Commentaires

Je viens de terminer ce livre interminable, que j'ai ramé pour le finir, bien que Théo soit hyper attachant et son histoire m'a profondément touchée mais les innombrables descriptions détails par détails ont usé de ma patience. Mais je doit dire que l'écriture de Donna est très belle c'est de la poésie et il y a des métaphores à chaque page. pour ceux qui aime l'art c'est vraiment fabuleux. Autre point positif le personnage de Boris très belle création. Également Hobie qui est vraiment une bonne pâte.

https://mademoisellemaeve.wordpress.com/2015/06/02/le-chardonneret-donna-tartt/

Donna Tartt est sans doute l’un de mes auteurs préférés. Le Maître des illusions, son premier roman, que m’avait conseillé mon petit frère, a été un véritable succès et je l’ai vraiment adoré. Il ne s’agit pas seulement de l’histoire, mais de l’ambiance et de l’écriture de l’auteure américaine. J’ai tout de suite compris que ce livre que j’avais entre les mains était spécial. Il a fallu attendre dix ans pour lire son second roman, Le Petit Copain, que j’ai adoré aussi.

J’ai conscience que cette petite introduction ne me rend pas très objective, mais qu’importe. Donna Tartt a la faculté de me laisser plus qu’une histoire en tête, elle me laisse des impressions, un peu comme ces chansons qui nous ramènent aussitôt aux moments, aux lieux, avec les personnes avec qui on les écoutait. J’étais donc très impatiente de lire Le Chardonneret, un pavé de presque 800 pages, qui a reçu le Prix Pulitzer catégorie fiction.

Le Chardonneret, qui doit son nom au petit tableau du Néerlandais Carel Fabritius, est un roman dense, érudit. On y suit Theo, entre ses treize et vingt-sept ans, presque une vie, entre New York, Las Vegas et Amsterdam. Entre thriller, fresque et roman initiatique, Le Chardonneret est un livre qui s’est propulsé sur ma liste de romans préférés aux côtés de Seul le silence de R.J. Ellory et Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur d’Harper Lee (qui va publier un second roman cet été, apparemment, 55 ans après le premier, comme quoi dix ans pour un nouveau Donna Tartt, ce n’est pas si long) et L’extravagant voyage du jeune et prodigieux TS Spivet de Reif Larsen.

J’ai adoré Theo, j’ai partagé son chagrin, j’ai adoré le suivre toutes ces années, durant son enfance New-yorkaise, ses soirées éthyliques ou des déboires de jeune adulte. L’écriture de Donna Tartt est tellement dense que j’ai la sensation d’avoir lu ce roman pendant des mois et je suis un peu triste de me dire qu’il me faudra sans doute attendre longtemps pour lire à nouveau cet auteure, mais c’est sans doute en partie sa rareté qui la rend exceptionnelle.

Lauraline, nous avons le droit d'aimer ou de ne pas aimer, je vois cependant ici et ailleurs que la liste des critiques négatives s'allonge..Vous le dites très bien il y a des messages,certes, mais comme vous j'ai du lire, et relire et reprendre des pages en arrière car je perdais le fil à forte de descriptions des lignes et des lignes à n'en plus finir ...La lassitude faisant sans doute ! Bonne journée :)

Quand on commence à lire du Donna Tartt, il faut s'attendre à plonger dans une histoire enivrante dont il est difficile d'en sortir. Je l'ai déjà dit mais elle a une plume incroyable. Cette façon qu'elle a de raconter des événements horribles de manière presque anodine m'étonnera toujours. Elle signe ici une oeuvre ample (1100 pages tout de même) en nous emmenant dans une descente aux enfers, vécue par Théo. Mais c'est aussi un roman qui nous apprend à jurer en Russe, ça peut toujours être utile.

J'ai ramé ...ramé ..... ramé ...j'ai failli couler ...Vraiment décevant, trop longues narrations, trop de descriptions , certes belles pour ceux qui aiment ce genre de prose de paragraphes inutiles qui n'apportent rien à l'histoire qui tire en longueur ..Du Russe, du néerlandais pas de traduction, en finalité je ne connais même pas le pourquoi du livre mis à part ..... l'analyse de différents personnages face au destin cruel, et qui s'embourbent pour certains au delà de ce que l'on peut imaginer .

Des descriptions de beuveries, de party de drogues, bref j'en ai eu pas mal assez de le lire, je soupirais d'ennui et d'incompréhension certains bouts .J'ai cru abandonner, mais non j'ai voulu savoir pourquoi les critiques littéraires étaient si optimistes à l'égard de ce livre .Conclusion si tous les livres de cette auteure qui en écrit un aux 10 ans sont pareils je capitule ! Ce sera le premier et le dernier , même si je ne m'avoue pas facilement vaincue .. Désolée, si il y avait une catégorie décevant comme cotation ce serait celle là ..

Maintenant tous les goûts sont dans la nature ! Si j' ai adoré le vagabond de Robert Goolrick très riche en descriptions , dans le celui là par contre on vit l'histoire avec émotion ..et on en est imprégné pour notre plus grand plaisir ..Pas dans ce livre ! Faites vous votre opinion ... :)

Bien écrit et traduit, description à la Gustave Flaubert, longues, très longues, avec plein de point-virgules, des phrases qui durent des pages (sur une liseuse ;) ) Un jeune qui se retrouve dans la déchéance de la drogue et ses divagations, ses mauvaises influences. L'idée du tableau me plaisait, comme l'anneau de Tolkien et les malheurs reliés au Violon Rouge, mais tout cela est noyé dans un océan de mots. A lire par étape, on en serait plus satisfait, car l'ayant lu d'un bout à l'autre, je n'ai qu'un commentaire, interminable marathon.

Le chardonneret aurait pu s intituler "comment survivre avec un syndrome post traumatique". Bref le personnage de Théo traverse sa vie en la subissant, au gré des rencontres bonnes ou mauvaises qu il fera, il s est arrêté de mûrir a 12 ans le jour de l événement qui le privera de sa mère et des lors c est en caméléon qu il se comporte, agissant par à coups, par lubies, par instinct, défaisant et détruisant ce qu il parvient a construire avec une certaine jubilation, mêlée d autodestruction, une honnête morale chancelante et surtout ......un irrépressible besoin d amour. C est vrai surtout dans le dernier tiers, les descriptions s enchaînent et le style s alourdit mais c est tout de meme un roman fascinant, peuple de personnalités limites et attachantes.

Dès que j'ai vu la couverture de ce livre, j'ai eu envie de le lire mais problème en commençant la lecture je m'étais mis en tête (pour je ne sais quelle raison) qu'il s'agissait d'un policier donc ma déception allait en grandissant.

Ne m'arrêtant pas pour autant et après quelque temps, je me suis beaucoup attachée au personnage principal dont on suit l'existence au détail près et me suis rendue compte que je n'avais pas le bon état d'esprit pour le lire.

Finalement, je me suis laissée portée et aspirée dans cet univers et j'ai adoré ce parcours initiatique d'un personnage luttant contre lui-même, les autres et le monde, m'identifiant parfois à lui.

Cet ouvrage est prenant et on a vraiment envie de d'accompagner ce garçon partout, de le consoler, prendre dans ses brase voire même de le secouer.

L'ambiance du livre et la fluidité de l'écriture sont très agréables.

A lire.

Je suis à la page 252...et je me demande si je dois continuer. Tant de livres m'attendent...je dois me donner une tape dans le dos pour m'encourager à poursuivre...et jusqu'à présent, l'intérêt suscité se décroît...je ne nie pas le fait que c'est bien écrit, mais il faut aussi provoquer chez le lecteur ce sentiment d'attachement aux personnages, à l'histoire, ce désir de prendre le livre et de vivre ´´aveć´, or, je crois bien que je vais le remiser sur la tablette, car le temps est trop précieux

En lisant vos commentaires, je me rends compte que vous avez les mêmes impressions que moi, j'en suis que dans les 50 premières pages et ça me gonfle déjà... Pourtant littéraire, l'art de la description, je connais mais jamais les grands auteurs du 19ème ne m'ont autant fatigué. Tout est dans le surplace, ça n'avance pas. Je pense que je vais laisser tomber, ce qui est rare chez moi.