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Lorsque j'étais une oeuvre d'art est un livre sans équivalent dans l'histoire de la littérature [...]. Il raconte le calvaire d'un homme qui devient son propre corps, un corps refaçonné en oeuvre d'art au mépris de tout respect pour son humanité. Malléable, transformable, il n'est plus qu'un corps sans âme entre les mains d'un esprit diabolique dont le génie tient avant tout à son manque de scrupules.
Afficher en entierAu bord de la falaise, un homme pense à en finir avec la vie, une bonne fois pour toutes. Mais voilà qu'arrive celui qui deviendra son Bienfaiteur, Zeus-Peter Lama. Génie de l'art, celui-ci lui demande 24 heures pour réussir à la redonner goût à la vie. Intrigué, l'homme accepte. Ainsi nait Adam bis.
Aillant signé un accord avec son Bienfaiteur, le jeune homme accepte de mourir pour devenir une oeuvre d'art. Alors heureux, il commence une nouvelle existence où le monde entier vient pour l'admirer.
Cependant, Adam rencontre Fiona, et en tombe amoureux. Son existence tourne alors au cauchemar. Une oeuvre d'art n'a pas le droit de parler, de penser, d'aimer. Adam est devenu, comme il le souhaitait, un objet. Mais un objet n'a aucun droit. Bien décidé à faire reconnaître son humanité perdu, Adam entamme alors une rébellion contre son Bienfaiteur...
Afficher en entierQui n'a jamais rêvé de devenir un objet ? Mieux même, un objet d'admiration ? Tel est le pacte que scellent un artiste excentrique et un jeune homme désespéré. Le premier, avide de scandale, propose au second, avide d'exister, de le transformer en oeuvre d'art. Après tout, il n'a rien à y perdre, sinon la liberté.
Afficher en entierLorsque j'étais une œuvre d'art est un livre sans équivalent dans l'histoire de la littérature, même si c'est un roman contemporain sur le contemporain. Il raconte le calvaire d'un homme qui devient son propre corps, un corps refaçonné en œuvre d'art au mépris de tout respect pour son humanité. Malléable, transformable, il n'est plus qu'un corps sans âme entre les mains d'un esprit diabolique dont le génie tient avant tout à son manque de scrupule.
Michel Meyer, Eric-Emmanuel Schmitt, ou les identités bouleversées.
Un chef-d'œuvre qui raconte précisément l'histoire d'un chef-d'œuvre raté. C'est original en diable, cruel comme la modernité et éloquent comme une parabole.
Roger Bicherberger, Le Républicain lorrain.
On peut être sûr qu'avec Schmitt on sera surpris. Il a sa place au musée des inventeurs.
Éric Ollivier, Le Figaro.
Un conte moral aussi dérangeant que divertissant.
François Busnel, L'Express.
Afficher en entierParce qu’il se sent médiocre et inexistant, un jeune homme va se suicider quand un artiste mégalomane suspend son geste. Il lui propose d’acheter son âme et son corps pour en faire une sculpture vivante, sublime ou monstrueuse, et une marchandise planétaire. Le désespéré accepte le pacte et l’opération, se laisse déshumaniser, et exposer aux yeux des foules, sous le nom d’Adam-bis. Mais peut-il abdiquer entièrement son humanité ? Grâce à l’amour d’une jeune-femme, « l’œuvre d’art » tente alors de sortir de l’emprise de son créateur et de retrouver sa conscience perdue. Cette fable excentrique, inquiétante et comique nous entraîne dans un monde rongé par le narcissisme, le culte du simulacre et de l’apparence, le totalitarisme de l’image : le nôtre.
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