenait que cette allégresse était toujours menacée. Car il savait que cette foule en joie ignorait, et qu'on peut lire dans les livres, que le bacille de la peste ne meurt ni ne disparaît jamais, qu'il peut rester pendant des dizaines d'années endormi dans les meubles et le linge, qu'il attend patiemment dans les chambres, les caves, les malles, les mouchoirs et les paperasses, et que, peut-être, le jour viendrait où, pour le malheur et l'enseignement des hommes, la peste réveillerait ses rats et les enverrait mourir dans une cité heureuse.
Ce livre est génial. certes, le lecture demande un peu plus de temps mais on est pas dans la bibliothèque rose non plus. Il faut prendre son temps pour le lire, faire des pauses si nécessaire mais le roman vaut le coup. Déjà, on entre assez bien dans l'histoire, et s'il n'a pas beaucoup d'actions (réponse au commentaire de zebi) c'est justement pour se rendre compte de la vie qu'avait les habitants d'Oran à ce moment. La lassitude pour la vie et en même temps l'espoir de ganger contre la maladie.
Personnellement, j'ai voyagé la-bas à la lecture et le style est très plaisant. On immagine chaque scène avec précision, on ressent les émotions des personnages (ce qui n'est toujours le cas dans certains "classiques")
Mes passages préférés sont les passages de médecine, la description de la maladie et aussi le roman de Grand, qui passe des heures et des heures à paufiner la première phrase de son roman. Ces passages sont très beaux et résument la situations : l'horreur de la maladie, la désolation et le désespoir qu'elle cause.
Un beau roman lu à l'adolescence, il y a un temps certain mais dont je garde un souvenir de densité, un style beau et brut, presque râpeux, pour décrire la mort, la désolation d'une épidémie dans une ville du sud.
J’ai lu La Peste en 2025, et pourtant, je n’hésite pas à dire que c’est pour moi le plus grand livre de tous les temps. Rarement une œuvre a su autant me bouleverser, me faire réfléchir, me toucher au cœur. Ce roman est plus qu’une simple chronique d’épidémie : c’est un miroir tendu à l’humanité, une œuvre profondément poignante, d’une lucidité bouleversante.
Dans les années 1940, une épidémie de peste frappe brutalement la ville d’Oran. Camus nous plonge au cœur de ce huis clos étouffant, où la maladie grignote le quotidien, les espoirs et les certitudes. Jour après jour, on suit l’évolution de l’épidémie, mais surtout celle des hommes : certains fuient, d’autres restent, luttent, doutent, ou se révèlent. Le docteur Rieux, figure centrale du roman, incarne cette honnêteté lucide, ce combat modeste et sans illusion pour le bien.
À travers cette tragédie, Camus rend un hommage bouleversant à ceux qui résistent, non par héroïsme, mais par fidélité à une éthique simple : ne pas laisser souffrir en silence, ne pas détourner les yeux. Le roman devient alors une leçon de courage, de solidarité et de résistance humaine face à l’absurde.
Camus ne propose pas de grands discours, mais des actes, des gestes, des silences lourds de sens. Son écriture, sobre et dense, va droit à l’essentiel. La Peste est une œuvre qui résonne puissamment aujourd’hui, peut-être même plus encore qu’à sa parution. Elle nous rappelle que, face à l’horreur ou à l’absurde, la dignité humaine réside dans l’engagement et la solidarité.
Même si je ne l’ai lu qu’en 2025, je suis convaincu qu’aucun livre ne m’aura autant marqué. La Peste est un cri, une prière silencieuse, un hommage à la condition humaine dans toute sa fragilité et sa grandeur. Un chef-d’œuvre inoubliable, nécessaire, universel
La peste d'Albert Camus est un roman que je viens de finir de lire , c'est la première fois que je lis ce livre.
J'ai bien aimée ce livre malgré quelques longueurs, l'auteur nous dépeint la ville d'Oran, nous montre les horreur de la mort et que la mort est a la fois la juste et la plus injuste. Le message derrière la peste est intéressant.
Mais ce que je reproche à ce livre c'est le fait que les femmes sont complètement exclus du récit on ne cite que deux noms de femmes et le reste ne sont désignés que par des rôles que la femme de la mère de. Mais aussi que malgré que le récit se passe en Algérie on ne parle que de français.
Camus encore une fois me surprend agreablement tant par son style que par sa philosophie qui pointe entre ces pages. J'ai adoré le personnage de Rieux qui est très humaniste et par lui on découvre ou redecouvre des choses qui sont primordiales en temps de crise : l'amour, la tendresse, la solidarité... J'ai aimé ce roman malgré un sujet douloureux et les pertes engendrées iol en ressort de la beauté..
Un excellent classique. L'écriture est sublime, l'histoire est prenante et on suit l'évolution de la peste et la vie des confinés en étant captivée. Y a malheureusement quelques longueurs néanmoins.
Classique de la littérature, cet ouvrage nous plonge dans l'univers chaud, lent et angoissant d'une ville touchée par la peste. Au sein de ce grand huis clos qu'est devenue la ville barricadée, la vie continue tant bien quel mal.
La Peste est peut-être bien écrit, mais il m’a profondément agacé. Son allégorie du nazisme est assénée avec une telle lourdeur que la lecture devient interminable. Tout est froid, mécanique, sans émotion, comme si Camus voulait plus faire passer un message qu’écrire une histoire à laquelle on peut s’attacher.
Mais ce qui m’a le plus exaspéré, c’est la manière dont il parle d’Oran. Je suis profondément attaché à cette ville, et la voir réduite à un endroit sans âme, terne et insignifiant, me révolte. Camus la dépeint avec un mépris à peine voilé, comme s’il n’y voyait rien d’autre qu’un décor pour son allégorie, sans considération pour sa richesse et son histoire. C’est insultant. Franchement, entre la longueur du récit et cette vision réductrice d’une ville que j’aime, ce livre m’a laissé un goût amer.
Ce livre aurait été parfait sans toutes ses longueurs dues à d'interminables descriptions. J'ai perdu le fil de temps en temps, c'était difficile à suivre. J'aurais aimé que les passages philosophiques soient plus synthétiques au profit de davantage d'action. Ainsi, je ne me serais pas lassée de cette lecture.
Pour autant, certains passages sont simplement beaux, comme la confidence de Tarrou à Rieux à la fin du livre par exemple. Et l'étude de la condition humaine face à la souffrance et l'absurdité est poussée et pertinente. À moindre dose, ce serait mieux passé pour ma part...
Résumé
Dans les années 1940, une épidémie de peste s'abat sur la ville d'Oran. Jour après jour, le lecteur suit l'apparition et l'extension de la maladie. Il découvre les réactions de chacun des personnages face aux souffrances et à la mort : certains fuient, d'autres restent pour lutter. À travers ce grand roman, Albert Camus rend hommage à ceux qui affrontent la vie avec modestie et honnêteté, et nous invite à réfléchir sur les valeurs de solidarité et d'engagement
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