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Parfois, on atteint un stade où la douleur devient insupportable, où on est prêt a n'importe quoi pour se débarrasser de sa peine. Même si pour ça on en vient a blesser quelqu'un d'autre.

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« Parmi les joies que le monde nous donne, il n’en est point de comparable à celles qu’il nous ôte, quand l’éclat de la pensée jeune s’efface dans le triste déclin du sentiment. »

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Il existe une définition de la folie qui dit que ça revient à refaire toujours la même chose en espérant un résultat différent.

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Je suis par terre, les yeux au niveau d’une paire de chaussures de chantier en cuir noir éraflé.

Dans une comédie romantique, ce serait la scène de la rencontre. Le garçon serait beau comme un dieu, il serait à la fois le meilleur joueur de l’équipe de foot et l’élève préféré du prof de littérature. Il me tendrait la main. Et il aurait, par le plus heureux des hasards, un tee-shirt de rechange dans son sac à dos. J’irais l’enfiler dans les toilettes et le miracle opérerait : ma poitrine paraîtrait plus avantageuse, mes hanches plus étroites, et il m’inviterait au bal de promo au moment de m’accompagner en cours.

Dans la vraie vie, le type en question s’appelle Declan Murphy, et il montre déjà les crocs. Son tee-shirt et sa veste sont également imbibés de café et il s’emploie à les décoller de son torse.

Si le héros de ma comédie romantique imaginaire est le quarterback vedette du lycée, Declan est le loser de terminale. Il a un casier judiciaire et pour ainsi dire une place attitrée dans la salle de colle.

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- Peut-être qu'un jour tu aimeras une femme au point que pour un baiser tu seras prêt à n'importe quoi.

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(Chapitre 37) (Declan)

Je songe à ma correspondance avec Juliet. Elle me donnait le sentiment d'être utile, d'avoir quelque chose à offrir. Je songe à mes échanges avec Frank et Mme Hillard : chacun, pendant quelques minutes, m'a persuadé que je n'étais pas seulement un pauvre type avec un casier judiciaire.

Mais la réalité est ici, maintenant, avec ces deux personnes qui devraient me soutenir et m'enfoncent la tête dans le sable. J'ai la poitrine si serrée que je ne vais plus pouvoir respirer très longtemps.

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(Chapitre 28) (Declan)

Mes yeux parcourent à nouveau les lignes du manuel, comme attirés par l'encre sur la page. Le monde suspend sa course, le temps d'un battement de cœur. Mon cerveau est trop empêtré dans la mort et la culpabilité, je ne peux pas lire une seconde de plus. Ma poitrine va exploser, à moins que ce ne soit ma tête. Le sang rugit dans mes tympans, assourdissant. Je referme bruyamment la couverture du manuel et le fourre dans mon sac à dos. Je ne suis jamais sorti de classe au beau milieu d'un cours. Et c'est ce que je fais aujourd'hui.

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(Chapitre 8) (Declan)

Les gens comparent parfois la perte d'un membre de sa famille à celle d'un bras ou d'une jambe. À sa mort, j'ai eu l'impression de perdre la moitié de moi-même. Elle me manque, et je sais que je ne la reverrai pas. Il n'y a pas de retour en arrière possible.

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« Mais tu sais qui je suis. Trouve-moi. Empoigne-moi. Secoue-moi. Je t’en supplie »

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« Si un gosse de riche se moque d’un pauvre parce qu’il porte des vêtements de seconde main, on sera tous d’accord pour trouver ça cruel. Et si un pauvre se moque d’un riche parce qu’il a raté un contrôle, la cruauté est-elle moins flagrante à cause de leurs positions respectives sur l’échelle sociale ? »

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