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Extrait ajouté par nini84 2015-01-18T10:48:02+01:00

-Est-ce que c'était... un problème sexuel?

mon morceau de poulet se loge dans mon œsophage. Je frappe mon torse pour le déloger, mais ma voix reste un peu rugueuse.

(...)

-Non, maman, c'était nickel sur ce plan.

-T'es sûr? parfois les femmes ne sont pas à l'aise pour exprimer leur besoins...

Hopla, non, il faut que ça cesse tout de suite.

-... communique leurs désirs. Mon club de lecture, ce mois-ci, parle précisément de ce sujet? Cinquante nuance de Grey. Est-ce que tu veux que je te le prête, Matthew?

Je vois une longue gorgée d'eau.

-non, je le connais déjà maman, merci.

Par contre, le fait que ma chère, douce et tendre mère, le connaisse, je suis certaine que ça va me faire faire des cauchemars.

Elle me met gentiment sa main sur la mienne.

-Très bien. Tu me diras si tu changes d'avis. Ce monsieur Grey a vraiment plein d'idées sur ce qu'on peut faire avec une cravate.

lepetitmondedeceline.blogspot.fr

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Extrait ajouté par bellajessica 2015-01-01T05:53:13+01:00

– Pourquoi tu ne m’aimes pas ?

– Quoi ?

– On a passé un super moment, le sexe était génial, on s’est marrés, mais maintenant tu ne veux plus rien savoir de moi.

– Et c’est du jamais vu pour toi ?

J’émets un rire nasillard.

– Mais bien sûr que c’est du jamais vu ! Tout le monde m’aime. Je suis un mec génial.

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Extrait ajouté par Camille77150 2016-01-01T18:54:58+01:00

"Je dois juste aller voir Drew vite fait, c’est un truc de mecs. Quel ami je serais si je n’allais même pas m’assurer qu’il ne s’est pas pendu dans son dressing ?

– Le genre qui veut rendre le monde meilleur."

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Extrait ajouté par feedesneige 2015-10-10T16:52:29+02:00

CHAPITRE 1

Ces dernières semaines, j’ai réalisé que, en vérité, parfois, les femmes aiment pleurer. Elles pleurent pour des livres, des émissions de télé, pour ces pubs horribles sur la maltraitance des animaux, et pour les films. Surtout pour les films. S’asseoir intentionnellement devant un film tout en sachant qu’il va vous faire pleurer ? C’est absurde.

Mais ça ne fait rien ; je vais juste ajouter ça à la liste des choses que je ne comprends pas au sujet de ma petite amie. Oui, j’ai bien dit petite amie. Dee Warren est officiellement ma petite amie.

Une dernière fois pour les gens assis au fond : petite amie, Delores, la mienne.

À le répéter ainsi, je vous fais peut-être penser à une adolescente pré-pubère obsédée par les One Direction, mais je m’en fiche. Parce que la victoire n’était pas facile. Si vous saviez ce que j’ai enduré pour l’obtenir, vous comprendriez.

Bref, où en étais-je ? Ah oui, les nanas aiment pleurer. Mais ce n’est pas ce genre d’histoire que je vais vous raconter. Il n’y a pas de meilleur ami agonisant, de passé torturé, de secret caché, de rupture étincelante à la Twilight, ni de rapports sexuels bizarres.

Enfin… si, d’accord. Il y a quelques rapports sexuels non conventionnels, mais pas le genre que vous imaginez.

Cette histoire est celle d’un don Juan qui rencontre une fille légèrement folle. Ils tombent amoureux et le don Juan change ses habitudes pour toujours. C’est une histoire que vous avez certainement entendue ailleurs, peut-être même de la bouche de mon pote, Drew Evans. Le truc, c’est que pendant que lui et Kate géraient tout leur bazar, il se passait une toute autre histoire entre Delores et moi dont vous n’aviez pas la moindre idée. Donc restez encore un peu, même si vous pensez déjà connaître la fin. Parce que la meilleure partie du voyage n’est pas d’arriver à destination. C’est tout ce qui se passe en cours de route.

Avant de commencer, voici quelle est la situation. Premièrement, Drew est un gars génial. Un véritable meilleur ami. Si on était membres du Rat Pack, il serait Frank Sinatra, et moi Dean Martin. Même si Drew et moi sommes super proches, on ne partage pas le même avis sur les femmes. À ce stade de l’histoire, il est persuadé qu’il restera célibataire toute sa vie. Il a tout un tas de règles concernant les filles, comme ne jamais les ramener chez lui, ne jamais sortir avec une collègue, et bien sûr la Règle Sacrée : ne jamais coucher deux fois avec la même femme.

Quant à moi, rien à voir. Je me fous de savoir où je baise : chez moi, chez elle ou depuis l’observatoire de l’Empire State Building.

Ça, d’ailleurs, c’était une soirée magique…

Je ne suis pas non plus opposé à l’idée de sortir avec quelqu’un du bureau. Cela dit, la plupart des filles de ma profession sont super stressées, fument clope sur clope, sont accro au café et sont tout simplement désagréables. Revoir la même femme plusieurs fois ne me pose aucun problème, du moment qu’on continue à s’éclater. Et, un jour, je m’imagine me poser : le mariage, les enfants et tout ce qui va avec.

Mais en attendant de trouver la femme idéale ? Je m’éclate avec toutes celles qui ne le sont pas.

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Extrait ajouté par LaChroniquedesPassions 2015-04-18T16:00:25+02:00

– Delores, je te présente sœur Béatrice, mon institutrice à l’école primaire. Sœur B., je vous présente Delores Warren.

– Enchantée, dit sœur B.

– Bonjour, dit Dee en faisant un geste de la main.

Sœur Béatrice fronce les sourcils :

– Vous avez l’air mal à l’aise mon petit, pour quelle raison ?

Dee gigote.

– Je… c’est que je ne suis pas catholique. Même pas un petit peu.

Sœur B. pose sa main sur son épaule et lui dit d’une voix basse :

– Ce n’est pas bien grave. Jésus ne l’était pas non plus.

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par LaChroniquedesPassions 2015-04-18T16:01:50+02:00

– Mais la danse verticale est un bon prélude ; ça me met d’humeur. Il y a un club juste en bas de chez moi. Leur DJ du mercredi est génial. Tu veux venir avec moi, Clito-boy ?

Je pose ma main sur la sienne et passe lentement mon pouce dessus.

– Je crois que je n’aime pas beaucoup ce surnom.

Elle sourit, l’air pas désolée du tout quand elle dit :

– Dommage pour toi. On n’a jamais une deuxième occasion de laisser une première impression. Tu seras Clito-boy jusqu’à ce que tu me fasses penser à toi autrement.

Je me rapproche d’elle. Un frisson parcourt son corps, et mon souffle sur son oreille lui donne la chair de poule.

– D’ici à la fin de la nuit, tu m’appelleras « Dieu ».

http://lachroniquedespassions.blogspot.fr/

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Extrait ajouté par mllemooii 2015-04-14T18:42:58+02:00

« Puis, nous passons aux singes. Je ne sais pas à quelle race ils appartiennent, mais ils sont petits, tout blancs et moutonneux, et ne semblent pouvoir s’arrêter de bouger que lorsqu’ils essaient de se monter dessus. Delores ricane et Mackenzie dit :

– Ils aiment beaucoup la lutte on dirait.

Je ris, et je murmure à l’oreille de Dee :

– Ils sont chauds comme des lapins, ça me donne des idées. On devrait partir avant que ça devienne gênant.

Mackenzie a l’ouïe fine car elle demande :

– Tonton Matthew, ça veut dire quoi chaud comme un lapin ?

Je réponds du tac au tac.

– Excité.

Elle acquiesce… et range cette information dans sa petite tête adorable et imprévisible.

 Nous sortons tous les trois du taxi, de retour chez Alexandra et Steven. Je porte Mackenzie car elle dort à moitié. Dee porte le ballon de Mackenzie et son sac, ainsi qu’une demi-douzaine de souvenirs que je n’ai pas pu m’empêcher de lui offrir. Alexandra nous ouvre, et Mackenzie se réveille, frottant ses yeux pour en enlever les traces de sommeil. Je la pose par terre et on a tous les deux droit à un câlin, un merci qui n’a pas besoin de mots.

Alexandra lui dit :

– Il y a un paquet sur ton lit, c’est arrivé pendant que t’étais au zoo. Je crois que c’est la poupée Elizabeth American Girl que mamie t’a achetée pour ton anniversaire, celle qu’ils n’avaient plus en stock.

La bouche de Mackenzie forme un O adorable, et elle sautille sur place.

– Je l’attendais ! Je suis chaud comme un lapin !

Puis elle déguerpit et court dans sa chambre. 

 Le regard coléreux d’Alexandra se pose sur nous.

– Vous avez quelque chose à m’expliquer, peut-être ?

Je me frotte l’arrière du cou… et puis je sacrifie Steven.

– Tu devrais vraiment dire quelque chose à ton mari. Il devrait faire attention à ce qu’il dit devant Mackenzie.

Je lui revaudrai ça, je le jure.

Dee s’en mêle.

– Ouais, les enfants sont comme des éponges. Ils absorbent tout ce qui les entoure.

L’expression d’Alexandra me dit qu’elle ne croit pas un mot de ce que l’on raconte.

– On devrait y aller, me dit Delores.

– Oui, c’est vrai, les amphibiens m’ont vraiment épuisé, dis-je en bâillant. Salut, Alex.

– Salut, Alexandra, rajoute Dee.

Et on s’enfuit.

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Extrait ajouté par Ella-L 2015-01-25T12:51:20+01:00

Je me penche vers elle pour me rapprocher, et je lui demande :

— Si je ne ressemble pas à un banquier, je ressemble à quoi ?

Elle sourit lentement et enlève les olives de la pique avec ses dents.

— A un Chippendale.

La réponse parfaite. Je n'ai pas besoin de vous expliquer pourquoi, si ?

D'une voix basse et séduisante, je lui réponds :

— C'est vrai que j'ai des chorégraphies géniales. Si jamais banquier ça ne marche pas, Chippendale c'est mon plan B.

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Extrait ajouté par Ella-L 2015-01-25T12:46:45+01:00

— Bonsoir, cette veste te va à ravir.

Vous ne pouvez pas vous tromper en faisant un compliment. Les femmes les adorent.

Son sourire devient dubitatif.

— Laisse-moi deviner : mais je serais encore mieux sans la veste ?

Je ris.

— C'est pas ce que j'allais dire. Je ne pourrais jamais dire quelque chose d'aussi ringard.

Je hausse les épaules.

— Ce que j'allais dire, c'est que ta veste irait encore mieux sur le sol de ma chambre.

Elle rit d'un rire éclatant et fort.

— Ouais, parce que ça, c'est pas ringard DU TOUT.

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Extrait ajouté par Tiate 2015-10-07T09:53:45+02:00

- J'avais tout un truc prévu. J'allais t'emmener sur la plage et t'offrir une peluche. J'allais te dire que t'es la femme la plus incroyable, la plus belle, la plus fantastique que j'ai jamais rencontrée. Et j'allais te dire que je suis complètement amoureux de toi. Et maintenant...maintenant je ne peux plus dire tout ça.

Je secoue la tête.

"Parce que tout ce que t'attends...tout ce que tu cherches...Parce que je ne peux pas aimer quelqu'un qui n'attend qu'une occasion de partir en courant".

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