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Pour trouver un prince, il faut embrasser de nombreux crapauds. Ou en virer un paquet de chez soi.
Afficher en entierC'est une drôle de chose que d'être le produit d'un amour de conte de fées. Mais penser que l'on peut trouver l'amour soi-même n'a rien à voir. On peut certes regarder des films, lire des histoires et réfléchir à la façon dont tout ça est censé se dérouler.
Mais la vérité, c'est que l'amour c'est à la fois le destin et la planification, la beauté et le désastre.
Afficher en entierIl est beaucoup plus à l'aise avec les livres qu'avec les gens et il lui faut parfois longtemps avant d'être chaleureux avec autrui.
Afficher en entier- Je ne connais personne qui ait eu un premier baiser réussi.
Il prit le temps de répondre.
- Moi non plus. Ce ne sont peut-être pas les premiers baisers qui sont censés être uniques, mais les derniers.
Afficher en entierCe ne sont peut-être pas les premiers baisers qui sont censés être uniques, mais les derniers.
Afficher en entierC'est une drôle de chose que d'être le produit d'un amour de conte de fées. Mais penser que l'on peut trouver l'amour soi même n'a rien à voir. On peut certes regarder des films, lire des histoires et réfléchir à la façon dont tous ça est censé se dérouler.
Mais la vérité, c'est que l'amour c'est à la fois le destin et la planification, la beauté et le désastre. Pour trouver un prince, il faut embrasser de nombreux crapauds. Ou en virer un paquet de chez soi.
Afficher en entier- Je ne connais personne qui ait eu un premier baiser réussi.
Il prit le temps de répondre.
- Moi non plus. Ce ne sont peut-être pas les premiers baisers qui sont sensés être uniques, mais les derniers.
Afficher en entier- Oublie cette règle idiote, Eadlyn. Épouse l'homme que tu aimes. S'il est assez bon pour gagner ton approbation, il est assez bon pour moi. Et si les gens ne sont pas contents, c'est leur problème. Parce que qui es-tu ?
- Je suis Eadlyn Schreave, et personne au monde n'est aussi puissant que moi, répliquai-je sans réfléchir.
Afficher en entier— Henri est un jeune homme charmant, constata maman. Je ne m’attendais pas à ce qu’il te plaise mais il te fera sourire, c’est certain.
— Pfff. (Papa se tourna vers elle.) Qu’est-ce que tu y connais en mari ? La dernière fois que tu en as choisi un, tu es tombée sur moi.
Elle sourit en lui donnant une tape sur le bras.
— Vous êtes tellement répugnants tous les deux, leur dis-je en riant. Vous gâchez tout.
Afficher en entierLe général Leger me décocha un clin d’œil. Je me levai et le suivis hors de la pièce, non sans m’être retournée vers ma mère, au cas où.
Elle n’avait pas bougé.
Dans le couloir, il me présenta son bras.
— Êtes-vous prête, ma presque-reine ?
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