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-j'aime les défis, continua-t-il, mais je ne penses pas qu'il s'écoulera beaucoup de temps avant que tu te retrouves dans mon lit.

j'étais en train de déplier ma serviette, mais je me figeais à ces mots. il était hors de question qu'il parle de moi avec la même nonchalance que du dessert qu'il aurait tout à l'heure dans son assiette.

-dans le genre égo hypertrophié... dis-je à haute voix.

il prit son verre et but une gorgée de vin avant de répondre.

-ce n'est pas une question d'ego, j'ai l'habitude que les femmes me courent après. vu ton âge et ton manque d'expérience, tu n'aurais probablement pas la moindre chance. mais tes capacités assombrissent ta jeunesse et ton innocence, ce qui te rend très intrigante.

-j'en ai de la chance, dis-je entre mes dents, toujours furieuse de son arrogance.

le sourire que Vlad m'adressa était aussi menaçant et fascinant qu'un fouet enroulé autour d'une bouteille de champagne.

-oui, les gens m'ennuient fréquemment, m'amusent parfois, m'irritent le plus souvent, mais m'intriguent rarement. c'est ton cas, et c'est pourquoi j'apprécierais ta compagnie au lit.

je n'arrivais pas à décider ce qui était le plus insultant : qu'il me mettent dans le même panier que les femmes qui qui "couraient après ", ou qu'il soit à ce point persuadé que je ne demandais qu'à lui tomber dans les bras.

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p214 :

[…]

-Je vais t’en faire voir, des fardeaux, criai-je tout en dirigeant ma main vers la statue la plus poche, qui représentait un guerrier grandeur nature.

Un long éclaire jaillit du bout de mes doigts et s’entortilla autour du cou de la statue. J’avais dû inconsciemment me retenir avec Maximus, car cette fois-ci le courant trancha le marbre de part en part. La tête s’écrasa en mille morceaux sur le sol.

Maximus revient en courant et regarda mon œuvre avec horreur.

-C’était une sculpture grecque du Ve siècle !

Ma bouffée de fureur s’évanouit lorsque je vis ce que j’avais fait. J’étais à la fois surprise et honteuse. Quand elle était petite, ma sœur Gretchen cassait des objets pour passer sa colère, et je m’étais juré de ne jamais en faire de même. Je venais de brisais ma promesse… ainsi qu’une statut inestimable.

-Je suis désolé, commençai-je en regardant Vlad, mais son expression m’empêcha d’en dire davantage.

-Tu vois ? dit-il avec une satisfaction suprême. Une arme formidable, comme je te le disais. Maintenant que tu sais de quoi tu es capable, nous allons travailler et améliorer tout cela.

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—Tu vois ? Tu ne réagis pas de cette manière avec tous les hommes, dit-il avec satisfaction.

Rien ne m'aurait fait plus plaisir que de lui dire qu'il se trompait, mais je ne pouvais nier que Vlad éveillait en moi des choses que je n'avais jamais éprouvées pour personne. Peut-être avait-il raison. Peut-être le côté obscur de mon être reconnaissait-il en lui un semblable. Mais cela ne le rendait pas moins dangereux pour mon bien-être physique nu psychologique.

—Arrête, dis-je rapidement. Trouve-toi quelqu'un d'autre pour tes petites démonstrations malsaines. Nous savons tous les deux que je manque d'expérience, et que cela ne peut que me faire du mal. Sans compter que je déteste les jeux. Je préfère savoir directement ce qui est réel et ce qui eut faux

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- leila le harpon en argent enfoncé dans la gorge rendait la voix de maximus meconnaissable et il était à ce point couverts de sang séché que il me fallut un plus de quelques instant pour voir que il est entièrement nu

-qu est ce que tu fait là ?

je ris autant que la situation le permettait

-oh tu je passais dans le coin ...

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—Désolée, je n'ai rien vu de ton avenir, dis-je.

Ben me sourit, l'air impatient.

—Et qu'est-ce que tu as vu de mon passé ?

Les autres semblaient très intéressés eux aussi. Je détournai les yeux.

—Tu n'as pas e nvie que je le dise, crois-moi sur parole.

—Allez, comme nt tu ve ux que je sois sûr que ça a marché sinon ? insista-t-il.

—Oui, vas-y, renchérit Joe.

—Vas-y, re prirent-ils tous en chœur.

Je secouai la tête.

—Tu vas avoir honte, marmonnai-je, mais cela ne fit qu'augmenter leur ardeur.

Je levai les mains au ciel.

—Très bien, tu l’auras voulu. A douze ans, tu as volé le DVD M innie Mouse préféré de ta petite sœur et tu t'es masturbé tous les soirs en le regardant jusqu'à ce que ton père s'en rende compte et qu'il t'oblige à lui en racheter un avec ton argent de poche.

Un silence stupéfait se fit. Ben rougit comme une tomate.

—J'y crois pas, maugréa-t-il, mais son commentaire fut vite noyé par les rires et les taquineries amicales.

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Lorsque je fut installée, Vlad retourna à sa place et s'assit en un mouvement à la fois simple et autoritaire. Il aurait été parfaitement à l'aise sur son trône. Il devait forcément en avoir un quelque part, d'ailleurs. Maximus ne m'avait pas fait visiter le troisième étage en m'expliquant qu'il était "privé". J'avais traduit cela en "territoire personnel de Vlad" tout en me demandant pourquoi il avait besoin d'une surface équivalant à un immeuble entier.

Ou alors, c'était là qu'il procédait à ses séances de torture. Dans ce cas, je comprenais pourquoi Maximus n'avait pas voulu m'en faire les honneurs.

- Non, les séances de torture se déroulent dans les cachots, comme chez tout châtelain qui se respecte, dit-il d'une voix amusée. Et le troisième étage ne m'est pas exclusivement réservé. Mes employés les plus fidèles y ont aussi leurs chambres.

- Il y a vraiment des cachots ?

- Bien sûr, répondit-il en faisant un geste de deux doigts.

Un serviteur apparut aussitôt et emplit mon verre d'un vin rouge foncé.

Enfin j'espérais qu'il s'agissait de vin.

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Je terminais une généreuse portion d'œufs Bénédicte lorsque Vlad pénétra à grands pas dans la pièce. Il posa un sac en toile sur la table puis se plaça derrière ma chaise avant de se pencher pour effleurer ma joue des lèvres.

-Belle et diabolique. J'ai décidément hâte que tu sois à moi.

Le contact de sa bouche et ces mots, dits avec un grognement séducteur, me firent frissonner. S'il utilisait les mêmes intonations au lit, il devait probablement pouvoir sauter les préliminaires sans risquer le moindre reproche.

Il posa les mains sur mes épaules et éclata de rire.

-J'aime beaucoup les préliminaires. Ta vision ne te l'a pas montré ?

Je fermai les yeux pour repousser le souvenir que ces mots éveillèrent d'un seul coup en moi et tentai de faire disparaître la crispation de mon entrejambe.

-Arrête. On a des tueurs à attraper avant, tu te rappelles ?

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Il me fallut plusieurs dizaines de secondes pour arriver jusqu'à lui. Il semblait toujours étourdi, mais une partie de sa tête avait déjà commencé à se reconstituer. Il serait bientôt parfaitement remis... et furieux. Je m'agenouillais à côté de lui et me mis à le fouiller en évitant les coups aveugles qu'il me lançait. Je claquais tellement des dents que je me mordis jusqu'au sang, et mes mains tremblaient tant qu'il me fallut plusieurs tentatives pour réussir à en faire enter une, la gauche, dans son manteau. Ses yeux étaient ouverts, mais dans le vide, et il poussait des grognements de bête. Quelques-uns de ses coups portèrent, mais je continuai à déchirer ses vêtements. Deux mains auraient été plus efficaces, mais je ne pouvais pas perdre de temps à revivre ses péchés.

Je e piquai le doigt sur un objet enfoui dans la poche intérieure de son manteau. A la même seconde, ses yeux brun-gris se fixèrent sur moi avec une clarté terrifiante. Sans même vérifier de quel métal l'arme était faite son arme, je la sortis de sa poche et l'enfonçai dans son cœur en la tordant de toutes mes forces.

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Le visage de Vlad se cristallisa devant moi, mais au lieu de nous trouver au milieu des tentures vertes, nous étions de retour dans le hall, et il me regardait en fronçant les sourcils.

- Je sais que tu as entraperçu quelque chose en me touchant. Ton esprit s'est fermé. Dis-moi de quoi il s'agissait.

Les joues écarlates, je sentis l'incrédulité me submerger, étouffant les vestiges d'un plaisir bien plus intense que j'en avais jamais connu en me le donnant moi-même. Cela n'avait pas été une vision de lui avec une autre femme, mais mon esprit refusait de croire ce qu'il avait vu.

Non. Pas Vlad et moi comme ... comme ça !

Son front se dérida et ses sourcils se dressèrent. C'était bien le moment de lire dans mes pensées. Pense à autre chose, hurlai-je en moi-même en évitant son regard. N'importe quoi d'autre !

[...]

-Cela n'a rien de surprenant, finit-il par dire d'une voix rendue plus rauque par des choses que je ne voulais pas nommer. Je l'avais moi-même prédit.

[...]

-Rien n'est gravé dans le marbre. Mes prémonitions ne s'avèrent pas toujours exactes, marmonnai-je, à la fois pour Vlad et pour moi.

Je gravis néanmoins les marches quatre à quatre.

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