Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
715 504
Membres
1 017 599

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Ajouter un extrait


Liste des extraits

- Montre-moi ton permis de séjour.

Comme sous l'effet de la frayeur, la femme laissa tomber la serviette, levant les mains pour se couvrir les yeux. Longues jambes, taille étroite, ventre plat, seins hauts et fermes, une vraie femme comme celles qui se voyaient dans les publicités à la télévision. Au bout d'un instant, devant l'attente immobile de Fatma, Montalbano se rendit compte qu'il ne s'agissait pas de peur, mais d'une tentative pour trouver le plus évident et le plus pratique des arrangements entre un homme et une femme.

Afficher en entier

Arrivé au Rabàto, le plus ancien quartier de Montelusa, détruit trente ans plus tôt par un éboulement et habité à présent dans les ruines tant bien que mal relevées, dans les masures lézardées et croulantes, par des clandestins tunisiens et marocains, il se dirigea, à travers des ruelles étroites et tortueuses, vers la place Santa Croce : l’église était restée intacte dans les ruines. Il tira de sa poche le billet que lui avait donné Gegè : Carmen, à la ville Fatma ben Gallud, Tunisienne, habitait au numéro 48. C’était un misérable catojo, une petite pièce en rez-de-chaussée, avec une lucarne ouverte dans le bois de la porte pour la circulation de l’air. Il frappa et personne ne répondit. Il frappa encore plus fort et cette fois, une voix assoupie demanda :

— Qui c’est ?

— Police, lança Montalbano.

Afficher en entier

Arrivé au Rabàto, le plus ancien quartier de Montelusa, détruit trente ans plus tôt par un éboulement et habité à présent dans les ruines tant bien que mal relevées, dans les masures lézardées et croulantes, par des clandestins tunisiens et marocains, il se dirigea, à travers des ruelles étroites et tortueuses, vers la place Santa Croce : l’église était restée intacte dans les ruines. Il tira de sa poche le billet que lui avait donné Gegè : Carmen, à la ville Fatma ben Gallud, Tunisienne, habitait au numéro 48. C’était un misérable catojo, une petite pièce en rez-de-chaussée, avec une lucarne ouverte dans le bois de la porte pour la circulation de l’air. Il frappa et personne ne répondit. Il frappa encore plus fort et cette fois, une voix assoupie demanda :

— Qui c’est ?

— Police, lança Montalbano.

Afficher en entier

Les trois premiers jours passés auprès de Livia dans sa villa de Bocadasse lui firent presque complètement oublier la Sicile, grâce à certains sommeils de plomb qu'il s'offrait, en forme de récupération, en serrant Livia dans ses bras. Presque seulement, car deux ou trois fois, par traîtrise, l'odeur, le parler, les choses de la terre le saisissaient, le soulevaient dans les airs comme un fétu, le ramenaient en quelques instants à Vigàta. Et chaque fois, il en était sûr, Livia s'était aperçue de cet éloignement momentané, de cette absence, et l'avait fixé sans rien dire.

Afficher en entier

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode