Harper Lee
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Note moyenne : 8.17/10Nombre d'évaluations : 1 160
1 Citations 567 Commentaires sur ses livres
Interview
Les derniers commentaires sur ses livres

J'aime beaucoup l'idée de traiter de sujets graves et sérieux à travers les yeux et l'innocence de la petite Scout. Elle nous rappelle à quel point certains comportements haineux qu'on peut avoir les uns envers les autres sont en réalité complètement absurdes, alors choisir la période de la ségrégation aux Etats-Unis était un bon moyen de l'illustrer.
J'ai cependant eu du mal à m'accrocher durant certains passages, où j'ai trouvé plus de longueurs, mais j'ai plutôt apprécié ma lecture dans l'ensemble. Peut-être que mes difficultés étaient liées à ma lecture en anglais, et pour le coup l'écriture peut paraître particulière, mais on s'y habitue.
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Je confirme qu'on dirait que le livre est écrit à deux vitesses et/ou l'on peut diviser en deux parties : la première nous décrit l'Amérique des années '50 avec les stéréotypes tels que l'on s'imagine véhiculés par d'autres lectures ou des films. La deuxième partie, un peu plus animée, un peu plus prenante, relativement prévisible, mais toujours émouvante et bouleversante. Un vrai grand classique.
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J'ai vraiment apprécié la lecture de ce livre. Le livre évoque des sujets graves tel que la ségrégation à travers l'innocence d'une petite qui est intelligente et qui tente de comprendre le monde qui l'entoure. Cela donne une histoire touchante et drôle et qui mérite d'être lue rien que pour la prouesse de l'auteure de réussir à nous transporter dans l'histoire grâce une excellente narration.
L'histoire met du temps à ce mettre en place ce qui peut surprendre certains mais ne surtout pas abandonner et le lire jusqu'au bout. Emouvant récit du passage à l'âge adulte de Scout, l'héroïne de "Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur", roman "fondateur" des Etats-Unis. .
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Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur" de lee Harper.
Prix Pulitzer 1961.
Fait partie des 100 livres à lire.
Livre incontournable, sur l'amérique au temps de la ségrégation des noirs en Alabama.
Unique livre de son auteure, qui a toujours démenti lorsqu'on prétendait qu'il était autobiographique.
L'histoire nous est conté aux travers du regard de Scout, une jeune fille de 6 ans/9ans.
Son frère Jem. et son ami Dill...ensemble ils font les 400 coups.
Mais c'est surtout le proces d'un noir Robinson, accusé de viol sur une fille blanche, qui est le sujet central.
Chronique d'une haine ordinaire, des préjugés, du racisme.
La position des femmes dans la société, des pauvres, la religion, les différences etc.
En un mot : Un chef d'œuvre toujours d'actualité.
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Un véritable chef-d’oeuvre ! Si vous ne l’avez pas encore lu, qu’attendez-vous ?
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J'ai trouvé le début du livre très long. Je m'attendais à suivre un procès et en fait l'histoire est surtout à propos de 2 enfants vivant pendant la ségrégation. Le racisme est bien présent en toile de fond, et j'ai trouvé cette partie assez intéressante, mais beaucoup moins palpitant que ce à quoi je m'attendais. En revanche, lorsqu'arrive l'accusation et le procès qui en découle je n'ai plus pu lâcher ce livre et j'ai compris pourquoi il était tant apprécié.
Dans l'ensemble, je dirais que la première partie est nécessaire pour pouvoir aborder la deuxième qui est la plus intéressante.
Ce livre est un témoignage criant de vérité de ce qu'était l'Amérique ségrégationniste et raciste. On voit que même les enfants intègrent les biais des adultes, que ceux qui essaient de lutter contre le racisme sont d'une manière ou d'une autre mis au ban de la société, et que peu importe la vérité, la parole d'un Blanc vaudra toujours plus que celle d'un Noir.
J'ai donc eu un peu de mal avec la narration et le rythme de l'histoire au début (les pérégrinations des enfants, leurs préoccupations et ventures ne sont pas passionnantes), mais cela en valait vraiment la peine.
J'ai vraiment adoré le traitement du procès, les points de vue de Scout et Atticus le jeune, l'espoir que l'on a, oscillant entre utopisme et réalisme.
En bref, je pense que cela peut être bien de le lire une fois dans sa vie.
Petit bémol : je l'ai lu en anglais et les enfants parlant leur argot, ou du moins avec un accent prononcé, j'ai trouvé la lecture un peu difficile.
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Un grand classique de la littérature US.
Très agréable à lire.
Cela part comme un chef d'oeuvre," Zazie dans le Bayou," malheureusement, le dénouement est sans surprises et manque d'une petite dose de génie.Dommage.
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Il me faut toujours une bonne raison pour lire un livre : une critique élogieuse, un auteur que j’adore, un fait d’actualité… Cette fois, c’était ce dernier cas. J’avais lu un article mentionnant que les États-Unis avaient interdit certains livres en 2022, et celui-ci en faisait partie, tout comme Maus, que j’avais lu à l’époque.
En découvrant cet ouvrage, je me suis demandé tout au long de ma lecture ce qui avait bien pu choquer !
Je pense que cette haine envers les personnes de couleur est une part de leur histoire… Peut-être que leur principal défaut est de ne pas admettre leur rejet de cette population. À force, ils en ont peut-être honte… du moins, je l’espère, mais j’en doute.
Je pensais que les États-Unis étaient ouverts d’esprit, mais je réalise que restreindre certaines libertés est plus que jamais d’actualité…
Ne faisons pas de politique, ce n’est pas mon intention.
La littérature est faite pour provoquer des émotions, des réflexions et des débats, pas pour être censurée.
Bonne lecture !
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Très surpris par ce livre en BD , livre que je n'aurais probablement pas lu en roman, j'ai perdu quelques larmes . Un livre qui parle des années 1930 et pourtant cela se passe encore de nos jours et cela continuera probablement .
Que veut dire l'oiseaux moqueur ? Réponse dans le livre .
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J'ai vraiment apprécié la lecture de ce livre. Le livre évoque des sujets graves tel que la ségrégation à travers l'innocence d'une petite qui est intelligente et qui tente de comprendre le monde qui l'entoure. Cela donne une histoire touchante et drôle et qui mérite d'être lue rien que pour la prouesse de l'auteure de réussir à nous transporter dans l'histoire grâce une excellente narration.
L'histoire met du temps à ce mettre en place ce qui peut surprendre certains mais ne surtout pas abandonner et le lire jusqu'au bout.
Afficher en entierOn parle de Harper Lee ici :
2018-01-01T12:42:09+01:00
2017-02-09T19:51:54+01:00
2016-09-12T18:03:50+02:00
2016-05-02T22:04:20+02:00
2016-02-22T20:09:54+01:00
2011-07-24T21:26:43+02:00
Les gens aiment aussi
Dédicaces de Harper Lee
et autres évènements
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Editeurs
LGF - Le Livre de Poche : 4 livres
Grasset : 3 livres
HarperCollins : 3 livres
Arrow Books : 3 livres
Julliard : 1 livre
Editions de Fallois : 1 livre
France Loisirs : 1 livre
Seghers : 1 livre
Biographie
Années d'études [modifier]
Nelle Harper Lee naît le 28 avril 1926 à Monroeville, une ville de 7 000 habitants dans le sud-ouest de l'Alabama. Son père, Amasa Lee, est avocat et éditeur du Monroe Journal ; il a de nombreuses ressemblances avec Atticus Finch, le père de la narratrice dans Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur. Enfant, Lee était un garçon manqué et une lectrice précoce. Elle était amie avec son voisin et camarade d'école Truman Capote.
Après ses études secondaires au lycée de Monroeville, elle fait de 1945 à 1949 des études de droit à l'université d'Alabama, qu'elle décide d'arrêter pour aller vivre a New York avec l'intention de devenir écrivain. Bien qu'elle n'obtienne pas de diplôme, elle part ensuite pour Oxford, puis revient s'installer à New York en 1950.
Son apport à De sang-froid [modifier]
Lee Harper travaille quelque temps à New York comme employée de bureau dans une compagnie aérienne où elle se charge des réservations. Mais bientôt elle décide de se lancer dans une carrière d'écrivain, avec le soutien moral et financier de ses amis. Truman Capote l'entraîne en 1959 dans l'écriture d'un roman sur un quadruple meurtre, qui va devenir De sang-froid (In Cold Blood). Elle l'accompagne à Holcomb (Kansas) pour l'aider dans ses recherches. Elle l'assiste pendant les entretiens, jouant notamment un rôle apaisant auprès de ceux qui étaient surpris de la personnalité excentrique de Capote. Elle est toujours là pour encourager l'écrivain lorsqu'il menace d'abandonner un projet aussi ample et épuisant. Capote la cite en la remerciant pour son "travail de secrétaire" et lui dédie le roman, ainsi qu'à son amant Jack Dunphy.
Son œuvre [modifier]
Manifestation raciste à Little Rock, 1959
En 1957, elle présente à son agent un premier manuscrit. Celui-ci est plus proche du recueil de nouvelles que du roman, et c'est sur les conseils de son agent qu'elle va, pendant deux ans et demi, développer l'une d'elles. To kill a Mockingbird, paru en 1960, est son seul livre publié. Le succès est immédiat, et le livre est couronné par le Prix Pulitzer en 1961. Plaidoyer pour la justice, le roman paraît à l'époque où la reconnaissance des droits civiques des afro-américains, et notamment l'abolition de la discrimination de facto dans des établissements d'enseignement provoque des manifestations conservatrices violentes.
Lee Harper cesse ensuite de publier des romans. Quelques articles et essais paraissent sous sa signature, entre autres dans Vogue. Son silence et sa très grande discrétion depuis la parution de son unique livre alimentent les rumeurs, d'autant plus qu'elle aurait déclaré s'être mise à la rédaction d'un second roman peu après "Ne tirez pas sur l'oiseau-moqueur". Les bruits courent parmi ses admirateurs qu'elle aurait écrit plusieurs romans, sans en publier aucun, ou qu'elle aurait continué à publier sous un pseudonyme.
Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur est adapté au cinéma sous le titre Du Silence et des Ombres.
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