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L'intelligence et la sagesse font les qualités qui, aujourd'hui encore, font des mendiants des princes.

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[Akka, la vieille oie-guide]:

"Il y a une chose dont j’ai souvent voulu te parler, commença-t-elle.

Si vraiment tu penses que tu as appris quelque chose de bon parmi nous, tu n’es peut-être pas d’avis que les hommes doivent être seuls sur la terre ?

Pense donc quel grand pays vous avez !

Ne pourriez-vous pas nous laisser quelques rochers nus sur la côte, quelques lacs qui ne sont pas navigables et des marais, quelques fjells déserts et quelques forêts éloignées où nous autres, pauvres bêtes, nous serions tranquilles ?

Toute ma vie j’ai été chassée et poursuivie.

Comme il serait bon de savoir qu’il y a quelque part un refuge pour une créature comme moi !"

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En découvrant la mer libre et infinie et le soleil du soir, pourpre, d'un éclat si doux qu'on pouvait le fixer, Nils sentit une grande paix et une grande sécurité entrer dans son âme. "Pourquoi s'affliger, Nils Holgersson ? disait le soleil. Il est bon de vivre dans ce monde et pour les grands et pour les petits. C'est aussi une belle chose que d'être libre et sans soucis et d'avoir tout l'espace devant soi."

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Il y a parfois chez les animaux quelque chose qui nous oblige à nous demander quelle sorte d'êtres ils sont. On a presque peur qu'ils soient des humains ensorcelés.

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Quand les oies se posèrent dans un marais, il courut joyeusement à la recherche des baies de canneberges et d'airelles gelées. Mais le soir vint et cette nature sauvage lui parut effrayante, il entendit des bruissements et des froissements; il était trempé et gelé. Il ne parvint pas à s'endormir sous l'aile du jars, il sentait qu'il lui fallait du feu et de la chaleur pour ne pas mourir de peur.

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Mais en Blekinge, il en va tout autrement. La terre s'éparpille en îles, îlots et promontoires, parmi lesquels la mer s'insinue en golfes, en anses et en détroits ; elles semblent se rencontrer dans l'entente et la joie.

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L'oie qui parlait avec le jars était très vieille, c'était facile à voir. Son plumage était entièrement gris, d'un gris de glace sans stries foncées. Elle avait la tête plus grosse, les pattes plus fortes, les pieds plus usés que les autres. Ses plumes étaient raides, ses épaules saillantes, son cou maigre. Effets du temps. Il n'y avait que les yeux que l'âge n'avait pu vaincre. Ils brillaient plus limpides, et en quelque sorte plus jeunes que ceux des autres.

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Certes, le gamin avait bien des fois entendu parler des tomtes, mais jamais il n'avait pensé qu'ils pussent être aussi petits. Celui-ci n'était pas plus haut qu'un revers de main. Il avait un vieux visage ridé et imberbe, et portait un vêtement noir très long, des culottes et un chapeau noir à large bord. Sa toilette était très soignée : des dentelles blanches autour des poignets et du cou, des chaussures ornées de boucles et des jarretières à gros nœuds.

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Aussi ces murailles se dressent-elles, ouvragées et sculptées par la mer et son auxiliaire le vent. Il y a des précipices taillés dans la falaise, et des pics noirs polis sous les coups de fouet incessants du vent. Il y a des colonnes isolées qui surgissent de l'eau, et de sombres cavernes aux entrées étroites. Il y a des escarpements verticaux et nus, et de douces pentes envahies par la végétation. Il y a de petits promontoires et de petites baies et de petits galets que les lames roulent dans un perpétuel bruissement. Il y a de superbes portails de pierre qui ouvrent leurs voûtes au-dessus de l'eau ; ils y a des récifs pointus que noie à chaque instant une écume blanche, et d'autres qui se mirent dans une eau glauque et noire, éternellement tranquille.

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Une forte brise souffla de l'Ouest presque toute la journée. Les oies sauvages cherchaient toujours à filer en direction du nord, mais elles étaient rejetées vers l'est. Cependant Akka croyait que Smire, le renard parcourait la partie orientale du pays, et ne voulait pas aller de ce côté-là. Coup sur coup, elle fit faire demi-tour à ses compagnes, s'efforçant péniblement de revenir vers l'ouest. De la sorte, les oies sauvages n'avançaient que bien lentement, et elles se trouvaient encore dans l'après-midi au-dessus des districts miniers du Vestmanland. Vers le soir, le vent s'apaisa tout à coup, et les voyageuses fatiguées espèrèrent jouir d'une heure de vol facile avant le repos de la nuit. Mais une nouvelle bourrasque les assaillit. Elle poussa les oies sauvages comme des ballonets, et Nils, qui ne s'attendait à aucun danger, fut enlevé dans les airs et précipité dans l'espace.

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