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“We're like lightning and thunder, inherently different but alike enough to share the same sky.”

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« — Thoreau a dit : « Ne soyez pas trop moral. Vous pourriez vous priver de beaucoup de vie. Visez plus loin que la moralité. Ne soyez pas simplement bon, soyez bon pour quelque chose. »

Sa voix profonde et les mots du poète se déversent en moi comme une honnêteté liquide.

— Ne soyez pas simplement bon.

La recherche de la perfection a ses limites. Être moral, faire des choix moraux, tout cela ne signifie rien en comparaison avec le fait de faire du bien aux autres. Je n’ai pas besoin d’être l’image parfaite de la moralité pour aider quelqu’un dans le besoin.

Je préfère être bon pour quelque chose.

Pour quelqu’un. »

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«  — Alors pourquoi est-ce que ça te plaît autant ? Qu’est-ce que tu m’as dit hier à propos du boulot de garde du corps ?

— Cette profession est connue pour induire trois choses.

Maximoff hoche la tête, se souvenant de mes paroles.

— La sobriété, le célibat et l’insomnie.

Il fait un geste en direction de mon torse.

— Pourquoi supporter les horaires bizarres, l’isolement, les journées interminables et les nuits sans sommeil ?

— Pour ta vie, confié-je. Je suis là pour te protéger, et j’aime être mis dans des situations de stress élevé et en sortir vainqueur. Porter une blouse blanche n’est pas la seule façon d’avoir un impact sur une vie. Mon père n’a jamais compris ça. »

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Extrait ajouté par MaudeS 2022-06-19T21:42:57+02:00

« je lui lance un regard agacé, et il éclate de rire. Il adore se moquer de moi peu importe mon humeur. Ça ne devrait pas m’exciter, mais la plupart des gens ne font que m’apaiser. Farrow fait le contraire »

« Mon regard se rive au sien. Et ses yeux bruns se plantent dans mes iris vert, avec tant d’intensité que l’on se fait tous les deux violence pour ne pas baisser la tête : vers nos lèvres, vers nos corps. Vers un endroit interdit qui pourrait causer un désastre. J’essaye de me maîtriser, mais mes yeux disent les mots que ma bouche ne peux pas dire.

Embrasse moi »

« Je veux faire le bien »

« Je n’ai jamais été à bout de souffle de ma vie. Je n’ai jamais été avec quelqu’un que je connais. Pas comme ça. Je n’ai jamais eu de vrais sentiments au delà de l’attirance physique. Pas avant lui »

« vous connaissez Xander Hale comme le plus beau garçon de 14 ans du monde entier. C’est vous qui le dites(…)Pour moi c’est juste mon petit frère. Un être humain étonnant qui parle elgique si on le côtoie assez longtemps »

« Toute ma vie, j’ai vu les médias et des êtres humains sans nom et sans visage chier sur les gens que j’aime. Encore et encore. Enfoncer leurs griffes. Essayer désespérément de les déchirer »

« Vous vous demandez pourquoi je n’en veux pas au monde. Parce que je savais que je devais devenir suffisamment fort pour résister au monde. Pour mes frères et sœurs, pour ma famille, pour tous ceux qui grandissent après moi et qui ont besoin de quelqu’un pour les défendre quand ils ne peuvent pas se défendre eux-mêmes, quand ils ont besoin d’une épaule pour pleurer ou d’un filet de sécurité dans lequel se réfugier, je suis là. J’ai toujours été là. Je serai toujours là »

« J’espérais tomber sur quelqu’un qui n’ait pas peur de me remettre à ma place, quelqu’un qui me fasse me sentir humain. J’espérais quelqu’un qui soit fort pour que je puisse être vulnérable, mais qui ne me fasse jamais me sentir faible ou inférieur. J’espérais de la confiance, de la compréhension, et un amour inné pour ma famille »

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« Super. Est-ce que ma perception de chaque relation garde du corps-client va pencher du côté de la copulation maintenant ? Mon esprit est un terrier de lapin dans lequel je n’ai pas demandé à tomber. »

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« — Tellement que ça fait mal, lâche-t-il sèchement, mais un sourire sincère se dessine sur ses lèvres. Tu serais prêt à faire ça pour moi tout le temps ?

— Tu voudrais que je le fasse ?

J’aime lui donner des choses que personne d’autre ne peut lui donner. »

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« Je n’ai jamais passé autant de temps avec quelqu’un. Pas même ma dernière cliente. Ni même un ex ou un ami, et s’il y avait des heures supplémentaires dans la journée, je choisirais de les passer avec ce type.

Putain, je suis accro. »

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« Je suis son garde du corps. Son super-héros dans la vie réelle. »

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« La façon dont il me regarde fixement me fout en transe. Comme si j’étais un fantasme. Comme si j’étais un morceau de ciel et d’étoiles sorti d’un de ses rêves. »

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« Ouais, trop cool. Que mon béguin d’enfant devenu mon garde du corps choisisse mon lubrifiant. Ça rendra le fait de ne pas fantasmer sur lui tellement plus facile. »

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