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-Un non-humain non ami ? Qui travaille a l'hôpital comme non-interne en médecin ? Du moins n'était ce pas un joueur de football !

-Maintenant que nous avons établi ce qu'il n'est pas, tu veux bien me dire ce qu'il est ?

Nash laissa échapper un soupir et je compris que je n'allais pas aimer ce qu'il avait a me dire.

-C'est un Fauchueur.

-Un quoi ?

J'avais sûrement mal compris.

-Tu veux dire genre la Grande Faucheuse ? Tod est la Grande Faucheuse ?

Nash secoua la tête. Ouf ! Les banshee, c'était une chose -nous ne nuision a personne- mais je ne me sentais pas prête a me retrouver nez a nez avec la Mort, surtout en chair et en os. Et encore moins a lui poser des questions.

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-Raconte-lui l'histoire de la petite fille, suggéra-t-il.

-Tu es malade? Tes neurones ne se connectent plus là-dedans? vosiféra Tod. C'est ça qui te rend incapable de la fermer? Ou est-ce que tu es juste idiot?

-Quelle petite fille? demandai-je sans tenir compte de la flambée de rage du Faucheur ni du demi-sourire satisfait du banshee.

-Ca l'aiderait à comprendre, insista Nash lorsqu'il devint évident que Tod refusait de répondre.

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"J'avais été confrontée à la mort très tôt dans ma vie; tandis que Sophie, si inconsolable soit-elle en cet instant, avait tout de même eu la chance de disposer de quinze années de vie douillette et surprotégée pour batifoler, bien à l'abri dans sa bulle de plastique coloré où n'avaient jamais osé pénétrer les ténèbres. Et, quoi que lui réserve l'avenir, personne ne pourrait jamais lui retirer sa jeunesse heureuse et insouciante."

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"Son sourire parut un brin trop enthousiaste.

- Mais c'est formidable!

Ce qu'elle voulait dire, bien sûr, c'était: "Sort donc de l'ombre, pauvre pestiférée de la société, et marche dans la lumière de la reconnaissance."."

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— Je peux compter sur les doigts d'une main les occasions où nous nous sommes vraiment parlé avant ce soir, déclarai-je en levant la main pour appuyer mes dires. Tout à coup, tu débarques de nulle part et tu joues les preux chevaliers volant au secours d'une demoiselle en détresse, et je suis censée croire que tu n'attends rien en échange ? Rien que tu pourrais raconter à tes copains lundi matin?

Il essaya de rire, un rire maladroit et nerveux. Puis il chercha une position confortable sur son siège.

— Jamais je ne....

— Epargne-moi tes mensonges ! Tout le monde sait que tes conquêtes dépassent en nombre celles de Gengis Khan.

Je le vis me défier du regard.

— Tu crois tout ce qu'on raconte ?

A mon tour, je le défiai.

— Tu oses le nier?

Au lieu de me répondre, il éclata de rire pour de bon et s'appuya contre la portière.

— Tu es toujours aussi mordante avec les types qui te donnent la sérénade dans les allées sombres ?

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— Woah ! siffla-t-il. Combien en a-t-elle descendu ?

— Sais pas. Mais elle boit peu d'habitude, alors il n'en faut pas beaucoup pour la soûler. En plus, elle a commencé dès cet après-midi.

— Quand ma mère est contrariée, elle fait des gâteaux. Il m'arrive de me nourrir toute une semaine de brownies et de lait chocolaté.

— On échange?

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— Si je comprends bien, je suis comme du papier attrape-mouches, mais pour les âmes. C'est... bizarre. Pourquoi faire une chose pareille ? Suspendre l'âme d'un pauvre malheureux ?

Nash haussa les épaules et se leva pour m'aider à me remettre debout.

— Pour des tas de raisons. Une banshee qui possède un peu d'expérience est capable de retenir une âme le temps qu'il lui faut pour se préparer à l'au-delà. Pour se mettre en paix avec elle-même.

Je fronçai les sourcils, infichue de me représenter la scène.

— D'accord, mais peut-on vraiment parler de paix, si la banshee en question braille comme une possédée ?

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— On a des trucs en commun. Il sait s'amuser. Et quand il veut quelque chose, il n'hésite pas à se lancer à sa poursuite.

Description qui aurait tout aussi bien convenu au berger allemand de mon père.

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— A propos de voitures, celle de ton petit copain me dit quelque chose, laissa tomber Sophie. Une petite Saab gris métallisé, avec des sièges cuir, c'est bien ça ?

Elle se leva et se dirigea d'un pas tranquille vers la porte, balançant ses hanches étroites et inclinant la tête d'un air absorbé.

— Le siège arrière est tout à fait confortable, reprit-elle, même s'il est un peu déchiré sur le côté.

A ces mots, je me rendis compte que je grinçais des dents.

— Dis bonjour à Nash de ma part, roucoula-t-elle, une main posée sur la poignée de ma porte.

Puis, en l'espace d'une seconde, elle se métamorphosa. D'horrible mégère, elle prit l'air d'un bon Samaritain.

— Je ne cherche pas à te vexer, Kaylee, mais je crois qu'il faut que tu saches la vérité, dit-elle avec toute la feinte innocence dont elle était capable. Il se sert de toi pour m'atteindre.

C'était trop ! Je sentis la moutarde me monter au nez et lui claquai la porte à la figure.

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Une odeur de café flottait dans la voiture, et Nash sentait le savon, le dentifrice et quelque chose d'une virilité indescriptible et terriblement attirante. J'avais une envie folle de le respirer, je ne pouvais plus détacher les yeux de son visage, de ses joues rasées de près ce matin alors qu'elles étaient encore délicieusement rugueuses cette nuit. Le souvenir du contact de sa peau contre la mienne me revint avec une telle force que j'en fus réduite à fermer les yeux et à faire appel à toute ma volonté pour chasser ces dangereuses pensées.

Il a beau sentir trop bon, je ne serai pas une conquête de plus. Même si le goût de sa peau est aussi affolant que son odeur. Et, soudain, le besoin irrésistible de savoir, justement, quel goût avaient ses lèvres me fit frissonner des pieds à la tête. De nouveau, je dus faire un effort surhumain pour me ressaisir et trouver quelque chose d'anodin à dire. Quelque chose de banal, qui ne trahisse pas mes pensées torrides.

— Je crois que le moteur tourne, dis-je tout en bouclant la ceinture de sécurité.

A peine avais-je prononcé ces paroles que je me maudis d'avoir lancé la conversation d'une façon aussi affligeante. Evidemment que le moteur tournait !

Nash me jeta un regard qui me transperça.

— En effet, dit-il. On peut dire que j'ai une chance insolente.

Je ne pus qu'opiner et me cramponner à la poignée de la portière tout en m'escrimant à me concentrer sur Heidi Anderson et à oublier un peu Nash... et ce qu'il m'inspirait.

D'ailleurs, pour commencer, je n'aurais jamais dû penser à ça.

De nouveau, il me lança un coup d'œil — et, cette fois, je vis qu'il laissait son regard descendre le long de mon cou, sur ma gorge et jusqu'à l'encolure de mon T-shirt.

Mais, vivement, il reporta les yeux sur la route. Quant à moi, je tâchai de contrôler ma respiration en comptant mentalement jusqu'à dix.

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