Avant-propos
Cette nouvelle version du livre La vraie histoire d’Émilie
Bordeleau existe grâce à votre intérêt pour l’histoire d’Émilie
et Ovila, qui se manifeste de façon quotidienne sur ma page
Facebook. Une nouvelle génération d’admirateurs, nés après
le succès des Filles de Caleb, souhaite en apprendre davantage
sur ses personnages favoris.
Depuis mes premières publications en 1995 et en 2004,
plusieurs questions, restées sans réponses, et un grand nombre
d’événements ont été confirmés ou infirmés au moyen de
nouvelles archives qui étaient restreintes ou peu accessibles
à l’époque. Il y a quelques années, pour avoir accès à certains
documents, je devais me déplacer à travers le Québec et les
consulter sur place, dans les différents centres d’archives. Si
par exemple je voulais en savoir plus sur la vie d’Ovila après
sa séparation, il fallait préparer un voyage en Abitibi. C’était
laborieux et coûteux. Aujourd’hui, il est possible de trouver
l’information en ligne à partir de chez soi. La recherche est
beaucoup plus simple.
Aussi, les réseaux sociaux m’ont permis d’être en contact
avec des descendants Bordeleau et Pronovost que je n’avais
jamais rencontrés auparavant.

Peut-être avez-vous envie de me dire: «Mais Craig, ça ne pose pas de problème de parler des choses, si ce qu’on dit est vrai!» Je n’en suis pas sûr. Tout ce que nous disons doit être vrai, mais tout ce qui est vrai ne doit pas être dit. Avant de taper notre texte, demandons-nous toujours: Est-ce que cela va apporter quelque chose de bon ou est-ce que cela va faire du mal?

C’est étonnant, mais nous éprouvons une attirance malsaine pour la médisance. Ce péché nous intrigue, nous attire, nous appâte. Il y a un certain temps, un pasteur américain s’est trouvé impliqué dans une querelle sur Internet, et j’avoue que j’ai suivi les tweets et recherché les hashtags pour voir ce que les gens en disaient. Même si je n’ai pas contribué directement à relayer ces infos, j’ai participé malgré tout en tant que spectateur. Cet étrange sentiment de satisfaction qu’on peut éprouver dans ces moments-là est aussi décrit dans le livre des Proverbes:
Les paroles du critiqueur sont comme des friandises: elles descendent au plus profond de l’être.

Quelques années plus tôt


À toi,



Je suis là, un stylo à la main, à déposer des mots sur ce carnet usé, comme on jetterait des cailloux, espérant qu’ils ricochent jusqu’à toi. Des bouteilles à la mer dont les plaintes ne te seront jamais délivrées. C’est pathétique, tu ne trouves pas ? Pathétique de continuer à penser à toi alors que tu m’as sûrement oubliée. Pathétique de croire que tu tiendras tes promesses malgré tout.



Tu m’as laissé tous nos souvenirs. Les carcasses de nos fantômes errent à chaque coin de rue, chaque lieu que nous avons fréquenté. Je les entends murmurer. Ils me possèdent, ils aiment me faire du mal et me rappeler à quel point notre relation était belle.



Et que la fin n’a été que destruction.

C'est l'usage , ai-je remarqué, lorsque l'on publie une autobiographie , de le faire précéder d'une manière de justification. Mais il y a des époques , et la nôtre en est une assurément, où cela s'avère manifestement inutile. Dans un âge où toutes les règles de la décence soit bafouées, soit menacées de destruction : où la presse , chaque jour, rapporte des scènes de violence, de divorce et de pyromanie; où de très jeunes filles fument des cigarettes , et même parfois , m'assure-t-on, des cigares; où des femmes mûres, mères de malheureux enfants, pénètrent dans la mer en costume de bain une pièce; où des hommes mariés, des chefs de famille, préfèrent le papillotement du cinématographe aux paraboles des apôtres, c'est à l'évidence une tâche indispensable d'offrir au monde quelque exemple d'élévation.

C'était l'automne et ses enfants trottaient çà et là, autour du coin de la rue, leurs visages exprimant leurs malheurs et leurs triomphes. Ils s'arrêtaient devant un chêne, ravis, étonnés, hésitants.
C'était l'hiver et ses enfants frissonnaient au portail, ombres chinoises se découpant sur une maison en flammes.
C'était l'hiver et un homme marchait dans la rue, jetait ses lunettes et abattait un chien.
C'était l'été, et il voyait le cœur de ses enfants se briser. L'automne revenait, et les enfants de Boo avaient besoin de lui.

Atticus avait raison. Il avait dit un jour qu'on ne connaissait vraiment un homme que lorsqu'on se mettait dans sa peau. Il m'avait suffi de me tenir sur la véranda des Radley.

-Joo Ian ... ! Délégué !
-? Ro Jaeho ...
- Eh ! Ne m'ignore pas ! Tu connais mon petit frère Miho, non ? Il s'est révélé être un oméga.
- ... Et alors ? en quoi ça a un rapport avec moi ?
- Daux rapports, à vrai dire. D'abord ... parce que ton petit frère Joo Jihwan ... s'est révélé être un alpha, pas vrai ? Et en incluant Jihwan , presque tout les membres de ta familles sont des alphas, non ?
-Et alors ? C'est la même chose chez vous , non ? A part Miho...
-C'est pour ça que c'est important.

Eunhoo hyung a été mon premier amour. J'étais complétement confus ce jour - là. Juste après avoir passé la nuit de mes ruts avec lui... Hyung est parti sans dire au revoir ...

Ils disaient que les nouveaux voisins n'allaient pas tarder a emménager. Apparemment c'est pour aujourd'hui. Hyunjun, j'ai entendu dire qu'ils ont un fils de ton âge.
.
*C'est la première fois que je vais le voir*
.
-Bonjour
-Bonjour je m'appelle Hyunjun et à partir de demain je serai en CE1!
-Moi c'est Inho et je suis aussi en CE1! Alors si tu veux, soyons amis.
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*Ce jour là, j'ai rencontré mon meilleur ami*

*Je veux devenir un adulte puissant et digne de confiance. Je veux être un guide fiable pour le futur des élèves. Pour que ce rêve se réalise, moi, Hanyuu, j'ai décidé de devenir professeur. Mais...*

-Encore!? J'ai encore été refusé ! Qu'est ce que fais ?! C'est déjà la 50eme fois !
.
*Je suis déjà trop vieux pour me trouver un petit boulot et je suis pieds et poings liés.*

Chapitres
Prologue : Carpe Diem pour enfants perdus
Chapitre 1 : La disgrâce du lapin blanc
Chapitre 2 : Liens distendus et desseins communs
Chapitre 3 : La veille de l'affrontement
Chapitre 4 : Escarmouche à Daídalos
Interlude : Le sang de Daídalos : les cris dans la nuit et les trois orphelins
Chapitre 5 : Ultra Soul
Chapitre 6 : Machinations divines
Chapitre 7 : Le retour du héros
Epilogue : C'est pour ça que je reprends ma course

Chapitres
Chapitre intermédiaire : Notes Illusoires
Chapitre 1 : Avant la Tempête
Chapitre 2 : Roi de la Tragédie
Chapitre 3 : Ville Agitée
Chapitre 4 : Le Rêve de la Bête
Chapitre 5 : Fou
Épilogue: le Prix d'un Choix

Chapitres
Prologue : Le sang des dieux - Légendes et Familias
Chapitre 1 : Un lapin sous surveillance
Chapitre 2 : Entracte et péripéties
Chapitre 3 : Nouveau monde : le royaume de l'eau
Chapitre 4 : Le chasseur du rivage
Chapitre 5 : La demoiselle du royaume de l'eau
Chapitre 6 : Le héros de la flamme divine
Epilogue : Le retour de la lionne des ouragans

Chapitres
Chapitre Intermédiaire : Ceux qui Commencent à Bouger
Chapitre 1 : Chanson du Désespoir Chanson du Dépassement de Soi
Chapitre 2 : La Voix du marteau
Chapitre 3 : Bonjour Étages Inférieurs.
Chapitre 4 : Palais du Démon Blanc
Chapitre Extra : Souvenirs de la Justice
Chapitre 5 : Intentions meutrières
Chapitre Intermédiaire : Mémoire de Justice
Chapitre 6 : Le Vrai Labyrinthe, Ça Casse ou Ça Casse
Chapitre 7 : À Travers les Mille Ténèbres
Épilogue : Tu Reviendras II

-Mafuyu ? C'est dans tes gênes de toujours débarquer comme ca à l'improviste ? comment as tu su que j'habitais là ?
-Cest Haruki qui me l'a dit. Je savais a quoi m'attendre mais quand même.
-Tu parles du bruit ?
-Pas... Pas que ça.
-Ca faisait une paye qu'on s'était pas revus, hein ? Désolé de pas pouvoir aller au repet', j'ai plus trop le temps entre les exams et mon concours de violon.

-Bon , ce n'est pas la première fois qu'il agit bizarrement. *Il n'est pas de bonne humeur aujourd'hui. Il s'énerve beaucoup.*
-Votre altesse impériale , Monsieur Amon, prenez un cookie.
-Il t'offre des morceaux de feuilles ?!
-Oh !
-Ceci est très onéreux , Monsieur Amon. Ce sont des fleurs rares séchées.
-Quoi ? Ce truc ?!
-Les fleurs devant chez moi seraient plus belles !
.
.*Tombe ...CLANG*
.
-AMON ! Tes pattes n'ont rien ? Tu n'es pas bléssé ?
-Bridie. Pourquoi cet humain est-il venu ? Pourquoi t'a-t-il donné cette invitation ? Et pourquoi t'a-t-il donné ces fleurs séchées ?

-Je ne suis pas un simple chat. Je suis une panthère légendaire.
- C'est vrai ! monsieur Amon est le plus grand et le plus beau du monde entier !
-Cette boule de poils emmêlés pense pouvoir se moquer de la grande panthère légendaire ?!
-Monsieur Amon ! Je viens à votre secours ! Combattons la pelote de laine !
-Votre altesse impériale , monsieur Amon a l'air de bien s'amuser.
-Oui, Lucy. Je ne pensais pas qu'il apprécierait autant.
-Je suis tout emmêlé, aide moi.
-Oh, tu es trop mignon.
-Tu oses toucher mes fesses sacrées ? Tu veux vivre sans ta main ?
-Tu veux me manger la main , c'est ca ? Tu es aussi vorace ?
-Bien sur ! Même maintenant , je pourrais te lécher de la tête au pieds ... te mâcher et t'avaler tout rond !
-Ne me mange pas. Ce ne serait pas bon. Jusqu'a mes onzes ans je n'ai mangé pratiquement que des ordures.
-Des ordures ?
-Oui , les restes de restaurants , du pain dur et moisi... Donc mange plutôt Lucy.

-Je t'vais bien dit que je n'étais pas un chat .
-Un humain ... ? M... Mais... Petit chat... Comment va ta jambe ?
-... J'ai un peu mal.
.
*Il est mignon*
.
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*On dit de ce jeune homme... qu'il est le membre le plus cruel du clan de la panthère légendaire...*
*La panthère noire ... Malgré son jeune âge, a force... est largement au dessus de celle d'un humain.*

-Je vous présente mes hommages votre altesse impériale.
.
*Récemment , l'empire a conclu un traité commercial avec le royaume de Sichilla.*
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-Je vous souhaite la bienvenue au palais. Que la paix soit avec vous.
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*Leur prince ainsi que plusieurs représentants sont venus au palais celébrer cette nouvelle alliance. Ce n'est pas une grande cérémonie mais ... La présence de la famille impériale y est obligatoire.*
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-Vous devez être fier d'avoir d'aussi beaux enfants.

-Sois mignon. Ecarte un peu plus les cuisses.
-Non... Je peux pas plus... Aouh ! A...Arrête... J'en peux plus ... !
-Que j'arrête tu es sérieux ?
-Ha !
-Fiou ... Louis... Tu sais ce que je ressens , là ?
-Ha !
-C'est si serré ...Que je m'y sens aspiré ... Je savais pas que tu étais un tel débauché...

*Je parle comme un papy , c'est ça ? Tu savais qu'a l'étranger les bonsaïs sont considérés comme de l'art? Et les jeunes commencent à s'y intéresser. On en voit même dans les magazines... C'est dur de faire partie d'une minorité ... -Bien qu'en ce moment mêmes les otakus commencent à être mieux vu par le public... *
-Pourquoi pas nous ? Tu es si mignon .
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* Ca fait deux ans que j'ai emménagé à Tokyo pour poursuivre mes études. Ma copine et moi adorons les kokemas mais ma vie d'étudiant est loin de ce que j'imaginais. On me considère comme un vieux ou une personne bizarre...*

Le premier amour n'a pas d'âge. Il peut frapper un petit garçon, nourrir les espoirs les plus fous d'une jeune fille timide, embraser les sens d'un adolescent ou adoucir les jours d'une vieille dame. Il vous touche au hasard d'une cour de lycée, d'un champ de tournesols ou des rues du vieux Cracovie, sur un lit d'hôpital ou dans un bar karaoké en Corse. Il est suave ou fort, calme ou brûlant, se déguste comme une friandise ou se dévore tel un fruit défendu. Parfois interdit, le premier amour abolit les frontières et les conventions. Les déclarations enflammées alternent avec les mots doux et les rires avec les larmes. Il s'écrit, il se crie, il se chante et même s'il se consume, il ne s'oublie jamais. On a toujours envie de murmurer à quelqu'un, comme si c'était la première fois : « Parle-moi d'amour.

*Mon rêve est d'ouvrir ma propre chaîne de restaurants. Du coup , après l'université, j'ai postulé dans cette boîte , parce que le président de cette compagnie est renommé dans ce domaine. Je l'admire depuis longtemps , alors je ne l'ai jamais considéré autrement. Depuis que j'ai commencé à travailler ici, J'ai trouvé le président vraiment compétent. J'ai appris beaucoup de choses grâce a lui , alors j'étais heureux d'avoir fait le bon choix mais ... J'ai découvert qu'il est gay. Je n'ai jamais côtoyé quelqu'un de gay. Et les rumeurs sur lui n'aident pas...

-Tu fumes maintenant ... ?
-Je suis adulte maintenant.
-...
*La vraie raison c'est que je fume pour couvrir l'odeur de tes phéromones. Cependant , je n'aime pas fumer devant quelqu'un qui n'apprécie pas l'odeur. Mais je n'ai pas le choix sinon ... je ne saurais pas résister face à ses phéromones. Heureusement , à chaque inhalation de la fumée, les phéromones de Choi Taegyom se stabilisent.*

-Amon. On a vraiment le droit d'être ici ?
-Comment ça ?
-Et bien tu avais dit qu'il ne fallait pas qu'on soit vus ensemble . Que les anciens te réprimanderaient.
-Bridie tu as oublié qui j'étais ?
-Amon Akeen.
-Non pas ça
-Le vénérable chef des panthères légendaires ?
-Exactement .
-Tu n'as plus besoin de te préoccuper de ce que pensent les autres humains ou panthères.

Je n'ai pas le droit de tomber amoureux. Je l'ai toujours pensé, mais... Comme un orage d'été, il m'a mis sens dessus dessous. Cette douce connexion m'engourdit ... L'homme qui ne me pardonnera jamais , Yan niichan