Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
714 897
Membres
1 014 129

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

— Josey.

— Sais-tu que j’ai tellement pleuré après que tu as tout arrêté l’autre soir que j’ai utilisé tous les mouchoirs en papier de la chambre d’hôtel ? Tous les Kleenex, tout le papier toilette. Et que j’ai même été tentée de me moucher avec mon drap ! Mon drap ! J’ai dû appeler le service d’étage pour qu’on me rapporte des mouchoirs, des taies d’oreiller et des serviettes.

Elle se dégagea de mon étreinte et pointa ma poitrine du doigt comme elle l’avait fait dans l’avion.

Mon coeur se serra.

Elle n’avait pas terminé.

— Et mon visage était rouge, mes yeux gonflés, et moi, j’étais en train de négocier un déblocage de mouchoirs avec un employé de la réception très inquiet, à me payer des regards compatissants et des propositions d’aide, tout cela parce que tu étais, NON, tu es trop lâche pour prendre le risque de… de…

Je tendis de nouveau la main vers elle.

— Josey…

Elle m’esquiva, fit le tour du bar en courant, puis alla dans le couloir, en criant entre deux sanglots :

— Pense aux arbres, Will ! Et voilà, j’ai encore besoin de mouchoirs, espèce d’égoïste, de gros lâche ! Tu tues les arbres !

Afficher en entier

Quand ta vie part en vrille, le fromage est le ciment qui la fera tenir.

Afficher en entier

— N’importe quoi, répliqua papa. Pourquoi il ne t’aimerait pas ? Tu es délicieuse.

Je secouai la tête, incapable de retenir mon sourire.

— Tout le monde ne me trouve pas aussi délicieuse que toi, papa. La plupart me trouvent ennuyeuse.

— La plupart sont des idiots, dit maman en agitant son doigt. Mais pourquoi tu ne vas pas le lui dire et voir ce qu’il te répond ?

— Ce n’est pas aussi simple que ça.

— S’il ne voit pas que tu es adorable, alors on ne l’invitera pas cet été au Méga Barbecue des Kavanagh, déclara papa, comme si c’était une punition immense.

Je doutais que Will soit impatient de manger les hamburgers trop cuits et les côtes de porc brûlées de mon père.

Afficher en entier

Elle le prit sur la table, le souleva et l’éloigna.

— Bas les pattes, Moore. Ce gâteau est à moi.

Je plissai les yeux, l’air taquin.

— Je veux du gâteau !

Elle haussa les épaules.

— Et alors ? Moi, je voulais me faire baiser dans un avion. On n’a pas toujours ce qu’on veut.

Je soutins son regard, bien que le mien fût sidéré. Et je ris. Plus exactement, j’éclatai de rire.

Afficher en entier

— Tu as peur de faire du mal à ta copine ? (J’étais tellement confuse. Sans trop penser à la question, je me rapprochai, baissai la voix et murmurai :) Aurais-tu, genre, un pénis géant ?

La solennité de Will disparut aussitôt et il réprima clairement un rire.

— Non.

— Bon, soupirai-je tristement, c’est dommage.

Il s’autorisa un sourire, mais juste une nanoseconde, avant que son sérieux ne revienne.

Afficher en entier

Je pensais que les Gallagher et moi étions sur la même longueur d’onde, j’avais tort. Aideen Gallagher avait refusé de respecter mes limites, mais je n’aurais jamais dû aller les voir, en premier lieu.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode