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Extrait ajouté par lelette1610 2020-12-10T14:40:26+01:00

Six heures plus tard, ils arrivèrent. Fjällbacka se réveillait tout juste. Elle gara la voiture devant le Sauvetage en mer et se demanda un instant comment elle ferait pour tout emporter.

Sam dormait toujours profondément. Elle trouva un paquet de mouchoirs en papier dans la boîte à gants et s’essuya les mains du mieux qu’elle put. Le sang était tenace, il était difficile à nettoyer. Puis elle sortit les valises du coffre arrière et les tira rapidement vers Badholmen où le bateau était amarré. De peur que Sam ne se réveille pendant son absence, elle avait fermé la voiture à clé pour qu’il ne puisse pas en sortir et tomber à l’eau. Elle descendit péniblement les valises jusqu’au bateau et ouvrit le cadenas de la chaîne censée protéger des vols. Puis elle retourna à la voiture en courant presque et constata avec soulagement que Sam dormait encore paisiblement. Elle le souleva et le porta, enveloppé dans sa couverture. Le regard fixé sur ses pieds, elle parvint à monter à bord sans glisser. Doucement, elle posa Sam directement sur le plancher et tourna la clé de contact. Le moteur toussa, puis démarra à la première tentative. Cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas piloté ce bateau, mais elle était confiante, elle y arriverait. Quittant l’emplacement en marche arrière, elle sortit du port.

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Extrait ajouté par lelette1610 2020-12-10T14:38:53+01:00

Combien d'épreuves un être humain peut-il endurer avant de se briser définitivement ?

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Extrait ajouté par Kmille6116 2020-08-06T10:43:44+02:00

C’est seulement lorsqu’elle posa ses mains sur le volant qu’elle vit qu’elles étaient pleines de sang. Ses paumes collaient au cuir. Elle enclencha quand même la marche arrière et sortit un peu trop brutalement de l’allée du garage. Le gravier crissa sous les pneus.

Le trajet en voiture allait être long. Elle jeta un coup d’œil vers le siège arrière. Sam dormait, enveloppé dans une couverture. Elle aurait dû lui mettre la ceinture de sécurité, mais elle n’avait pas le cœur de le réveiller. Elle conduirait prudemment. Par réflexe, elle leva le pied de l’accélérateur.

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Extrait ajouté par Laurine-25 2020-04-18T11:21:47+02:00

— Je ne sais pas quoi faire.

Erica se sentait complètement découragée. Ils disposaient d’un petit moment de calme au milieu de la pagaille habituelle. Les trois enfants dormaient, ils pouvaient donc rester à table ensemble, manger des tartines chaudes et se parler sans être tout le temps interrompus. Erica avait pourtant du mal à apprécier l’instant. Ses pensées allaient sans cesse vers Anna, ne lui laissant aucun répit.

— Tu ne peux pas faire beaucoup plus qu’être là si elle a besoin de toi. Et puis elle a Dan, dit Patrik en posant sa main sur celle d’Erica.

— Et si elle me haïssait ?

Sa voix était fluette et les larmes n’étaient pas loin.

— Pourquoi veux-tu qu’elle te haïsse ?

— Parce que j’en ai deux et qu’elle n’en a pas

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Extrait ajouté par Laurine-25 2019-10-14T20:47:46+02:00

— Association Refuge, bonjour, crépita l’interphone, et du regard, Paula interrogea Patrik qui se racla la gorge.

— Bonjour, je m’appelle Patrik Hedström. Je suis de la police de Tanumshede et, avec une collègue, nous aimerions vous poser quelques questions, annonça Patrik avant de poursuivre : C’est au sujet de Mats Sverin.

Il y eut un silence. Puis un bourdonnement se fit entendre et la porte se débloqua. Les bureaux étaient situés au premier étage, et ils choisirent de monter à pied. Patrik remarqua que la porte de Refuge se distinguait des autres portes de l’immeuble. Elle était plus solide, en acier, avec une serrure à gorges. Ils sonnèrent de nouveau, et un autre interphone crépita.

— C’est Patrik Hedström.

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Extrait ajouté par Stephanelefort 2016-12-22T20:10:26+01:00

Patrik s’éclaircit la gorge et regarda le plafond pour essayer de chasser les larmes. Il serra la main d’Erica. Son costume lui donnait des démangeaisons, il tira sur le col de la chemise pour mieux respirer. Il avait l’impression d’étouffer.

Les cloches se mirent à retentir en haut du clocher, elles résonnaient entre les murs. Beaucoup sursautèrent et tournèrent les yeux vers le cercueil. Harald Spjuth sortit de la sacristie et se dirigea vers l’autel. C’était lui qui les avait unis dans cette église, dans ce qui semblait être une autre vie, une autre réalité. L’ambiance alors était détendue, gaie et lumineuse. À présent, le pasteur avait le visage grave. Patrik essaya d’interpréter son expression. Pensait-il lui aussi que ce n’était pas juste ? Ou bien se consolait-il avec la certitude qu’il y avait un sens derrière tout ce qui arrivait ?

Les larmes lui montèrent de nouveau aux yeux et il les essuya du dos de la main. Discrètement, Erica lui glissa un mouchoir. Quand la dernière note de l’orgue s’éteignit, il y eut quelques secondes de silence, puis Harald prit la parole. Sa voix, tremblante, se fit plus posée à mesure qu’il parlait.

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Extrait ajouté par Edith972 2015-03-14T14:55:07+01:00

Vous devez comprendre qu'il s'agit d'un processus psychologique extrêmement complexe. On peut se demander pourquoi les femmes ne partent pas dès le premier coup qu'elles prennent, mais c'est plus compliqué que ça. Il finit par se créer une sorte de relation de dépendance entre celui qui frappe et celle qui est frappée, et les femmes n'agissent pas toujours de façon rationnelle.

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Extrait ajouté par Edith972 2015-03-14T14:54:26+01:00

On jouait aux billes et au foot à la récré. On était des enfants. C’était tout simple. Aujourd’hui, tout le monde est tellement pressé d’être adulte. Il faut fumer, baiser, picoler et je ne sais pas quoi d’autre encore avant même d’entrer au collège…

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Extrait ajouté par Edith972 2015-03-14T14:42:42+01:00

On commet souvent l’erreur de ne pas vouloir déranger celui qui pleure. On pense qu’il lui faut du calme et de la tranquillité, qu’on doit le laisser en paix. C’est totalement faux. L’être humain est un animal de meute. Il a besoin d’être entouré, il a besoin de proximité, de chaleur et du contact d’autrui.

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Extrait ajouté par Edith972 2015-03-14T14:41:50+01:00

Le soleil s’était levé mais ne chauffait pas encore. Elle sentait ses muscles se relâcher petit à petit, la tension cédait et l’horreur de la nuit perdait un peu de son emprise. Elle regarda Sam. Pourvu qu’il n’en garde pas de séquelles. À cinq ans, on est fragile. Comment savoir si rien ne s’était brisé en lui ? Elle ferait tout ce qui était en son pouvoir pour le guérir. Des bisous pour éloigner le mal, comme quand il tombait à vélo et s’écorchait les genoux.

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