Commentaire de Skivi

Quand j'ai commencé le roman, je n'ai pas tout de suite aimer l'histoire.

Tout d'abord, je n'aimais pas le changement de focalisation. Un moment on est avec le point de vu d'Andrew puis on est dans une focalisation omnisciente avec les autres personnages. Ensuite, je trouvais les mots trop compliqués.

Mais au fur et à mesure de ma lecture, j'étais vraiment tenue en haleine par l'histoire. Impossible de lâcher le roman. L'auteur fait très fort en mélangeant dans son roman divers sujets. Elle parle notamment de l'homosexualité, du sida, du suicides, du rejet des familles, des assassinas.

Souvent, quand on parle des grands meurtriers, on a souvent tendance à dire qu'ils ont subit de graves violences durant leur jeunesse et que c'est pour se venger qu'ils se seraient mis à tuer. Dans ce roman, Andrew et Jay sont des assassins froids et crus. Ils prenaient plaisir à tuer, à entendre les cris d'agonie de leur victime, à écouter le ronronnement du couteau bien affûté pénétrant la chaire tendre de leur jouet. Ils pensaient même apporter une délivrance à leur bouc émissaire. Seulement, je trouve qu'on n'a pas à juger de droit de vie ou de mort sur un quelconque individu. Qu'il ait commis un crime ou non.

Enfin bref, c'est le premier roman macabre que je lisais et je peux vous assurez que ce ne sera pas le dernier. J'ai vraiment été transportée par le style de l'auteur.