Commentaires de livres faits par Marthe-Louise
Extraits de livres par Marthe-Louise
Commentaires de livres appréciés par Marthe-Louise
Extraits de livres appréciés par Marthe-Louise
Aura-t-elle lieu en 2032 ?
Ces sombres présages sont-ils affabulations pures et simples ou oracles indiscutables ? Les quarante années qui vont de 1917 (apparitions de la Vierge à Fatima) à 1957 (lancement de Spoutnik I) ne sont-elles pas la période préliminaire à ces "derniers jours" évoqués par les Prophètes hébreux ?
Et ne sommes-nous pas déjà entrés dans le temps de l'Apocalypse lui-même, marqué par une tragique concentration d'horreurs et la prolifération des faux prophètes entrainant des foules hallucinées et crédules parfois jusqu'à l'holocauste ?
En cette fin de millénaire, ces angoissantes questions nous interpellent tous, Chrétiens et non-Chrétiens. Car c'est autour de l'an 2000 que la prophétie de Saint Malachie, les centuries de Nostradamus et certains versets-clefs de l'Apocalypse de Saint Jean situent le Jugement final et un changement d'âge.
Jean-Luc Maxence, après une étude historique détaillée des 111 prophéties, ne cherche pas à nous rassurer : il nous propose une réflexion peut-être salutaire sur le sens et le devenir de l'odysée des Terriens.....
Un été 44, un été havrais, le mien, le vôtre
Un condensé de notre quotidien, avec en toile de fond, une guerre dont notre Normandie est devenue le théâtre principal.
C'est le temps des angoisses, de la peur et des larmes, quand les bombes écrasent inutilement notre ville........
Lorsque commencera l'An Mille qui vient après l'An Mille
Chacun cherchera à jouir tout ce qu'il peut
L'Homme répudiera son épouse autant de fois qu'il se mariera
Et la femme ira par les chemins perdus (creux) prenant celui qui lui plaira
Enfantant sans donner le nom du Père
Mais aucun Maître ne guidera l'Enfant
Et chacun parmi les autres sera seul
La tradition sera perdue
La loi sera oubliée
Comme si l'Annonce n'avait pas été faite et l'homme redeviendra sauvage
Source : http://livre.fnac.com/a1501832/Rene-Closset-Franz-Stock-aumonier-de-l-enfer
« Car ma connaissance du christianisme est somme toute assez superficielle, mais surtout, je garde au fond de moi un profond mépris pour cette religion. Si ma croyance dans le Coran a été réduite à néant, pour moi le christianisme est encore inférieur à ce néant. »
« Il se passe alors en moi quelque chose d’extraordinaire, comme une déflagration violente qui emporte tout sur son passage, accompagnée d’une sensation de bien-être et de chaleur… Comme si tout à coup une lumière éclatante éclairait ma vie d’une façon entièrement nouvelle, et lui donnait tout son sens. C’est l’idée que je me fais d’un coup de foudre, et c’est plus que cela. J’ai l’impression d’être ivre, alors que monte dans mon cœur un sentiment d’une force inouïe, une passion presque violente et amoureuse pour ce Jésus-Christ dont parlent les Evangiles. »
« Au cours de mes lectures (de la Bible), j’y trouve bien souvent matière à exprimer ce que je suis en train de vivre, même si celles-ci ont été écrites il y a plusieurs millénaires. »
« Même les phrases de l’Evangile semblent avoir été écrites pour moi, pour m’inviter à l’espérance : « Heureux êtes-vous quand on vous insultera, qu’on vous persécutera, et qu’on dira faussement contre vous toute sorte d’infamie à cause de moi. Soyez dans la joie et l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les Cieux : c’est bien ainsi qu’on a persécuté les prophètes, vos devanciers » (Mt 5, 11-12)
« Nul ne devient jamais chrétien sur un tapis de roses »
« Dans mes prières, certaines phrases de l’Evangile me reviennent en boucle. Elles sont parmi les rares qui parviennent encore à capter mon attention épuisée : Vous serez haïs de tous à cause de mon Nom »
« Paradoxalement, ces sentences terribles m’aident à tenir bon, elles me donnent le réconfort. Elles sont pour moi le signe que je ne fais pas fausse route. Au fond, je ne suis pas loin de désirer ce martyre qui prouverait définitivement mon attachement au Christ »
« Au contraire,, les difficultés surmontées ne font que renforcer mon attachement au Fils de Dieu, souffrant lui aussi, qui devient ainsi mon seul soutien et ma seule force »
Quand Jésus vit toute la foule qui le suivait, il gravit la montagne. Il s’assit, et ses disciples s’approchèrent. Alors, ouvrant la bouche, il se mit à les instruire. Il disait :
« Heureux les pauvres de coeur : le Royaume des cieux est à eux !
Heureux les doux : ils obtiendront la terre promise !
Heureux ceux qui pleurent : ils seront consolés !
Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice : ils seront rassasiés !
Heureux les miséricordieux : ils obtiendront miséricorde !
Heureux les cœurs purs : ils verront Dieu !?Heureux les artisans de paix : ils seront appelés fils de Dieu !
Heureux ceux qui sont persécutés pour la justice : le Royaume des cieux est à eux !
Heureux serez-vous si l’on vous insulte, si l’on vous persécute et si l’on dit faussement toute sorte de mal contre vous, à cause de moi.
Réjouissez-vous, soyez dans l’allégresse, car votre récompense sera grande dans les cieux ! C’est ainsi qu’on a persécuté les prophètes qui vous ont précédés. »
26 Oui, Père, je te loue de ce que tel a été ton bienveillant dessein.
27 Tout m’a été remis par mon Père, et personne ne connaît le Fils, si ce n’est le Père, personne non plus ne connaît le Père, si ce n’est le Fils et celui à qui le Fils veut le révéler.
28 Venez à moi, vous tous qui êtes fatigués et chargés, et je vous donnerai du repos.
29 Prenez mon joug sur vous et recevez mes instructions, car je suis doux et humble de cœur, et vous trouverez du repos pour vos âmes.
30 Car mon joug est aisé, et mon fardeau léger
Arrête-toi quelques instants dans la course de tes jours. Il est bon de laisser le silence envahir notre âme comme des eaux de douceur et de paix. Me voici en face de moi-même, de cet être mystérieux, si grand et si misérable, dont le corps fragile porte dans le tissu de ses cellules tout un monde merveilleux – dont le cœur est rempli de cette chose inexplicable – la plus belle du monde – lumière des plus pauvres – force des plus désespérés – qui s’appelle l’amour…. Qui donc, descendant au centre de lui-même, n’a pas pleuré sur lui, sur ses promesses mal tenues, ses fidélités trahies, ses jours gaspillés, sur le mal qui a triomphé dans son âme, plus fort que son désir de beauté, d’innocence, de justice
Et la vie est là – dont je ne saurais dire ce qu’elle est – simplement que tout homme l’aime passionnément, malgré ses duretés, ses tristesses. C’est une immense souffrance de la voir s’écouler, inutile et sans but. On la voudrait belle et grande – et l’on comprend que sa réussite n’est pas liée au plaisir, au succès, aux honneurs…..
Vient pour tout homme cette limite et ce terme – la mort à laquelle personne n’échappe. Des milliards d’êtres ont travaillé, lutté et souffert et pleuré. Des générations sans nombre s’en sont allées sur ces terres qui n’ont rien gardé de leur passage. Les visages ont disparu, les regards se sont fermés. Demain, d’autres hommes viendront, le soleil brillera, et je serai un peu de poussière perdue quelque part….. Cependant, je veux vivre – on n’arrivera pas à me convaincre que la mort n’est qu’un accident regrettable – l’homme chante la vie sur la cendre des morts…..
La souffrance est la compagne fidèle de nos jours ; elle franchit le seuil de nos maisons, s’assied à notre table, déchire notre chair, nous laisse seul avec notre angoisse, nos larmes…….. Je la trouve dans les hôpitaux, les taudis, les foyers détruits par la guerre, les familles dispersées, la désespérance des âmes. J’essaie de ne pas passer trop vite….. d’écouter la plainte des souffrants……. Le râle des agonies…..
Le plus grand désarroi des hommes est de laisser sans réponse cette question que me posent la vie, la souffrance et la mort ; de vivre une vie qui n’a plus de sens et verse dans l’absurde – salle d’attente où l’on n’attend plus rien.
Heureux es-tu, toi qui me lis, si ton cœur s’est ouvert à la Parole de Celui qui domine les siècles, du Fils que Dieu te donne, qui meurt pour toi et t’appelle par ton nom. Il est route, vérité et vie, lumière dans les ténèbres. C’est de Lui que tu porteras toute souffrance et par Lui qu’elle sera force de vie. Ton âme lavée par le pardon peut reprendre courage, et la mort avec Lui mène au bonheur de la Cité de Dieu