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Il est intéressant de signaler que les Moldus eurent connaissance, à une certaine époque, de l'existence du Diricawl qu'ils désignaient alors sous le nom de "dodo". Ignorant le fait que le Diricawl peut disparaître à volonté, les Moldus sont convaincus d'avoir provoqué son extinction à force de le chasser.
Afficher en entierLe Kappa se nourrit de sang humain mais il n'attaquera pas si on lui jette un concombre sur lequel est gravé le nom de la personne qu'il a en face de lui.
Afficher en entierLe chant du phénix est magique : il a le pouvoir de renforcer le courage de ceux qui ont le cœur pur et de provoquer la terreur chez ceux qui ont le cœur mauvais.
Afficher en entierDraco dormiens nunquam titillandus.
Afficher en entierClassification du Ministère de la Magie (MDLM) :
XXXXX Connu pour être un tueur de sorcier/Impossible à
dresser ou à domestiquer
XXXX Dangereux/Exige une connaissance spécialisée/Maîtrise possible par un sorcier expérimenté
XXX Ne pose pas de problème à un sorcier compétent
XX Inoffensif/Peut être domestiqué
X Animal ennuyeux
Afficher en entierLa morsure du Malaclaw entraîne un effet secondaire surprenant chez celui qui en est victime en le rendant malchanceux pendant une période qui peut durer jusqu’à une semaine. Lorsqu’on est mordu par un Malaclaw, il est conseillé de renoncer à tout pari, tout jeu de hasard, toute entreprise à l’issue incertaine, qui seraient inévitablement condamnés à l’échec.
Afficher en entierLe Jobberknoll (Europe et Amérique du Nord) est un minuscule oiseau bleu et tacheté qui se nourrit de petits insectes. Il n’émet aucun son jusqu’au moment de sa mort, où il laisse échapper un long cri constitué de tous les sons qu’il a entendus au cours de sa vie et qu’il reproduit en sens inverse. Les plumes de Jobberknoll sont utilisées dans la fabrication des sérums de vérité et des potions de Mémoire.
Afficher en entierLes plumes d’Augurey ne sont d’aucune utilité pour écrire car elles repoussent l’encre.
Afficher en entier. Ulric le Follingue était connu pour dormir dans une pièce qui contenait pas moins de cinquante Augureys
domestiqués. Au cours d’un hiver particulièrement humide, Ulric, en entendant les lamentations de ses Augureys, fut convaincu qu’il venait de mourir et qu’il
n’était plus qu’un fantôme. Les tentatives qu’il fit alors pour traverser les murs eurent pour conséquence ce que son biographe, Radolphus Pittiman,
décrit comme « une commotion qui dura dix jours »
Afficher en entierIl me reste à avertir ceux qui auraient lu ces quelques pages sans acheter le livre que celui-ci recèle un sortilège du Voleur et qu’ils devront donc en subir les conséquences.
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