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Liste des extraits

-Je ne vole que parce que ma chère vieille famille a besoin d'argent pour vivre.

Locke Lamora déclama cette réplique en levant son verre [...] Les autres commencèrent à le conspuer:

-Menteur! entonnèrent-ils.

-Je ne vole que parce que ce vilain monde ne me laisse pas mener d'honnêtes affaires! s'écria Calo en levant son verre.

-MENTEUR!

-Je ne vole que parce que je dois subvenir aux besoins de mon fainéant de frère jumeau, dont l'indolence a brisé le cœur de notre mère ! dit Galdo en donnant un coude de coude à Calo.

-MENTEUR!

-Je ne vole que parce qu'en ce moment j'ai de mauvaises fréquentations, déclara Jean.

-MENTEUR!

Finalement, ce fut au tour de Moucheron d'accomplir le rituel; le garçon leva son verre en tremblant légèrement et hurla:

-Je ne vole que parce que c'est trop marrant!

-SALAUD!

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Le père Chains était assis sur le toit de la maison de Perelandro. Il regardait le garçon de quatorze ans incroyablement arrogant qu'était devenu le petit orphelin acheté au Faiseur de voleurs de la Colline des Ombres, tant d'années auparavant.

_Un jour, Locke Lamora, un jour tu merderas si superbement, si ambitieusement, de façon si accablante, que le ciel s'embrasera, que les Lunes valseront et que les dieux eux-mêmes chieront des comètes de jubilation.

J'espère simplement que je ne serai pas là pour voir ça.

_Allons donc, avait répliqué Locke, ça n'arrivera jamais.

Interlude, Une petite prophétie, page 543.

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Dans la vie, il n'y a que trois personnes qu'on ne peut pas blouser : un préteur sur gages, une pute et notre mère. Dans la mesure où ta mère est morte, j'ai pris sa place. Par conséquence, pas de conneries avec moi.

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Si quelqu'un se pointe, je saute du toit du temple avec mon épée longue et je le décapite sur place.

Tu... quoi?

J'ai dit : "Je l'occupe par tous les moyens." Tu te fais dur d'oreille ou quoi, Jean?

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Par les dieux, j’adore cet endroit, dit Locke en se tapotant les hanches. Parfois, je me dis que cette ville a été mise ici pour satisfaire les dieux et leur amour du crime. Les pickpockets détroussent les passants, les marchands détroussent ceux qu’ils parviennent à duper, le capa Barsavi détrousse les détrousseurs, les petits nobles détroussent pratiquement tout le monde, et le duc Nicovante sort parfois avec son armée et dépouille Tal Verrar ou Jerem, sans parler de ce qu’il inflige à ses propres nobles et à ses féaux.

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" Moucheron s'avança et s'éclaircit la voix.

- Je ne fais ça, dit-il, que parce que j'adore vraiment me cacher les soirs sombres dans les bâtiments eldren qui mettent les miquettes.

- Tu es un menteur, enchaîna lentement Jean. Je ne fais ça que parce que j'ai toujours voulu voir Moncheron se faire dévorer par un fantôme eldren.

- Menteur, dit Calo. Je ne fais ça que parce que ça me file la barre de sortir une demi-tonne de foutues pièces de monnaie pour les foutre sur un chariot.

- Menteur! s'esclaffa Galdo. Je ne fais ça que parce que quand vous serez tous occupés ailleurs, j'irai refourguer tous les meubles du terrier chez Harza Pas-Question.

- Vous êtes tous des menteurs, dit Locke comme ils posaient tous un regard plein d'attente sur lui. Nous ne faisons ça que parce que personne d'autre à Camorr n'est assez bon pour réussir ce coup, et que personne d'autre n'est assez crétin pour se retrouver obligé de le faire.

- Salaud ! hurlèrent les autres à l'unisson, un instant oublieux de l'endroit où ils se trouvaient.

- Je vous entend crier, intervient la voix fantomatique du Fauconnier. Seriez-vous tous devenus fous?

Locke soupira.

- Y a Tonton qui aime pas qu'on le garde éveillé toute la nuit avec nos histoires, dit-il. Au boulot et, par la grâce du Gardien Véreux, on se reverra tous au temple lorsque ce bordel sera fini. "

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À Camorr, on raconte que la différence entre le commerce honnête et le commerce malhonnête réside dans le fait que lorsqu’un homme d’affaires ruine un concurrent, il n’a pas la courtoisie de lui trancher la gorge pour conclure.

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« À présent, les deux garçons étaient poitrine contre poitrine, et seul un couteau aurait pu libérer Tesso de la boucle de tissu épais qui les liait.

Locke enroula ses bras autour de la taille de Tesso pour faire bonne mesure, avant d’entortiller ses jambes autour de celles de son adversaire, juste au-dessus de ses genoux. [...]

— Qu’est-ce que c’est que ce bordel, Lamora ? (Tesso grogna sous l’effort que lui imposait le poids supplémentaire de Locke. Finalement, comme Locke l’avait prévu et espéré, il tomba en avant. Locke atterrit sur le dos dans le gravier, Tesso sur lui. L’air déserta les poumons de Locke et le monde entier donna l’impression de frémir.) C’est ridicule. Tu ne peux pas te battre contre moi. Et maintenant tu ne peux plus courir ! Laisse tomber, Lamora !

Locke cracha au visage de Tesso.

— Je ne suis pas obligé de me battre contre toi, et je ne suis pas obligé de courir. (Il eut un sourire sauvage.) Il faut juste que je te garde ici… jusqu’à ce que Jean arrive.

Tesso s’étrangla et regarda autour de lui. Dans le Marché Changeant, une petite coquille de noix avançait droit sur eux. À bord, la forme replète de Jean était clairement visible. Il tirait fort sur les rames.

— Oh, merde ! Espèce de petit salaud ! Laisse-moi partir, laisse-moi partir, laisse-moi partir !

Tesso ponctua ces injonctions d’une volée de coups de poing. Locke fut roué de coups sur les yeux, le nez et le cuir chevelu. Bien vite, il saigna du nez, des lèvres, des oreilles et de quelque part sous les cheveux. Tesso lui en envoyait de sévères et, pourtant, le gamin continuait à s’accrocher comme un dément à son aîné. La tête lui tournait de douleur et de triomphe. Il se mit littéralement à rire, d’un rire aigu, jubilatoire et peut-être un peu fou.

— Je ne suis obligé ni de me battre ni de courir, caqueta-t-il. J’ai changé les règles du jeu. Il faut juste que je te garde ici… trou du cul. Ici… jusqu’à ce que… Jean arrive.

— Bordel de merde ! siffla Tesso, avant de redoubler ses assauts contre Locke, cognant, crachant et mordant, malmenant de façon terrible le crâne et le visage de son cadet sans défense.

— Continue de frapper, postillonna Locke. Allez, continue de frapper. Je peux encaisser toute la journée. Allez, continue… de me frapper… jusqu’à ce que… Jean arrive ! »

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Vous vous croyez malins, vous autres cambrioleurs et monte-en-l'air. Vous voleriez la merde au cul des chiens si vous aviez le bon sac pour la ramener chez vous.

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- Parce que, Locke Lamora, un jour tu dîneras avec des barons, des comtes et des ducs. Tu dîneras avec des commerçants, des amiraux, des généraux, et des dames de toutes sortes ! Et, quand ça arrivera...(Chains mit deux doigts sous le menton de Locke et releva la tête du garçon pour que leurs regards se croisent.) Quand ça arrivera,ces pauvres crétins n'auront aucune idée du fait qu'ils partagent leur table avec un voleur.

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