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Le chant des Fenjicks



Description ajoutée par Chloeoptere 2020-08-29T13:05:48+02:00

Résumé

La transhumance galactique des Fenjicks est menacée. Traqués depuis des millénaires par les Chalecks, ces créatures cosmiques ne servent plus que de taxis vivants à travers l’espace. Après des années de servitude, leur nombre s’amenuise et leur espèce est menacée d’extinction. Mais leur mystérieux chant silencieux traverse toujours la galaxie. Il porte en lui les notes d'un nouvel espoir : le soulèvement des cybersquales. À travers le destin d’extraterrestres que rien ne destinait à la lutte, Le Chant des Fenjicks nous offre un roman choral où chaque voix est la pièce d’un puzzle, et chaque protagoniste, le rouage invisible d’une révolution qui les dépasse toutes et tous. Luce Basseterre signe une préquelle incroyablement réussie à La Débusqueuse de mondes et compose une mélodie silencieuse, violente et douce à la fois, qui vous emportera dans des contrées insoupçonnées.

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Classement en biblio - 9 lecteurs

extrait

Extrait ajouté par Aryia 2021-02-27T11:11:51+01:00

– Si je me fais prendre …

– Contente-toi de suivre mes consignes et ça n’arrivera pas. Ce n’est pas dans mon intérêt, n’est-ce pas évident ?

– Mais pourquoi courir autant de risques, en quoi cela te concerne-t-il ? Qu’est-ce que tu espères ?

– Je suis peut-être libre, mais aussi sans but. Mon intelligence supérieure ne parvient pas à s’en satisfaire. Pas plus que de me savoir libre alors que des millions de mes congénères souffrent toujours sous la contrainte.

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Commentaires récents

Commentaire ajouté par JonT 2022-05-24T20:45:47+02:00
Pas apprécié

Le chant des Fenjicks, de Luce Basseterre. Roman de SF (ça change de la fantasy, et même des dystopies/uchronies/etc : là on est vraiment dans de la SF, de la vraie, avec empire galactique, diverses races sur diverses planètes, voyage spatial et tout le tintouin), j’étais content de m’y attaquer, ça faisait longtemps que je n’avais pas lu ce genre de trucs, mais au final j’en ressors avec un avis assez mitigé… :/

Le pitch en bref : on suit deux individus à deux bouts de la galaxie, un Imbtu (une sorte de félidé vivant dans une société matriarcale) et un.e Chaleck (sorte de camélénoïde hermaphrodite, la race dominant l’Empire), aux prises avec des problématiques qui leur sont propres (au départ) mais qui conernent, de près ou de loin, des cybersquales : des Fenjicks (sortes de grosses baleines de l’espace capables de sauter en hyperespace) modifiés, trépanés, dirigés par des IA, et servant de vaisseaux spatiaux.

J’ai pas mal accroché à la première partie du roman : les problématiques à niveau « humain » des protagonistes, les thèmes abordés (en gros, l’Empire Chaleck essaie plus ou moins d’imposer l’hermaphrodisme sur les planètes qu’il domine, ce qui donne lieu à plein de réflexions intéressantes, surtout sur une planète violemment matriarcale comme celle des Imbtus, avec un questionnement sur le genre (une bonne partie du boquin est écrite au neutre), sur le libre-arbitre, et sur tout un tas de trucs). J’ai bien aimé également une petite partie vers la fin qui revenait sur des thèmes intéressants comme la participation à la société, la mémoire, ce genre de trucs. En revanche, assez vite, on passe à des enjeux beaucoup plus énormes, qui sont mal amenés, tombent un peu comme un cheveu sur la soupe, enlèvent tout intérêt à ce qu’il s’était passé jusque là, et sont en plus plutôt mal traités à mon goût. Le caractère « extra » de tout ce qui arrive est très mal transmis, j’ai ressenti très peu d’impact et d’émotion alors que certains passages auraient dû être épiques. La faute peut-être à une distance dans la narration, ou à un rythme trop rapide et morcelé – avec en plus des difficultés à suivre la notion du temps qui passe.

Bref, c’est plutôt loupé pour moi, et c’est dommage, car beaucoup de thèmes abordés m’intéressent pourtant beaucoup…

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Commentaire ajouté par kadeline 2022-05-09T21:21:57+02:00
Or

L’univers est peuplé d’espèces très différentes à la tête de la majorité des planètes, on trouve des « caméléons ». Espèce qui s’est affranchi de la reproduction sexuée, elle maintient la paix de manière a priori pacifique. Le premier narrateur est un scientifique de ce peuple. Le second narrateur appartient à un peuple en cours d’assimilation, des « félins ». C’est un homme moyen qui subit le fait que les mâles de son espèce deviennent stériles. On est en pleine transition, les mâles fertiles sont très recherchés pour poursuivre une reproduction traditionnelle et en parallèle les premières générations nées avec assistance et sans la différenciation sexuée pré-existante grandissent. Sauf rebellion, à terme leur mode de reproduction est condamné. L’équilibre va-t-il durer ou une guerre est-elle à prévoir ? Et si ce n’était que la partie cachée de l’iceberg ?

Le destin de ces deux narrateurs va se croiser autour d’une troisième espèce, des baleines de l’espace. Comme elles sont considérées comme non pensante, elles ont un statut d’animal et peuvent donc être chassées et transformées en vaisseaux. Mais est-ce vraiment le cas ? Qui peut juger de qui est une espèce pensante et qui ne l’est pas ? Et même si une espèce est considérée comme inférieure, quels comportements sont admissibles ou non ?

Le récit est divisé en 2 parties. La première raconte le quotidien de nos deux narrateurs et présentent un univers qui semble en paix. La seconde partie va faire la part belle aux baleines spatiale. Elle est écrite sous forme de roman choral, avec un rythme où tout s’accélère. Le passage d’une partie à l’autre est un peu délicat mais on s’y fait rapidement. Cet univers est génial, les idées abordées sont pertinentes et permettent une réflexion sur notre monde. L’écriture est addictive. C’est une excellente lecture même si le passage au roman chorale donne une impression un peu fouilli au départ.

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Commentaire ajouté par FeyGirl 2021-05-26T17:40:24+02:00
Pas apprécié

Je remercie les éditions Mnémos pour l envoi de ce roman. J avais beaucoup apprécié La Débusqueuse de Mondes de la même auteure, et j étais enchantée de découvrir sa préquelle. Aussi, ma déception est grande. J ai attendu pour publier cette critique, afin de ne pas nuire au lancement du livre.

Dans un univers peuplé d espèces très diverses, les Fenjicks sont des animaux cosmiques qui évoluent près des étoiles et qui naviguent dans les espaces interstellaires. Les Chalecks les capturent pour les asservir et les transformer en vaisseaux spatiaux, des cybersquales dotés d IA. Deux protagonistes, un Chaleck et un Imbtu, vont être entraînés dans des aventures épiques.

L immersion dans le roman est très ardue, la faute à une narration maladroite : les personnages sont présentés en Point de Vue à la première personne (le personnage parle et raconte ce qu il vit). Mais l univers très foisonnant est peu exposé, le lecteur met du temps à comprendre les sociétés dans lesquelles ils évoluent et leurs péripéties très (trop) nombreuses.

Les personnages secondaires se multiplient, parfois avec des noms imprononçables, et rapidement j ai été perdue dans l enchaînement des séquences (parfois très courtes) et le déferlement d actions avec les nouveaux protagonistes : je ne savais plus si un des personnages Point de Vue les avait déjà rencontrés ni quel était leur rôle. À cela s ajoutent de nombreux des mots inventés et des pronoms neutres pour une catégorie de personnages, qui exigent un effort de lecture supplémentaire. De plus, l écriture est un peu hachée.

Pourtant, peu à peu se dessinent un enjeu et une trame. Mais là encore, le scénario accumule les péripéties, les obstacles, les rebondissements, à tel point que j ai eu le sentiment d une histoire « forcée » pour accentuer l épique (et rallonger le livre ?), alors que souvent ces mini-événements n ont pas d impact sur le mouvement de fond. J ai fini par survoler quelques passages en diagonale.

De nouveaux personnages Points de Vue apparaissent au fil du récit, contribuant un peu plus à perdre le lecteur. C est dommage, car le roman précédent La Débusqueuse de Monde était à la fois plus simple et plus agréable à lire, j y avais pris beaucoup de plaisir.

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Commentaire ajouté par Dilvish 2021-03-13T14:02:39+01:00
Lu aussi

Un ouvrage dans lequel on retrouve l'univers de la Débusqueuse de mondes. J'ai eu des difficultés à entrer dans le texte du fait des nombreuses inventions de vocabulaire de l'autrice, et d'autres difficultés dans le manque d'homogénéité des points de vue. Néanmoins, il y a un côté thriller particulièrement prenant. retrouver les thèmes chers à Luce Basseterre - libertés, libre disposition des corps, ouverture à l'autre... Un bon livre, mais peu facile d'accès.

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Commentaire ajouté par Aryia 2021-02-27T11:03:53+01:00
Or

Cela fait très exactement une heure que je fixe du regard ma page Word, désespérément vide : j’ai beau tourner et retourner la question dans tous les sens, je ne sais absolument pas comment débuter cette chronique. Pour la simple et bonne raison qu’une bonne partie de mon être est encore enfermé dans le livre posé à mes côtés : je n’arrive pas à admettre que c’est déjà fini, qu’il est temps de revenir à la réalité. Qu’il faut quitter cet univers, ces personnages. Que l’histoire est achevée. C’est finalement assez rare, que je ne parvienne pas à me dépêtrer d’un livre, que je reste captive d’un roman sans parvenir à tourner « pour de bon » la dernière page. Que j’ai envie de planquer les autres services presse en attente tout au fond d’une armoire pour pouvoir le reprendre du début sans culpabiliser à cause de la pile qui ne cesse de grandir. Que j’aurai besoin d’une seconde lecture pour réussir à trouver les mots justes pour en parler, pour vous faire vraiment comprendre à quel point ce livre m’a captivée, fascinée, passionnée. Et surtout, à quel point je vous le conseille, parce qu’il vaut vraiment le détour …

Comme quasiment tous les mâles Imbtus, Smine Furr est infertile. Mais contrairement aux dirigeantes de son peuple, qui tiennent l’envahisseur Chalecks – reptiliens androgynes – pour responsables de cet état de fait et fomentent une révolte, le félidé n’est pas mécontent de son sort : sa stérilité lui permet d’échapper aux traditions, de ne pas avoir à prendre compagne et donc de mener une petite vie plutôt tranquille. Mais ces compétences informatiques lui valent d’être embarqué bien malgré lui dans une affaire impliquant les cybersquales, ces baleines galactiques trépanées puis lobotomisées et contrôlées par une intelligence artificielle pour servir de taxis vivants. Dans le même temps, Waü Nak Du, Chaleck spécialisé dans la cyberconversion de Fenjicks en cybersquale, se retrouve en difficulté : son projet d’élevage de bébés Fenjicks semble voué à l’échec, et il doit rapidement trouver un moyen de rembourser sa dette auprès de l’Empire qui a beaucoup misé dans ses recherches. Mais rien ne se passe comme prévu, et le voici entrainé contre son gré par un cybersquale débridé dans une incroyable quête : celle de la liberté …

Par où commencer ? Sans doute par la richesse de cet univers : l’autrice nous offre ici un space-opera foisonnant et dépaysant. Non seulement elle a fait le pari, fort audacieux et quelque peu risqué, de nous faire cheminer aux côtés de héros non-humains, Smine étant un félidé et Waü un reptilien, mais elle n’hésite pas non plus à introduire au cœur-même de sa narration des termes épicènes qui peuvent déconcerter au premier abord mais qui coulent finalement de source quand on sait que les Chalecks sont hermaphrodites. De plus, elle est du genre à laisser le lecteur tirer lui-même les conclusions qui s’imposent, plutôt que de lui bourrer le crâne avec un prologue relatant en long, en large et en travers l’historique socio-politico-économique de cette portion de la galaxie. Et si, au début, on se sent un peu dépassé par toutes ces nouveautés, tout se met rapidement en place et on ne songe plus qu’à l’histoire de ce roman-choral pas tout à fait comme les autres. Car ici, vous ne trouverez ni gentils ni méchants – les Chalecks ne pouvant pas prétendre à cette qualification, car ils sont intimement convaincus d’agir pour le bien des peuples qu’ils asservissent –, juste une ode stellaire à la liberté, quête universelle qui permet au lecteur de se sentir proche de ces protagonistes si différents de lui …

Car voilà bien le génie de Luce Basseterre : nous nous attachons autant à Smine, ce bon gros matou qui n’aspire dans un premier temps qu’à se libérer définitivement de la pression sociale qui pèse sur ses épaules, qu’à Waü, ce gros lézard qu’on pourrait considérer imbuvable et insensible s’il n’était pas aussi angoissé et paumé, sans oublier Koba, Samtol et Alduin, ces cybersquales bien décidés à libérer les leurs de l’oppression et de l’esclavage. A leurs manières, tous cherchent à s’affranchir de leurs chaines, qu’elles soient visibles (les implants qui ôtent toute liberté aux Fenjicks pour qu’ils deviennent de dociles vaisseaux interstellaires), externes (les attentes sociétales qui brident les choix des individus pour les contraindre à se plier aux coutumes ancestrales) ou internes (les peurs et angoissent qui paralysent, qui empêchent d’aller de l’avant, qui enferment dans une routine parfois malsaine pour ne pas avoir à se confronter à l’inconnu) … Ils sont très différents les uns des autres, et très différents du lecteur, mais ils sont semblables grâce à cette flamme identique qui brule en eux : celle de l’individualité, du libre-arbitre, si souvent étouffé, si souvent opprimé.

Et voilà que les routes de tous ces êtres convergent progressivement, et que les différentes intrigues s’entremêlent pour n’en former plus qu’une, celle de cette révolution d’abord silencieuse, portée par le chant des Fenjicks, et puis foudroyante. Car nulle révolte ne se fait dans dommages collatéraux, et plus la rancœur couve depuis longtemps, plus le désir de vengeance est puissant. Et alors, même la plus noble des causes peut se transformer en carnage, en mépris d’autrui. Il y a dans ce roman des passages plutôt durs, des passages plutôt sanglants, car l’autrice n’a pas enjolivé les choses, elle n’a pas romancé cette terrible réalité : quand on se bat pour « un monde meilleur », on cause toujours du tort à certains. Pire encore, on en vient à réprouver formellement ceux qui ne pensent pas comme « la masse », ceux qui résistent au changement, et on les traite de tous les noms comme si c’était un crime de craindre la nouveauté. Comme si, sous prétexte que l’autre n’est pas d’accord avec nous, il devenait un danger … Beaucoup de crimes ont été commis au nom de la liberté, sont-ils plus excusables que les autres ? Tout dépend du point de vue duquel on se place, et c’est vraiment ce que je retiens de ce roman-choral.

En bref, vous l’aurez bien compris, c’est à la fois un roman incroyablement palpitant, haletant, saisissant, et un récit admirablement intéressant, puissant, poignant. Ce n’est pas un simple roman de science-fiction, qui nous entraine au milieu des étoiles pour notre seul ravissement, ce n’est pas un simple roman d’aventure, qui nous parachute au cœur d’une quête effrénée pour la liberté, c’est aussi un ouvrage qui a bien des choses à dire sur notre monde et sur notre vie. Mais à mes yeux, c’est avant tout un excellent récit qui m’a fait rire, trembler, pleurer, vibrer : une fois plongée dans cette histoire, je n’avais plus qu’une seule envie, ne jamais en ressortir. Parce que l’univers créé par l’autrice est d’une richesse incroyable, parce que ses personnages sont tous si attachants chacun à leur manière, parce que la narration est vraiment vivante … On ne s’ennuie pas une seule seconde, et on en redemande. Et c’est vraiment un déchirement que de devoir les quitter lorsqu’arrive la dernière page, on a du mal à leur dire « au revoir » pour de bon alors on relit un passage, puis un autre, et encore un autre … En clair, je vous le recommande plutôt deux fois qu’une, et je compte bien me procurer aussi vite que possible La débusqueuse de mondes pour retrouver au moins quelques-uns de ces héros qui sont devenus de vrais amis !

http://lesmotsetaientlivres.blogspot.com/2021/01/le-chant-des-fenjicks-luce-basseterre.html

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Commentaire ajouté par Acaniel 2020-10-19T19:31:50+02:00
Pas apprécié

Un roman haut en couleur, à la fois poétique et d’une intense complexité !

Je tiens à remercier les éditions Mnémos pour l’envoi de ce roman. Je crois que ça doit bien être le premier roman de cette maison d’édition que je découvre. En tout cas, il n’est pas dans mes habitudes de lire leurs ouvrages, voilà une occasion parfaite avec Le chant des fenjicks !

Déjà, ce roman profite d’une densité poussée à l’extrême. Des pages où les mots y sont condensés, de quoi lire durant de longues heures. J’ai été étonné par cet univers, dont l’ambiance presque poétique appelle à une lecture plus approfondie. Mais voilà, parce qu’il y a un mais, l’auteure intègre nombre de protagonistes dans son monde déjà fort complexe.

https://www.acaniel.fr/le-chant-des-fenjicks-de-luce-basseterre/

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Commentaire ajouté par BulledEleyna 2020-09-27T12:28:43+02:00
Or

Le Chant des Fenjicks est la nouvelle ode à la liberté de Luce Basseterre, un roman chorale qui entrelace les voix de divers protagonistes dans une symphonie poétique où s’invite le rythme guerrier d’une révolution qui marquera à jamais le destin de la galaxie.

Chronique complète : https://bulledeleyna.wordpress.com/2020/09/27/chronique-litteraire-le-chant-des-fenjicks-luce-basseterre/

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Date de sortie

Le chant des Fenjicks

  • France : 2020-09-18 (Français)

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2021-02-27T11:03:27+01:00

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