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- Mercy, répondit-il en m'adressant un signe de la tête, sans quitter Ben du regard. Adam a remarqué que tu avais disparu et m'a envoyé te chercher.

Voyant que Ben ne répondait pas, il continua :

- Ne fais pas le con. ça n'est pas le moment.

Ben fit la moue, puis décocha un sourire qui métamorphosa sont visage : en cet instant , il rassemblait a un charmant gamin.

- Pas de lézard. Je souhaitais juste bonne nuit a une femme charmante. Bonne nuit douce Mercedes. Fait de beaux rêves, avec moi dedans.

J'avais déjà ouvert la bouche pour répliquer de fort peu gracieuse manière , mais Darryl me fit signe de la fermer.

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Insulter une sorcière faisait partie des choses à ne pas faire, en bonne place avec énerver un mâle Alpha ou faire des mamours à un jeune loups-garou à côté d'un cadavre.

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__Allo, dis-je d'une voix que je gardai la plus égale possible.

__Mercy (c'était Warren, il avait l'air affolé), ilfaut absolument que tu reviennes aussi vite que possible, et Samuel aussi.

Ce dernier poussait des cris de douleur. Le Changement était déjà douloureux quand les conditions étaient réunies, qu'ils étaient détendus et impatients de chasser. Changer dans une ambience lourde de peur et de sang n'allait pas etre une partie de plaisir, assurément.

__Samuel est indisposé, dis-je alors qu'il poussait un hurlement rempli de douleur et de désespoir.

Il luttait contre le Changement.

Warren jura.

__Dis-moi, alors. Est-ce qu'Adam pense que quelqu'un de la meute l'a trahi ?

__C'est à cause de ce que j'ai dit, répondis-je. Warren, est-ce que la meute est en route vers chez toi ?

Il grogna. Je pris ça pour un oui.

__Préviens Adam.

__J'ai cuit quelques steaks, je l'ai nourri il y a environ une heure et il dort pour digérer. J'ai tenté de le réveiller avant de t'appeler, mais il était profondément enfoncé dans son sommeil réparateur. Je ne sais que faire pour le réveiller.

__Le docteur Cornick (Samuel) saurait, lui, grommelai-je et je grimaçai en entendant les bruits que ce dernier faisait. Mais, malheureusement, il n'est pas en état de parler au téléphone à l'instant.

__Tout va bien, Mercy, dit Warren , soudain très calme. Je vais m'en occuper. S'il est en plein milieu d'un Changement involontaire, la premiere chose à faire pour toi, c'est de t'en éloigner pour lui laisser le temps de se calmer.

__Quoi ? Et le laisser partir à la chasse en plein milieu de Kennewick ? Je ne pense pas, non ...

__Il ne va pas te reconnaitre, pas en Changement ainsi. Il n'y aura plus une trace de Samuel, le fils de Bran, ce sera juste le loup.

Les sons qui me parvenaient de derriere étaient de plus rn plus canins, et de moins en moins humain.

__Mercy, sors de là! ordonna Warren.

__Ca va aller, Warren, lui dis-je, en espérant ne pas me tromper.

Les loups, les vrais, ne sont habituellement pas des animaux méchants, à moins d'avoir peur, mal ou de se sentir pièger. Les loups-garous sont toujours vicieux et prets à tuer.

__Si ça ne marche pas... raconte-lui que les vampires m'ont eue, lui dis-je. Je ne pence pas qu'il se souviendra de quoi que ce soit et, en un sens, ce sera assez vrai. Ce sont bien les vampires qui ont causé ce Changement. Dis-lui bien ça.

Je raccrochai.

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-Un loup-garou m'a envoyée valdinguer contre un tas de caisses alors que j'essayais de porter secours à une jeune fille prisonnière d'une méchante sorcière et d'un parrain de la drogue.

-Ah ah, dit-il sur le même ton amusé avec lequel j’avais accueilli sa plaisanterie.

[…]

-Un loup-garou m'a envoyée valdinguer contre un tas de caisses alors que j'essayais de porter secours à une jeune fille prisonnière d'une méchante sorcière et d'un parrain de la drogue.

-Il faudra que tu me racontes ça, répondit-il. Je te retrouve au garage.

Et voilà. Certaines croient ce que je leur raconte, elles.

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« Les loups-garous peuvent être dangereux si vous vous mettez en travers de leur chemin. Ils ont un talent extraordinaire pour dissimuler leur véritable nature aux yeux des humains. Mais moi, je ne suis pas tout à fait humaine. »

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Je les aime beaucoup, ma mère et mon beau-père. J'aime même mes demi-frères et sœurs qui ont accueilli ma soudaine arrivée dans leur vie avec enthousiasme. Ils forment l'une de ces familles très unies qui sont la normes dans les séries télé, et cela me remplit de joie de savoir que des gens comme ceux-là existent vraiment – mais je ne m'y sens pas chez moi.

Je leur rends visite deux fois par ans, chez eux, pour éviter l'invasion de mon territoire, et en écartant soigneusement les vacances et les jours fériés. Je ne reste jamais longtemps. Je les adore, mais je les apprécie mieux loin de moi.

Une vague de déprime me submergea quand je raccrochai. Je rentrai chez moi, mis la dinde à décongeler au frais et donnai à manger au chat. Le nettoyage scrupuleux du frigo que j'avais entrepris n'ayant aucune influence bénéfique sur mon humeur – je ne vois d'ailleurs pas ce que j'espérais de ce côté – je repris ma voiture et roulai vers les rives de Hanford Reach, ce bras de la Columbia qui remontait vers le nord.

Je ne vais pas très souvent dans ce coin-là. Si je veux courir, il y a des endroits plus facilement accessibles, et les Montagnes Bleues ne sont pas très loin si je ressens le besoin de conduire un peu avant mon jogging. Mais parfois, j'ai le besoin irrépressible d'espaces arides et désolés comme ceux du Reach, en particulier après la plupart de mes conversations avec ma mère.

Je garai la Golf et marchai un moment, le temps de m'assurer de manière à peu près fiable que j'étais totalement seule. Puis je me déshabillai, mis mes vêtements dans un petit sac à dos et me transformai.

Les loups-garous mettent jusqu'à un quart d'heure à totalement changer de forme – et le processus est très douloureux, ce qui est bon à savoir. Les loups-garous ne sont déjà pas les plus aimables des animaux, mais quand ils viennent de se métamorphoser, disons qu'il vaut mieux ne pas les asticoter pendant un moment.

La métamorphose des changeurs est instantanée et indolore – enfin, la mienne, en tout cas, vu que je suis la seule changeuse que je connais. A un moment, je suis humaine, et la seconde d'après, hop, magique ! je suis un coyote. Je passe d'une forme à l'autre aussi facilement que d'une pièce à l'autre.

Je frottai ma truffe contre ma patte avant pour dissiper les derniers fourmillements du changement. Je mets toujours quelques secondes à m'habituer à marcher à quatre pattes au lieu de deux. Grâce à les lectures, je sais qu'en théorie les coyotes ont une vision très différente des humains, mais pour moi, c'est à peu près la même chose quelle que soit ma forme. Mon ouïe s'améliore légèrement, ainsi que mon odorat, mais déjà, en tant qu'humaine, j'ai des sens bien plus aiguisés que la moyenne.

Je ramassai le sac à dos rempli de mes vêtements et le dissimulai sous un buisson. Puis j'abandonnai mes dernières bribes d'humanité et pris mon essor vers le désert.

Il me fallut chasser trois lapins et ravir un jeune couple en barque sur la rivière en leur laissant apercevoir un éclair de ma jolie fourrure, pour que je finisse par me sentir infiniment mieux. Je ne suis pas obligée de me métamorphoser à chaque pleine lune, néanmoins, si je passe trop de temps sur mes deux jambes, je deviens nerveuse et d'humeur inégale.

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- On peut prendre mon van, proposai-je.

- Merci, répliqua Adam, mais toi, tu restes ici.

Je relevai le menton d'un air de défi, et il me tapota la joue, ce salaud condescendant. Mon expression le fit rire, pas pour se moquer, mais comme s'il appréciait énormément quelque chose, qui devait être moi.

- Tu n'es pas "mobilisable", Mercedes, et surtout, tu n'as pas ce qu'il faut pour une guerre de meutes.

Son sourire s'évanouit et il parcourut la pièce du regard.

- Écoute, mon pote, protestai-je. J'ai tué deux loups-garous, ce qui m'en fais autant que toi pour la semaine, et je ne me suis pas trop mal débrouillée pour extorquer cette adresse aux vampires, non plus.

- C'est Toi qui as obtenu l'adresse des Vampires? dit-il d'un ton dangereusement aimable.

- Salaud condescendant, marmonnai-je en parcourant les rues vides de Kennewick dans mon van. Je ne fais Pas partie de la meute. Il n'a Pas le droit de m'ordonner quoi que ce soit. Ni celui de m'engueuler parce que je suis allée voir les vampires. Ce n'est Pas mon tuteur.

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- OK. Alors, est-ce que c’était pour Bran que tu me surveillais ?

- Chérie, répondit-il en exagérant son accent du Sud, quand un loup surveille un agneau, il ne pense pas à la maman de celui-ci.

Je souris comme une idiote. Je ne pus m’en empêcher : l’idée de Bran en tant que maman d’un agneau était trop drôle.

- Tu parles d’un agneau, répliquai-je.

Il se contenta de sourire énigmatiquement.

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"Bran était la seule personne qui pouvait utiliser des mots comme "fripouille" en les faisant vraiment sonner comme de terribles insultes - il aurait dit "petit lapinou" sur ce même ton que j'aurais aussi senti la terreur me chatouiller l'échine."

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Adam se détendit et je découvris que sous son costume d’Alpha autoritaire et colérique se cachait un homme charmant, autoritaire et colérique.

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