Quelques jours plus tard, Wei WuXian regretta sa décision.
L’âne qu’il avait trouvé à point nommé était trop difficile à contenter. Il ne voulait manger que de l’herbe fraîche et bien verte encore couverte de rosée. Si l’extrémité d’un brin d’herbe était jaunie, il n’en voulait pas.

- Sortez, gens de la surface, mains en l'air ! Vous êtes nos prisonniers !
- Captifs, vraiment ? !.... On est les Vengeurs !

Il y a chez les Bi-hémisphères des histoires ou plutôt des mythes qui racontent que des Hommes ont eu leur âme coupée en deux et qu'ils sont condamnés à chercher la moitié qu'il leur manque à travers le temps et le monde.

- Je te promets de sourire le jour où quelqu'un me donnera le coup qui me sera fatal.
- Alors, tant que je serai en vie, tu ne souriras jamais !

Repose -toi, ma chère Koriand'r ... Tu as affronté les enfers et survécu. Repose-toi, douce jeune femme ... Tandis que je m'approprie tes peines ... Tandis que j'absorbe tes pires douleurs. Repose-toi ... Repose-toi ...

- Et je suppose que l'odeur que tu supportes le moins c'est celle des Architectes ....
- Ne sois pas cynique, d'autant que tu as tort ! Je ne supporte pas le parfum des Chroniqueurs, il est âcre, rance et nauséabond. J'ai tendance à l'associer à l'oignon ... Oui c'est ça, pour moi les Chroniqueurs sentent l'oignon.

- On vit tous des journées de merde, on se dit "c'est comme un lundi" et on continue de vivre en attendant avec impatience le samedi où tout s'arrangera. Personne ne vit que des lundis !
- J'ai été arrêté un samedi ...

Il semble qu'avanter de divirer, ton père ait dit à ta meré de te le donner au cas oú tu aurais des ennuis

Je sortirai de cette prison par mes propres moyens, mais j'ai encore des choses à faire ici.

Buccellati ! Ton équipe ma vraiment causé du fil à retordre tu sais .... Je n'aurais jamais cru qu'un jour vous me trahiriez et que vous découvririez mon identité ! mais au contraire cela ma permis de découvrir la vérité sur la flèche ! C'est la récompense que mon destin m'offre pour avoir conquis mon passé !

Je suis un gars qui n'a nulle part où aller car je suis un exclu de la société, et le seul moment où je me sens en paix c'est quand je suis avec toi ...

Et à côté de toi ce ne serait pas le manieur du requin, hein ? Le pauvre on dirait qu'il a une petite mine !!

Je sais que tu ne joues pas la comédie, tu as réellement peur ça se voit, mais tu commences à m'intéresser davantage !

Dans quelques secondes, ce que tu as vu se réalisera c'est inévitable ! Alors reste attentif !

Je ne connais rien aux femmes, tu vois ... Tu voudrais que Buccellati se soucie de toi c'est bien ça ?

La prochaine fois que je te vois mettre la main sous la jupe je te maudirai jusqu’à la mort !

Dis, le Colisée ça ne te fait pas penser à l'Elysée ? Hein, Professeur ? Réponds-moi avant que je te tue !

Pendant une seconde, quand j'ai réalisé qu'on était seuls dans les bois, j'ai eu peur. Mais je savais que je pouvais compter sur toi pour nous sauver.

Je peux peut être pas te frapper directement ... Mais ta machine, elle est pas vivante !!!

Je réalise enfin Procuitto ! Frère, Tu m'as transmis ta résolution. Non par les mots, mais pas le cœur !

Je ne te laisserai pas la clef et Fugo, Abbacchio et moi allons tous rentrer saufs !

Si je peux plus détecter ta respiration ... Et si tu me dit qu'il y a trop de flammes ... Eh bien, je vais en rajouter !!

- C ... C'était quoi, ce ... ce bruit ?!
- Des coups de feu ! Ils vous ont indisposés, peut-être ? C'est pourtant pas aussi fort que dans les films ... Si vous avez un problème avec ça ... Là je suis occupé, mais on pourra toujours en discuter après !

Tu te fous de ma gueule ou quoi ?! Il va falloir combien de fis pour que tu piges ?! 6 fois 5 ça faisait déjà 30, comment tu te démerdes pour arriver à moins de 30 ?!

Jeudi 25 Octobre 2018, 19 h 52. Bruxelles sous terre. Eclairage artificiels, machineries, ventre d'un serpent géant. J'usais le cuir d'un siège brun, assis dans ce tramway qui traversait à grande vitesse les souterrains du centre ville en reconstruction. La rame était elle bruyante ou silencieuse ? Déserte ou trop peuplée ? Je ne sais plus. Ça n'a pas d'importance. Seule compte la phrase suivante, née ce soir là, à 19 h 52, tandis que toutes mes pensées convergeaient vers le livre que j'étais en train de concevoir : Entre quoi et quoi JoJo Est-i le chaînon manquant ?

Le destin va-t-il favoriser cet assasin?!