Les fleurs de février
Auteur
- Kenneth Harker (Écrivain)
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Classement en biblio - 3 lecteurs
Commentaires récents
Agréable lecture. Le style de lauteur est très fluide, malgré de très nombreux termes techniques issue du domaine botanique et biologique.
J'ai beaucoup apprécié l'univers décrit, surtout du point de vue socio-politique. L'explication au sujet des "enfants de février" est très originale.
J'ai aussi particulièrement apprécié le début du récit, ou différent groupes de recherche essaie de justifier que leurs travaux sont plus importants, et que c'est donc à eux que le gouvernement devrait attribuer des fonds.
En revanche, sur le plan de l'intrigue principale j'ai trouvé cela un peu fade.
Une "invasion" de plantes, vivant dans la neige dont les spores ont été envoyé de l'espace. Et au fil du récit, on comprend l'utilité et le rôle que joue ces plantes.
Au final, j'ai plutot tout bien compris dans l'histoire, sauf tout ce qui tourne autour du "mégalasérisme". J'ai pas vraiment réussi à comprendre en quoi consistait cette discipline, et pourtant c'est celle qui va permettre de résoudre le problème principale. C'est un peu dommage.
Mais au final la lecture de ce livre reste très agréable, et nous fait découvrir plein de nouvelle chose ainsi que des hypothèses non conventionnelles quand on parle du thème général "invasion de plantes".
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Résumé
Titre original : The flowers of february, 1970
Traduction de Florian ROBINET
Illustration de Atelier Pascal VERCKEN
LIBRAIRIE DES CHAMPS-ÉLYSÉES, coll. Le Masque Science-Fiction n° 13, 3ème trimestre 1974
256 pages, ISBN : 2-7024-0304-2
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4ième de couverture :
... Un autre craquement... Cette fois, Maddison y prêta davantage attention. « Bon sang ! Mais les meubles en plastilliage ne craquent jamais ! » Le léger bruit ne provenait pas du salon. Muni d'une torche électrique, 11 sortit dans la nuit. Il s'arrêta net. Des craquements... partout. Il dirigea le faisceau de sa lampe sur l'allée. Un glaçon... il en avait aperçu plusieurs en rentrant chez lui. Il fit demi-tour. Devant lui, un piquant d'un pied de haut. Rageusement, il l'écrasa du talon de sa botte. La chose, allongée sur la neige, laissait apparaître un réseau plat de radicelles. Il ne s'agissait pas de glaçons, mais de plantes qui poussaient dans la neige.
Kenneth Harker appartient à l'école anglaise illustrée notamment par Davies, Cooper et Ballard, qui situe l'action dans la vie la plus quotidienne. Dans ce roman, Harker a repris, avec une puissance, une rigueur et une originalité remarquables, le thème des plantes conscientes et rivales de l'Homme. (Jacques Van Herp.)
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