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— De meilleurs que vous ont tenté le coup. Et des pires, aussi. Ils étaient délicieux. Avec du ketchup. De la moutarde. Et des oignons grillés.

— Tu aurais pu te limiter au ketchup, intervient Ryodan. Quelquefois, la môme, plus c'est simple, mieux c'est.

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— Arrête. De. Vibrer.

Ryodan saisit un feuillet dans l'air et le plaque de nouveau sur son bureau d'un geste sec.

Je me demande s'il le nettoie. Combien y a-t-il eu de paires de fesses sur cette table ? Je ne la toucherai plus jamais.

— Peux pas m'en empêcher, dis-je, la bouche pleine de barre chocolatée.

Je sais à quoi je ressemble : une tache floue de cuir noir et de cheveux.

— Ça m'arrive quand je suis très excitée. Plus je suis excitée, plus je vibre.

— Intéressant, commente Lor.

— Si tu penses à ce à quoi je pense, tu la fermes et tu n'y reviens plus jamais, marmonne Ryodan.

— Je disais ça comme ça, boss, proteste Lor. Ne me dis pas que tu n'y as pas pensé, toi aussi.

[...]

Je ne comprends jamais la moitié de ce que se disent ces types, et je m'en fiche.

— Vous pouvez me toucher si vous voulez, dis-je à Lor, magnanime.

Je suis tellement ivre d'adrénaline et d'excitation que je me sens carrément sociable. Je tends une épaule dans sa direction.

— Allez-y, touchez. C'est super-cool.

Toutes les têtes se tournent vers moi, puis de nouveau vers Ryodan.

— Mon épaule ne lui appartient pas, pourquoi vous le regardez ?

Lor émet un rire sonore mais ne tend pas la main vers moi.

Je ne sais pas pourquoi. Moi, quand je vibre comme ça, j'aime bien me toucher. Ça me fait doublement vibrer. Si j'avais vraiment froid et que je me mettais à frissonner, je vibrerais triplement !

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Quelquefois, je peux lire en lui comme dans un livre. À d'autres moments, tout ce que je vois sur son visage, ce sont deux yeux, un nez, une bouche.

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— Tu es en avance.

Je lui jette un regard de défi. [...]

— J'ai cassé ma montre. Je croyais que j'étais à l'heure.

— Tu ne portes pas de montre.

— Vous voyez ? Je savais que j'avais un problème. Je file en chercher une et je reviens. Demain. À l'heure pile.

[...]

— N'y pense même pas.

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— Si tu allais te refaire une beauté, Mega ? Tu as une de ces têtes ! J'ai réparé la douche. Va donc te laver.

— Ce n'est qu'un peu de sang...

— Un seau entier, voire deux.

— ... et quelques bleus.

— On dirait que tu as été renversée par un camion. Et tu pues.

— Pas du tout ! m'indigné-je. Je m'en apercevrais, j'ai la super-olfaction.

Il me regarde d'un air buté.

— Mega, je crois que tu as des morceaux de tripes dans les cheveux.

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— La peur est saine. La peur est bonne. Elle te maintient sur tes gardes.

— Ah ouais ? Moi, je pense que c'est une perte de temps. Je parie que tu n'as peur de rien, toi, ajoute-t-elle avec des inflexions admiratives.

Oh, si. Chaque fois que je regarde dans un miroir.

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Règle n°1 dans l’Univers : on ne fait pas d’omelette sans casser des œufs. C’est une loi absolue. Aussi incontournable que d’œufs et d’œufs font quatre.

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Pas de berceuses pour endormir les enfants, pas d'hymnes pour pleurer les morts, pas de blues pour soulager la souffrance, pas de rock'n 'roll pour rester vivant.

Sans la musique, nous serions tous des sociopathes ou des macchabées. »

Le livre de la pluie

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- Tu ne serais jamais "juste" quelque chose. Un tsunami n'est pas "juste" une vague.

- Lâchez-moi.

- C'est ce qui me plaît, chez toi. Les vagues sont banales. Les tsunamis remodèlent la Terre. Voire des civilisations entières, si les circonstances s'y prêtent.

Je bats des paupières.

- Un jour, Dani, tu seras une femme extraordinaire.

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" La mort est une insulte. "

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