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- A quoi penses-tu, Sully ?

- A rien.

- Vraiment ?

- D'accord, je pense à toi.

- C'est mieux.

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« — Allez, monte, me dit-il.

Je détaillai la bécane qui s’était mise à ronronner avant de remonter lentement vers le visage de Rhys.

— Tu veux que je monte derrière toi ?

— C’est certain que tu vas monter derrière. Il n’est pas né le type qui va conduire ma Kawasaki.

— Alors, dis-toi qu’il n’est pas né le type qui va me trimballer comme une nana.

Il y eut un petit courant d’électricité qui sembla nous traverser.

— Tu n’as vraiment rien d’une nana, crois-moi. »

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Certains jours, rien ne fonctionnait…

Premièrement, ma liqueur de Wizard préférée était en rupture dans mon bar favori. Ensuite, il y avait eu ce joli blond qui m’avait accosté. Des lèvres gourmandes, des yeux gris pétillants. Dommage que ce soit un Lycan, j’avais quelques problèmes avec leurs phéromones toujours en surchauffe. Elles m’asphyxiaient. Mais même si je préférais les Vampires, j’aurais bien fait une exception pour celui-ci.

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« Tellement que les regarder devenait étourdissant et qu’à chaque fois, le danger semblait plus près. En levant la tête, j’aurais presque pu le voir scruter Sullivan, tapi dans l’ombre, attendant le bon moment pour se dévoiler.

Et il était hors de question que je le perde.

Pas lui…

— Ça va aller, répétai-je.

— OK, souffla-t-il. Mais pour l’instant, j’ai tellement mal au crâne que je crois que je vais tomber dans les pommes.

Il le dit sur un ton si linéaire que je ne compris pas tout de suite. Du moins, pas avant qu’il ne s’affale contre moi et qu’il perde connaissance.

— Merde.

Je le retins avant qu’il ne chute au sol et manquai de tomber à la renverse, surpris par son poids.

Mes vieilles terreurs me rattrapèrent douloureusement.

Je portai Sullivan jusqu’au lit et le posai au milieu du matelas. Je m’assis près de lui en essayant de garder mon calme, repoussant ses mèches blondes de son visage.

Allez, réveille-toi Sully.

Il respirait tranquillement.

En posant ma main sur sa poitrine, je trouvai son rythme cardiaque lent et tranquille, identique à celui qui cadençait ses nuits et qui se répercutait sur ma peau quand il se blottissait contre moi.

Je restai à le regarder jusqu’à ce qu’il ouvre les yeux. Et quand il le fit enfin, de trop longues minutes plus tard, je repris enfin mon souffle et recommençai à respirer normalement. »

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« — Je n’en peux plus, Sully. J’ai envie de m’enfoncer en toi, de t’entendre crier, de te sentir t’accrocher à moi. Je veux que tu aies mal, que tu aimes ça. Je rêve de ton corps glissant sur le mien, de tes cuisses autour de mes hanches, de tes balancements hypnotisants, de tes gémissements rauques. Et quand tu seras sous moi, quand tu passeras tes bras autour de mon cou, quand mes coups de reins deviendront si frénétiques que tu oublieras tout à part moi, je te le dirai. Oui, je te le dirai parce qu’à cette seconde, j’oublierai ma fierté et mes impossibilités. Je pourrai t’avouer à quel point je t’aime.

Sa déclaration aurait dû me faire fuir. Elle aurait dû faire hurler ma virilité. Pourtant, je ne m’étais jamais senti plus homme que sous son regard. Jamais plus fort qu’à cette seconde, quand il s’écarta et qu’il plongea au fond de mes yeux, tout au fond, se laissant immerger par leur couleur changeante, par leur étrangeté, par leur mystère. »

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Son souffle chaud, écho de son désir. Son regard ambré, miroir de son âme. Ses mains habiles, reflet de son ardeur.

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Ma grand-mère descendit les marches de la mezzanine et au moment où je levai les yeux sur elle, le verre que je tenais à la main explosa. Aucun de nous trois ne sursauta.

Depuis hier, l’incident s’était répété plus d’une fois.

— Il faut t’enlever l’Entrave, soupira ma mère. Tu ne peux pas te contrôler tant que tu la portes.

— Je le faisais a priori très bien jusqu’à maintenant !

— Les très fortes émotions peuvent altérer le sort, et d’après ce que j’ai pu voir depuis que Kimon est à Jackson, tes émotions sont…

— Comment va-t-il ? la coupai-je en me tournant vers ma grand-mère. Grammy me sourit.

— Bien, répondit-elle seulement. Je contractai la mâchoire et une assiette glissa toute seule du comptoir pour se briser sur le sol.

— Sois plus précise, Grammy, ! Elle inclina la tête alors que ma mère répétait :

— Les très fortes émotions, tu vois. — Arrête avec ça, bon sang ! L’ampoule au-dessus de nos têtes explosa et les bris de verre tombèrent à nos pieds. Aussitôt, les bougies s’allumèrent et je me tendis encore plus.

— Il y a de foutues allumettes dans la cuisine, Grammy !

— Un Sorcier, plus précisément.

Elle n’avait pas l’air convaincue. — Quoique, les humains diraient sans doute plutôt un magicien, oui. — Super ! Appelez-moi Gandalf !

— On peut dire ça comme ça, oui… si tu veux.

— Mais plutôt Gandalf le Blanc ou Gandalf le Gris ?

— Veux-tu bien être sérieux, me reprocha ma mère.

Il ne valait mieux pas.

— Là tout de suite, j’ai juste envie d’une bouteille de whisky. Alors avant que je m’en prenne une bonne, dites-moi pourquoi Kimon n’ouvre toujours pas les yeux !

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Je déglutis, mes doigts dévalèrent le long de son dos, retrouvant la douceur de sa peau ; le goût de ses lèvres, le besoin douloureux de le sentir, encore plus près de moi. Je me faufilai jusqu’à ses fesses, sous la ceinture de son jean, il gémit contre ma bouche. Cette sensualité, ses courbes fines et musclées, masculines, cette beauté ; c’était suffisant pour me rendre fou.

Impatient, Sullivan déboutonna mon pantalon. Je crus mourir quand il tomba à genoux, tirant sur le tissu pour le faire glisser le long de mes jambes. Il leva la tête vers moi et son regard impudique chercha le mien, le trouva, s’y accrocha alors qu’il embrassait mon ventre, qu’il laissait ses doigts trouver le chemin sous mon boxer, que son visage s’approchait de mon sexe.

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Je me sentais bizarre. Mais rien d’étonnant. Rhys était assis dans mon canapé défoncé, et dès qu’il était à proximité, rien ne semblait aller correctement. J’étais en colère parce qu’il avait réussi à me faire tourner de l’œil sur ce fichu sentier ; je ne m’étais jamais évanoui de ma vie, bon sang ! Il avait encore fait l’un de ses tours avec une telle facilité que je me demandais vaguement si un satané lapin n’allait pas sortir de sa poche, comme ça, juste pour venir m’emmerder.

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« — Ce matin, je n’avais peur que d’une chose, Kim. C’était de te dire que je t’aime. Tu vois, juste ça. « Je t’aime ». C’est con, mais je me demandais quand j’allais ravaler ma fierté pour prononcer ces trois petits mots. Et peu importe que tu le saches déjà, ce n’est jamais pareil que de l’entendre. Alors oui, je réfléchissais à comment j’allais pouvoir te le souffler, te le murmurer. Et quand. Parce que c’est vrai, tu sais. Je t’aime vraiment. Comme un fou. Je t’ai dans la peau. Tu me déranges et tu me plais.

Je souris en voyant ses pommettes rosir légèrement. Je n’aurais jamais cru en être témoin un jour. Pris de court, Kimon était vraiment magnifique. Il l’était déjà d’habitude, mais là… juste là… il était tellement adorable que j’aurais aimé le serrer contre moi et oublier le reste. »

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