Extraits

"Vous être mon prisonnier. Mort en quatre coups."

Le prince fixa le tablier de jeu. "Mon dragon...

- ... se trouve trop loin pour vous sauver. Vous auriez dû le placer au centre de la bataille.

- Mais vous m'avez dit...

- J'ai menti. Ne vous fiez à personne. Et gardez votre dragon à proximité. "

Spoiler(cliquez pour révéler)Griff le Jeune se releva d'un bond et renversa le plateau d'un coup de pied. Des pièces de cyvosse volèrent en tous sens, rebondissant et roulant sur le pond de la Farouche Pucelle. "Ramassez-moi ça", ordonna le garçon. C'est peut-être bien un Targaryen, en fin de compte.

- Mais tuer son propre géniteur ? Comment un homme peut-il agir de la sorte ?

- Donnez-moi une arbalète, baissez vos chausses et je vous en ferai démonstration.

- Tu prends cela comme une plaisanterie ?

- C'est la vie que je prends comme une plaisanterie. La vôtre, la mienne, celle de tout un chacun.

"Nul n'est jamais mort d'avoir ployé le genoux, lui avait un jour dit son père. Celui qui s'agenouille peut se relever, la lame à la main. Celui qui refuse de mettre un genou en terre restera mort, avec ses jambes inflexibles."

"De grâce." Il tomba à genoux. "Une épée, c'est tout ce que je demande. Spoiler(cliquez pour révéler)Laissez-moi mourir Theon, et non point Schlingue."

"Touche-moi, dit-il. Tue-moi." Sa voix refermait plus de désespoir que de défi.

- Quent, est-ce vraiment ce que vous avez l'intention de faire ?

- C'est ce que je dois faire. Pour Dorne. Pour mon père. Pour Cletus, et Will, et mestre Kedry.

- Il sont morts, rappela Gerris. Ils s'en foutent.

C'est la vie des hommes qui a du sens, et non leur mort.

- Mereen et Yunkaï ont conclu la paix. Le siège va être levé et les armées dispersées. Il n'y aura pas de bataille, pas de massacre, pas de cité à mettre à sac et à piller.

- La vie est pleine de déceptions.

- Combien de temps croyez-vous que les Yunkaïs voudront continuer à payer les gages de quatre compagnies libres ?

- Une question déprimante.

" Serai-je autorisée à porter une paire de sandales ? demanda-t-elle. Ces rues sont répugnantes.

- Point autant que vos péchés, répliqua la septa Moelle.

Au final, ils ne périrent pas noyés… Même si, à certains moments, la perspective d’une bonne noyade paisible ne manqua pas d’un certain attrait. »