Vous utilisez un bloqueur de publicité

Cher Lecteur,

Nous avons détecté que vous utilisez un bloqueur de publicités (AdBlock) pendant votre navigation sur notre site. Bien que nous comprenions les raisons qui peuvent vous pousser à utiliser ces outils, nous tenons à préciser que notre plateforme se finance principalement grâce à des publicités.

Ces publicités, soigneusement sélectionnées, sont principalement axées sur la littérature et l'art. Elles ne sont pas intrusives et peuvent même vous offrir des opportunités intéressantes dans ces domaines. En bloquant ces publicités, vous limitez nos ressources et risquez de manquer des offres pertinentes.

Afin de pouvoir continuer à naviguer et profiter de nos contenus, nous vous demandons de bien vouloir désactiver votre bloqueur de publicités pour notre site. Cela nous permettra de continuer à vous fournir un contenu de qualité et vous de rester connecté aux dernières nouvelles et tendances de la littérature et de l'art.

Pour continuer à accéder à notre contenu, veuillez désactiver votre bloqueur de publicités et cliquer sur le bouton ci-dessous pour recharger la page.

Recharger la page

Nous vous remercions pour votre compréhension et votre soutien.

Cordialement,

L'équipe BookNode

P.S : Si vous souhaitez profiter d'une navigation sans publicité, nous vous proposons notre option Premium. Avec cette offre, vous pourrez parcourir notre contenu de manière illimitée, sans aucune publicité. Pour découvrir plus sur notre offre Premium et prendre un abonnement, cliquez ici.

Livres
723 119
Membres
1 047 922

Nouveau ? Inscrivez-vous, c'est gratuit !


Inscription classique

En cliquant sur "Je m'inscris"
j'accepte les CGU de booknode

Les commentaires de Telesia

Lu aussi

​Olivier Bron est auteur-compositeur. Passionné des mots et de leur mélodie, il s’engage sur une nouvelle voie en les couchant sur le papier pour un tout autre projet : son premier roman. De ce dernier émane un message tout à fait particulier, tandis qu’il dépeint la société qui l’entoure de sa plume acerbe et poétique. Il traite de la condition humaine avec une ferveur que son protagoniste reflète avec perfection, une façon pour lui d’étendre son influence grâce à une passion des lettres dont il ne saurait se défaire. Samuel Applegreen, sous-titré La somme de ce que nous sommes, paraît le 6 décembre 2018 chez Librinova.

UNE VERITE DEGUISEE

​Samuel Applegreen. A l’aubre de ses 39 ans, il enchaîne les boulots faciles pour compenser ses lacunes financières. Comédien, étudiant en philosophie dans sa jeunesse, sa personnalité alimente le paradoxe de l’artiste, selon lequel « l’animal n’était pas simple à suivre mais l’humain palliait tout ». Rêveurs ces poètes. Aussi Samuel est-il le narrateur d’un récit très saccadé, dont la prose se fait au rythme de son créateur, compositeur, musicien. De quoi faire perdre et pied et haleine à un lecteur pourtant subjugué par l’histoire excentrique de ce protagoniste tout aussi extravagant. Si cet Applegreen décide soudainement de se livrer au monde de l’édition, c’est parce qu’il nourrit une rancune sans borne. La source de sa déchéance ? Le directeur d’Optic Progress.

Article complet : https://gourmandiseslitteraires.weebly.com/chroniques-litteacuteraires/samuel-applegreen

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Telesia 2019-07-02T16:58:51+02:00
Lu aussi

​ « Lorsque j’ai vu ce fil, je n’ai pas pu m’empêcher de tirer dessus. »

Gilles Marchand possède cette plume envoutante, dont la sensibilité fait sa caractéristique. De son recueil de nouvelles se dégage une curiosité infantile et innocente, des quêtes grandioses plein l’esprit. Des Mirages Plein Les Poches, ce sont ces petites bêtises sans importance concrète et qui, pourtant, font valoir un goût de l’aventure prononcé. Ce sont une brocante d’été, une balade au milieu de meubles d’une autre génération, pleins de souvenirs et de nostalgie heureuse. Ce sont deux demi-truites. Mais surtout, ce sont des narrateurs.

​Exclusivement narrées à la première personne, les nouvelles de Gilles Marchand entretiennent l’anonymat du protagoniste principal – d’ailleurs généralement l’unique. Sans qu’il ne soit jamais nommé de quelconque façon que ce soit, en vient à se poser la question suivante : ne s’agirait-il pas d’un unique narrateur, aux différentes étapes de sa vie ?

La particularité de ce narrateur anonyme réside dans ses objectifs de vie. Trouver un super héros, meubler sa maison toute neuve… Mais au fond, ses fantasmes ne sont que le reflet d’aspirations et d’espoirs bien plus grands, bien plus profonds, et certainement inaccessibles. En outres, si la plume de Gilles Marchand est des plus légères et des plus touchantes, il s’agit in fine d’un recueil très sombre. Une boucle sans fin, où l’homme est en quête de reconnaissance. Comme un Chevalier Sans Nom sous quatre murs infranchissables, nourrit de rancune et de regrets seulement, assailli de tristesse si présente qu’elle en devient inconsciente.

Article complet : https://gourmandiseslitteraires.weebly.com/chroniques-litteacuteraires/des-mirages-plein-les-poches

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Telesia 2019-07-01T17:38:00+02:00
Lu aussi

Publié au format numérique pour la première fois le 13 mai 2015, L’Arlésienne offre un second souffle au roman de Lucille Cottin, et réédite Freddy Stratton sur papier cette fois fin mai 2019. Née à Metz en 1988, Lucille dédie ses études aux lettres ainsi qu’à l’édition. Passionnée d’écriture évidemment, mais aussi de photographie et de dessin, elle lie ses centres d’intérêt et tisse des récits d’autant plus surprenants qu’ils lui permettent de remporter plusieurs concours. Ses nouvelles et novellas sont publiées chez L’Arlésienne.

♦ Banquier à la Philipp's & Phil

​Freddy Stratton, protagoniste principal et narrateur de l’œuvre de Lucille Cottin, a tout du Londonien moyen : un emploi, un logement, et pas mal de temps libre pour vaquer à ses occupations. Et en effet, lorsqu’il n’est pas banquier à la Philipp’s & Phil, il est détective privé dont son unique employeur n’est autre que lui-même. Son passe-temps favori vous l’aurez compris consiste à fouiner dans les comptes de ses clients dans le but de déterrer quelque affaire anormale.

Cela dit sa perception extraordinaire n’est pas gratuite, et Freddy Stratton a comme un côté excentrique poussé.

« J’avais pour habitude de ne m’adresser qu’aux objets »

​Et tout particulièrement aux petits fours qu’il sert à ses clients. Ses extravagances sociales sont sa source de divertissement, si bien qu’il a tendance à rire au nez de ses interlocuteurs lorsque sa propre attitude vient à le faire sourire. Un aspect du récit dont la singularité souligne les problématiques sérieuses des intrigues d’une dimension humoristique des plus comiques.

« Un esprit malsain dans un corps sain »

​C’est ainsi que le banquier trentenaire se définit, lui qui fuit les couleurs et le beau temps, au profit des fleurs fanées et des orages. Un récit des plus sarcastiques, reflet d’une personnalité solidement montée contre les « ridicules conventions de la société ».

--

♦ Trois affaire en 1931

​>Lord Audric Morbay

En Juillet 1931, Freddy Stratton fait la connaissance d’un Lord qu’il qualifie spontanément d’« idiot qui croyait à l’amour […], un nouveau riche ». Si celui-ci devient sou peu son client principal, la relation que le banquier mène avec son interlocuteur est tout à fait atypique. En effet, tout l’aspect professionnel de leurs échanges est passé sous silence, puisque tout porte très rapidement sur des enjeux d’ordre plus personnel.

Une enquête insensée qui n’est pas sans rappeler celles du célère et fougueux Hercule Poirot, une bonne dose de sarcasme en plus.

> ​Les Picassos

L’affaire Morbay classée, ce n’est qu’en Novembre 1931 que Freddy Stratton reprend du service vis-à-vis de son second emploi imaginaire, tandis que « cet Allemand, qui venait régulièrement déposer aux coffres les présents qu’un ami lui faisait » lui découvre soudainement un côté bien sympathique.

L’artiste que le banquier se revendique être en est quelque peu froissé, puisque ce nouveau compagnon de fin d’après-midi le confronte pour la première fois à un autre dessinateur amateur que lui-même. Une nouveauté pour l’employé de la Philipp’s & Phil qui s’en voit terriblement déstabilisé. Tourment qu’il se force de dissimuler en tentant tant bien que mal de se défaire de l’emprise de son client, envers lequel il entretient de nombreux stéréotypes. Jusqu’au jour où l’être qu’il avait toujours décidé niais témoigne en réalité d’une ruse particulièrement déroutante.

Freddy Stratton s’en voit confronté à un esprit perspicace et manipulateur à son instar, une véritable épreuve pour ce banquier auquel on ne tarde de s’attacher.

> ​Les têtes coupées

« Tiens ! Vous avez un nouveau voisin ? »

De quoi attirer l’œil du banquier enquêteur. Aucune relation avec le travail cette fois-ci, du moins pas au premier regard. Nous sommes en Décembre 1931, et Stratton s’autorise enfin à faire part à son lecteur de son physique si mystérieux.

D’un côté, le banquier excentrique détaché de tout. De l’autre, un être sensible aux origines difficiles. Freddy Stratton s’accepte alors qu’il est confronté à une affaire qui le dépasse. Il se voit contraint de s’avouer ses pires craintes, et de prendre conscience de certaines attaches dont il a éperdument besoin.

Cette fois, ce sont les motivations personnelles de Stratton qui le poussent à s’intéresser à quelques manigances des plus sombres. Une enquête particulièrement macabre, mettant en exergue le génie fou du protagoniste de Lucille Cottin. A travers désillusions et traîtrises, s’en sortira-t-il indemne ?

--

Un ensemble de trois novellas, chacune narrée par cet excentrique attachant. Une réussite incontestable de Lucille Cottin qui publie ainsi un roman de qualité, qui gagne à être connu.

« Remerciements tous particuliers à l’auteure et à sa maison d’édition pour cette belle découverte. » --Telesia

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Telesia 2018-11-01T13:37:24+01:00

https://gourmandiseslitteraires.weebly.com/chroniques-litteacuteraires/meurtre-au-manoir-des-fees

Le contraste entre la rêverie et l’horreur a toujours un effet bien particulier. Entre malaise et environnement malsain, il s’agit de mettre en place une ambiance glauque. Meurtre au manoir des fées illustre à merveille le principe. Delphine Biaussat y transcrit un récit organisé simplement, en y faisant vivre de nombreux protagonistes. Sa maitrise du scénario lui permet d’instaurer un mystère pesant qui demeurera jusqu’au bout la clé de l’intrigue.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Telesia 2018-11-01T13:32:22+01:00

https://gourmandiseslitteraires.weebly.com/chroniques-litteacuteraires/les-survivants-daglot

De par son titre et sa quatrième de couverture – il n’empêche un tant soit peu révélatrice –, Les survivants d’Aglot est un roman qui attire. Œuvre à mystères, elle se décompose en toute logique en deux phases plus ou moins distinctes. Elle est d’une Fantasy légère et abordable, agréable. Delphine Biaussat offre à ses lecteurs un récit simple accessible à tous.

Afficher en entier
Commentaire ajouté par Telesia 2018-11-01T13:21:09+01:00

Magie interdite est un récit emprunt de valeurs et de légèreté. C'est avec plaisir que je me suis lancée dans sa lecture, et j'ai tout simplement adoré. J'ai également eu l'occasion d'échanger avec Delphine BIAUSSAT, l'auteur. Vous trouverez mon avis détaillé sur ce lien : https://gourmandiseslitteraires.weebly.com/chroniques-litteacuteraires/magie-interdite

Afficher en entier

26 résultats