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Je me retournai pour me serrer contre Jamie. Il était chaud et dégageait une agréable odeur de feu de bois et de whisky, mêlée à un léger effluve de virilité. Le parfum de sa peau me faisait frémir. Je m’étirai, très lentement, cambrant les reins pour frotter mon bassin discrètement contre ses hanches. S’il était profondément endormi ou s’il était peu enclin à la chose, il ne s’en apercevrait même pas, mais dans le cas contraire…

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Je me mis à rire.

- Tu n'es qu'un bandit, Jamie Fraser

- Un bandit? Dit-il faussement vexé. Je suis un homme parfaitement honnête, sassenach, du moins quand j'en ai les moyens .

Il regarda derrière lui pour s'assurer que personne ne l'avait entendu.

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Roger descendit lentement le versant vers leur propre campement. En chemin, il échangea des salutations avec les personnes qu'il croisait, recevant leurs mots de félicitations sans vraiment les entendre.

« Il y aura une prochaine fois », avait-elle dit. Il tournait et retourner ces paroles dans sa tête, les faisant résonner comme une poignée de pièces au fond de sa poche. Elle n'avait pas voulu uniquement le tranquilliser, elle le pensait vraiment. À ses yeux, cette promesse représentait désormais encore plus que les voeux échangés lors de leur première nuit de noces.

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- Le jour viendra peut-être où la vie nous sépara. Mais pas aujourd’hui.

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Jamie se serra un peu plus contre moi, os doigs s’entrelaçant. Relevant les yeux vers lui, je lus dans les siens la même promesse que celle qui résonnait dans ma tête :

- … tou au long de notre vie.

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Extrait ajouté par Alyer 2024-02-16T10:53:06+01:00

J'ai traversé la guerre et j'y ai beaucoup perdu.

Je sais ce qui mérite qu'on se batte et ce qui ne le vaut pas.

L'honneur et le courage sont inscrits dans nos os. Les raisons pour lesquelles un homme tue sont parfois les mêmes que celles pour lesquelles il est prêt à mourir.

Voici pourquoi, ô mon frère, la femme a des hanches larges. Son bassin osseux abrite un homme et son enfant. La vie d'un homme jaillit de ses os et c'est dans son sang que son honneur prendra un nom.

Rien que pour l'amour, je serais prêt à marcher à nouveau dans le feu.

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– Quand le jour viendra où nous devrons nous séparer, si mes dernières paroles ne sont pas «je t'aime »... ce sera parce que je n'aurai pas eu le temps de les prononcer.

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– Mais tes autres choix ? Tous ceux qui t'ont conduit jusqu'ici ? Ils étaient bien réels... et, si tu veux mon avis, sacrément courageux !

Il pivota sur sa chaise pour me faire face, souriant faiblement. Sa main trouva la mienne et ses doigts se mêlèrent aux miens.

– Oui, on en sait quelque chose, pas vrai, Sassenach ?

Je m'assis près de lui, ma main sur sa cuisse, la sienne sur la mienne. Nous restâmes ainsi un moment, observant les nuages chargés de pluie s'amonceler au loin au- dessus de la rivière, telle la menace d'une guerre lointaine. Je compris alors que, choix ou pas, cela reviendrait probablement au même.

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– Vous m'avez appelé lors du gathering, poursuivit - il sans baisser les yeux.

– Seas vi mo lâmh, Roger an t'oranaiche, mac Jeremiah mac Choinnich, récita doucement Jamie. Oui, c'est vrai. « Tiens - toi à mes côtés, Roger le chanteur, fils de Jeremiah. »

– Seas vi mo lâmh, a mhic mo thaighe, répondit Roger. « Tiens - toi à mes côtés, fils de ma maison. » Vous étiez sincère ?

– Tu sais bien que oui.

– Alors, moi aussi.

Il posa une main sur l'épaule de Jamie. Je vis les articulations de ses doigts blêmir tandis qu'il la serrait.

– Je me tiendrai à vos côtés. Nous resterons.

Près de moi, Brianna libéra son souffle, son soupir se confondant avec celui du vent.

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– Parfait ! avait sifflé Brianna, les poings sur les hanches. Tu veux du repos ? Grand bien te fasse ! Tu as pensé à maman et à moi ? Tu crois que nous connaîtrons le repos une fois Roger et toi morts ?

– Tu préfères un comportement de lâche ?

– Oui !

– Non ! Tu le dis maintenant uniquement parce que tu as peur !

– Bien sûr que j'ai peur ! Maman aussi, même si elle ne le dit pas, parce qu'elle sait que tu partiras quand même !

– Elle a raison. Elle me connaît depuis suffisamment longtemps.

Il m'avait regardée du coin de l'œil avec un petit sourire, mais j'avais tourné la tête, fixant les mâts des navires ancrés dans le port pendant qu'ils continuaient à se quereller.

Finalement, Roger était intervenu, profitant d'un moment d'accalmie. Brianna tentait de reprendre son souffle.

– Brianna, avait - il dit doucement. Je ne peux pas laisser cet homme vivre dans le même monde que celui de mes enfants et de ma femme. Partirons - nous avec ta bénédiction... ou sans elle ?

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