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« MADEMOISELLE THOMPSON, disait le message en grandes majuscules impérieuses, JE VOUS PRIE D'EMPECHER VOTRE FELIN D'ENTRER DANS ME PROPRIETE. S'IL RECOMMENCE, JE LE MANGE ».

Le message n'était pas signé.

J'ouvris la porte du panier et en sortis le chat dans la douce fourrure duquel je frottai mon visage.

- Alors, le méchant loup-garou a mis le pauvre minou dans une boîte et il l'a abandonné ? lui demandai-je.

Elle sentait mon voisin à plein nez, ce qui me laissait penser qu'Adam l'avait accueillie un bon moment sur ses genoux avant de la fourrer dans sa boîte et de la ramener ici...

Médée aime tout le monde, cette pauvre vieille chatte, même mon grincheux de voisin.

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Samuel, ravi de me voir aussi bien mordre à l'hameçon, me tapota la cuisse.

C'est par un pur hasard que j'aperçus les yeux d'Adam se rétrécir puis passer du chocolat à l'ambre en voyant la main de Samuel avant de reporter mon regard sur a route...

- Ne la touche pas, murmura Adam. (Sa voix était légèrement menaçante, et il dut s'en rendre compte puisqu'il ajouta :) S'il te plait.

Ces derniers mots me firent ravaler la réplique acerbe que j'étais que le point de proférer... mais ce n'était pas de ma grande gueule que j'aurais dû me méfier.

Samuel déplaça sa main jusqu'à ce qu'elle chevauche entièrement ma cuisse et la pressa, pas assez pour me faire mal. Je ne suis pas sûre qu'Adam l'aurait même remarqué si Samuel n'avait pas en même temps émis un semi-grondement de défi venant du fond de la gorge.

Je ne pris même pas le temps d'attendre la réaction d'Adam. D'un coup de volant brutal, je me garai sur le bas-côté en freinant à fond. Défaisant ma ceinture de sécurité, je me retournai vers le regard jaunâtre d'Adam...

- Toi, lui dis-je fermement, tu restes là.

- Et toi, dis-je en me retournant vers Samuel, dehors, immédiatement.

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-Est-ce que tu t'occupes de moi parce que Bran te l'a demandé ?

-Chérie, un loup ne prends pas soin d'un agneau parce que sa mère lui a demandé.

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Il effleura ma bouche de ses lèvres douces et légères et je m'appuyai de tout mon poids contre la pression de ses mains pour me rapprocher de lui. Il eut un rire de gorge et m'embrassa enfin pour de vrai. Avec mon bras cassé entre nous deux, notre langage corporel ne put s'exprimer que par nos bouches et nos mains. Il sentait l'eau de Cologne, un parfum riche et subtil qui s'harmonisait bien avec son odeur exotique.

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Il se tourna vers moi, ses pattes avant posées sur le sole entre nos sièges. Puis il fourra son museau dans mon entrejambe et gémit. - Arrête ! hurlai-je en lui donnant une tape sur la truffe. C'est très mal élevé ! Il recula la tête et m'examina d'un air perplexe. J''en profitai pour vérifier sur le tableau de bord que je n'allais pas trop vite.

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Je lui décochai un sourire, le remerciai pour la cérémonie et lui souhaitai tout le bonheur de monde. <<Tu aimeras ton ennemi>>, disait la Bible. Ce à quoi ma mère adoptive ajoutait toujours : <<Ou, au moins, tu seras polie avec lui.>>

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- Tu en as assez de la vie, ou quoi ? Adam pourrait ordonner que Kyle et toi soyez exécutés. J'ai déjà vu faire cela.

- Seulement moi. Pas Kyle, rétorquai-je.

- Si, bon sang ! Kyle aussi !

- Seulement si ton amant décide d'en parler à la police ou aux médias, intervint Samuel d'une voix douce, mais il s'attira tout de même un regard furieux de Warren.

- Tu as pris un trop grand risque, Mercy, dit-il en se tournant de nouveau vers moi. Comment penses-tu que je me sentirais qui je devais vous perdre tous les deux ?... Peut-être avais-tu raison. C'était à moi de le lui dire. J'aurais dû prendre le risque.

- Non. Toi, tu fais partie de la meute, et tu as juré obéissance. C'était Adam, oscillant en haut de l'escalier, vêtu d'une chemise blanche et d'un jean à sa taille.

- Si c'était toi qui lui avais dit, j'aurais été contraint d'appliquer la loi, sinon j'aurais dû faire face à une rébellion.

Il s'assit sur la marche du haut plus rapidement qu'il l'avait prévu, à mon sens, et m'envoya un sourire.

- Samuel et moi pouvons tous les deux témoigner que Warren n'a rien dit à Kyle, et que c'est toi qui l'as fait. Malgré les objections de Warren, d'ailleurs. Et comme tu le dis si souvent, tu ne fais pas partie de la meute. (Il tourna son regard vers Warren). Si ça n'avait tenu qu'à moi, cela ferait longtemps que tu aurais eu la permission. Mais j'obéis à des ordres, moi aussi.

Je le considérai d'un air surpris.

- Tu savais que j'allais en parler à Kyle.

Il sourit.

- Disons juste que j'ai bien cru à un moment que j'allais devoir descendre t'ordonner de ne pas dire un mot à Kyle pour que tu te décides, à le suivre avant qu'il s'en aille.

- Salaud de manipulateur ! dis-je, à moitié admirative.

C'était décidé, la Golf allait perdre ses trois roues.

- Merci, répondit-il avec un sourire modeste.

Et quand nous récupérerions Jesse, elle pourrait me donner un coup de main pour les graffitis.

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- Salut, Mercy, papa m'a demandé de te rapporter ça. Je pense que c'est en grande partie pour se débarrasser de ma présence pendant qu'il réglait des histoires de meute. (Elle leva les yeux au ciel en me rendant mon appareil.) Comme si, à mon âge, je ne savais pas que je ne dois pas parler aux loups-garous inconnus...

- Salut, Jesse, répondis-je en l'invitant à rentrer.

- Cela dit, dit-elle en enlevant ces chaussures, il était drôlement mignon, ce jeune loup, avec sa petite tâche, là (elle passa le doigt sur le nez). Il ne m'aurait sûrement pas fait le moindre mal. J'étais tranquillement occupée à lui grattouiller le bidon quand papa est arrivé et m'a hurlé après...

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Je sortis de celle-ci. Il faisait encore plus froid qu'avant, et je n'étais vêtu que de mon tee-shirt. Je courus donc jusqu'à la chambre numéro 1. J'avais toujours la clé dans ma poche, mais quand je poussai la porte, elle s'ouvrit.

Adam était étendu sur le flanc, la gueule contrainte par un bandeau d'apparence solide, sur le dessus du lit. Samuel était penché sur lui, seulement vêtu d'un jean et de gants en latex. Je ne m'attardai même pas sur le spectacle, ce qui donnait une idée de l'inquiétude que je ressentais pour Adam. Charles, qui appuyé contre le mur, me jeta juste un regard sans mot dire.

- La porte! ordonna vivement Samuel. Bon Dieu, Mercy, pourquoi n'as-tu pas réduit la fracture avant de le trimballer toute la journée dans ton van? Tu sais pourtant à quelle vitesse nous cicatrisons! Il va falloir que je recasse sa patte.

Samuel ne m'avait jamais crié dessus. C'était l'un des loups-garous les plus calmes que j'ai jamais connu.

- Je ne sais pas comment on fait pour réduire une fracture, me justifiai-je en me recroquevillant.

Mais il avait raison. Je savais à quelle vitesse guérissaient les loups-garous - je n'avais juste pas compris que cela s'appliquait aussi aux os brisés. A vrai dire, je n'avais même pas vu que sa patte était cassée. Quelle idiote j'avais été. J'aurais dû tout simplement appeler Darryl.

- Y a pas à sortir de médecine pour savoir réduire une fracture, grogna Samuel. Il suffit de tout remettre droit. (Il tira doucement la patte d'Adam.) je suis certain qu'un des loups de sa meute a une formation de secouriste. Il fallait l'appeler si tu ne t'en sentais pas le courage. (S'adressant à Adam.) Serre les dents.

D'où j'étais, je ne vis pas exactement ce qui se passait: j'entendis juste un craquement d'os, et Adam crier en se débattant d'une manière que je ne voulais plus jamais entendre.

- Je craignais que la meute soit impliquée dans l'agression, dis-je doucement. Il était inconscient, je ne pouvais donc rien tirer de lui. De toute façon, ils n'ont aucun loup assez dominant pour maîtriser celui d'Adam.

Samuel jura en se tournant vers moi:

- Si tout ce que tu peux faire, c'est te justifier, va donc voir ailleurs si j'y suis.

Même dans son état, ces propos n'agréèrent pas à Adam, qui gronda en regardant Samuel.

- Désolée, dis-je en refermant soigneusement la porte derrière moi.

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« - Ici Hauptman, s'annonça-t-il, avec un brin d'impatience, à la quatrième sonnerie.

- J’ai tué un loup-garou au garage, dis-je avant de raccrocher.

Voyant l’air surpris de Mac, je lui expliquai :

- C’est le meilleur moyen d’avoir rapidement une réaction, sans avoir à tout expliquer pendant vingt minutes. Bon, allez, Il faut ramener le cadavre avant que quelqu’un l’aperçoive sur la route.

Je laissai le répondeur se charger du téléphone qui sonnait. »

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