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Si jamais tu es en danger, où que tu sois, tends ce petit sac vers celui ou celle qui te cherche noise et dis-lui : "Tu ne sais pas qui tu es en train de faire chier. Je suis sous la protection de la dame qui m'a donné cet objet en gage d'amour."

Et c'est censé arrêter mon adversaire?

Putain, non. Il va juste se demander ce qui te prend. Alors, tu en profites pour le tuer pendant qu'il te regarde d'un drôle d'air.

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- Bien, dit-il. On dirait que c'est une belle journée pour s'offrir une descente en rappel. Tu te charges des formalités avant que nous quittions le plancher des vaches ?

- Gardien Véreux, dit Locke. Les hommes sont des imbéciles. Protège-nous de nous-mêmes. Si tu ne peux pas, fais en sorte que ce soit rapide et sans douleur.

- Excellente oraison.

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« Ils n'oseront pas », songea Locke au moment même où ils osaient.

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Je ne veux pas que tu acquiesces, je veux que tu utilises la noisette que tu as trouvée par hasard et qui te sert de cervelle, avant que l'écureuil qui en est propriétaire vienne la récupérer.

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Jean et lui n’avaient jamais demandé qu’une chose : voler tout ce qu’ils pouvaient emporter et éclater de rire une fois en sécurité. Pourquoi cette aspiration leur avait-elle coûté tant de vies chères ? Pourquoi y avait-il toujours un connard de fils de pute pour imaginer qu’il pouvait se frotter à un Camorrien sans y laisser des plumes ?

Ils devraient savoir que c’est impossible, pensa Locke.

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— Je crois que la piraterie, c’est un peu comme une nuit de beuverie, dit Jean. Si tu veux rester jusqu’à la fin, tu en paies le prix le lendemain.

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— [...] Qu’est-ce que tu lis ?

Jean lui montra la couverture et Locke prit une expression scandalisée.

— Pourquoi toujours du Lucarno ? Tu traînes un de ses bouquins où que nous allions. Putain d’histoires d’amour ! Ton cerveau va se ramollir avec toute cette bouillie. Au bout du compte, tu seras plus qualifié pour entretenir des parterres de fleurs que pour monter des arnaques.

— Eh bien, je ne manquerai pas de critiquer vos goûts littéraires, maître Kosta – s’il vous arrive un jour de développer un penchant pour la lecture.

— J’ai lu plein de livres !

— Des livres d’histoire et des biographies. En règle générale, ceux que Chains te conseillait.

— Et que pourrait-on reprocher à ces genres littéraires ?

— Pour l’Histoire, nous vivons au milieu de ses ruines. Pour les biographies, nous supportons les conséquences de toutes les décisions qu’on y résume. Je lis rarement ce type d’ouvrages pour mon plaisir. C’est un peu comme étudier une carte avec attention alors que tu es déjà arrivé à destination.

— Mais les histoires d’amour ne sont pas réelles, et il est certain qu’elles ne l’ont jamais été. Cela ne rend-il pas la lecture un peu fade ?

— Le choix de tes mots est intéressant. « Pas réelles », « elles ne l’ont jamais été. » Pourrait-il y avoir meilleure littérature pour des hommes de notre profession ? Pourquoi la fiction te répugne-t-elle autant, alors que nous en avons fait notre gagne-pain ?

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— Je le répète : c’est impossible.

— Je vais vous corriger de nouveau : c’est difficile. Difficile et impossible sont des cousins que l’on confond souvent, bien qu’ils soient très différents.

— Vous accoucherez d’un hippopotame avant que le meilleur voleur du monde franchisse les protections qui entourent ma chambre forte, dit Requin. Mais cette discussion est sans intérêt. Nous pourrions tout aussi bien passer la nuit à parler de la taille de nos bites. Je dis que la mienne mesure un mètre cinquante et vous affirmez que la vôtre en fait deux et qu’elle décharge à volonté. Dépêchons-nous de revenir à des sujets moins frivoles.

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— [...] Dieux, je me sens vieux et amer ! Quand je vois des choses pareilles, je me demande si j’étais aussi con quand j’avais l’âge de ce garçon.

— Non, dit Jean. Tu l’étais bien davantage. Tu l’étais encore il y a peu. Et tu l’es sans doute toujours.

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— Je crains que l’alcool t’ait rendu impulsif.

— L’alcool me rend malade. Ce sont les dieux qui m’ont fait impulsif.

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