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Les extraits appréciés par loveroman12345

(Zoey & Heath).

[...]

- Tu as apporté des vieux Kleenex usagés au paradis ? Sérieusement ?

- Ils ne sont pas usagés, fit-il, l'air vexé. Enfin, pas trop.

Je secouai la tête et m'essuyai le visage.

- Mouche-toi. Tu as le nez qui coule. Tu es toujours pleine de morve quand tu pleures. C'est pour ça que j'ai toujours des Kleenex sur moi.

- Oh, arrête ! Je ne pleure pas tant que ça, répliquai-je, oubliant momentanément qu'il était mort.

- Oui, mais quand tu pleures, tu as le nez qui coule, insista-t-il. Je dois être prêt.

Je le dévisageai, et la réalité me frappa de plein fouet.

- Alors, comment je vais faire si tu n'es plus là pour me donner tes vieux mouchoirs ? lâchai-je, prise de sanglots. Et pour me rappeler ce qu'est l'amour, ce que c'est, d'être humain, d'être chez moi ?

Je pleurais de nouveau à chaudes larmes.

- Oh, Zo. Tu t'en sortiras toute seule. Tu es une super grande prêtresse, n'oublie pas.

- Je ne veux pas être une grande prêtresse, dis-je en toute honnêteté. Je veux être Zoey, et je veux rester ici avec toi.

- C'est seulement une partie de toi qui veut ça. Hé, peut-être que cette partie-là a besoin de grandir, dit-il d'une voix douce.

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-Sérieusement, Erce, je ne le répéterais pas : je me moque de vos règles débiles. Zoey est là-dedans, donc je vais entrer

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Cette fois, il ne se remettrait pas tout seul.

Zoey : -Hé, je sais ce que tu dois faire.

Il ouvrit les yeux.

Strak : -Dis-moi. Si j'en suis capable, je le ferai.

Je lui souris.

-Je veux que tu me mordes.

Il parut surpris, puis il sourit de nouveau.

-C'est maintenant que tu me le propose ? Quand je suis dans un état lamentable ? Super !

-Arrête un peu. C'est justement parce que tu es dans un état lamentable que je te le propose.

-Je te ferais changer d'avis si j'étais en forme.

Je secouai la tête et levai les yeux au ciel.

-Si tu était en forme, je te collerais une gifle !

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(Aphrodite & Darius).

[...]

- Tu penses que je peux m'attirer des ennuis ?

Il haussa les sourcils.

- Bien sûr.

- Ecoute, je ne plaisante pas.

- Moi non plus.

- Pourquoi ? Parce que je dis ce que je pense ?

- Non, ma beauté, parce que tu te sers des mots comme d'un poignard, et dégainer un poignard peut en effet causer des ennuis.

Elle se laissa tomber sur le grand lit à baldaquin en faisant la moue.

- Dans ce cas, pourquoi tu m'aimes bien ?

Il s'assit à côté d'elle et lui prit la main.

- As-tu oublié que le poignard était mon arme favorite ?

Aphrodite le regarda dans les yeux, se sentant soudain vulnérable.

- Sérieusement. Je suis une garce. Tu ne devrais pas m'apprécier, comme la plupart des gens.

- Les gens qui te connaissent vraiment t'apprécient. Et ce que je ressens pour toi est bien plus fort que ça. Je t'aime, Aphrodite. J'aime ta force, ton sens de l'humour, la profondeur de l'amitié que tu portes à tes amis. Et j'aime ce qui a été brisé en toi et qui commence à guérir.

Aphrodite soutenait toujours son regard, les yeux pleins de larmes.

- Tout ce qui fait de moi une terrible garce.

- Tout ce qui fait de toi ce que tu es.

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Extrait page 81 à 83. (Rephaïm et Lucie)

"Tu pourrais recommencer à bavarder, pendant que tu fais mon bandage?

- Bavarder? De quoi tu parle?

Il l'avait regarder par-dessus son épaule, et elle aurait juré avoir vu un sourire dans ses yeux.

"Tu parle, Lucie, tu parle beaucoup. Alors vas-y! Ça me fera un truc plus agaçant que la douleur à maudire."

Elle avait ronchonné, mais cela l'avait amusée. Et elle n'avait cessé de parler en nettoyant, bandant et immobilisant son aile cassée. Elle avait dit tout et n'importe quoi en partageant sa douleur. Lorsqu'elle avait eu terminé, il l'avait suivit lentement, en silence, jusqu'au manoir abandonner, et elle avait essayer de rendre sa cachette plus confortable en y entassant des couvertures.

"Tu dois y aller, l'avait-il pressé. Ne t'en fais pas pour ça."

Il lui avait pris la dernière couverture de la main et s'était pratiquement effondré dans le placard.

"Bon, j'ai mis le sac de nourriture juste là. Et n'oublie pas de boire beaucoup d'eau et de jus de fruits. il faut que tu t'hydrates."

Soudain, l’inquiétude l'avait envahie à l'idée de le laisser seul dans cet

état, faible et épuiser.

"D'accord, avait-il dit. Va-t'en.

-J'y vais. Mais j'essayerais de revenir demain."

Alors qu'elle s'apprêtais à partir, il avait repris la parole.

"Tu devrais contacter ta mère."

Elle s'était arrêtée.

"Pourquoi?

-Tu n'as pas arrêté de parler d'elle pendant que tu faisait mes bandages. Tu ne t'en souviens pas?

-Non. Si. Je crois que je ne faisait pas vraiment attention à ce que je disais en m'efforçant de terminer le plus vite possible.

-Je t'ai écoutée, toi, plutôt que la douleur.

-Oh!"

Elle n'avait pas su quoi répondre.

"Tu as dit qu'elle te croyait morte. Je..."

Il s'était tu, perplexe, comme s'il essayait de déchiffrer une langue inconnue.

"Je pense qu'elle aimerait savoir que tu es en vie, tu ne crois pas?

-Si."

Ils s'était regardés un long moment.

"Au revoir. N'oublie pas de manger! " avait-elle lancé avant de se sauver en courant.

"Pourquoi est-ce que j'ai paniqué quand il a parlé de ma mère? " se demanda t-elle à voix haute.

Elle connaissait la réponse, et elle ne voulait pas prononcer ces mots. Il s'était intéressé à ce qu'elle lui avait dit; il avait compris que sa mère lui manquait.

Alors qu'elle se garait sur le parking de la Maison de la Nuit et qu'elle sortait de la voiture de Zoey, elle s'avoua que ce qui l'avait fait paniquer, c'était les sentiment que la sollicitude de Rephaïm avait éveiller en elle. Elle était heureuse qu'il se soucie d'elle, et elle savait que c'était dangereux d'être heureuse qu'un monstre tiennent à elle.

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-je suis ton consort oui ou non?

-tu es mon consort.

Raphaim ne se rendit compte qu'il avait retenu son souffle qu'en poussant un long soupir de soulagement.

-alors viens avec moi. je ferai en sorte que personne ne te dérange aujourd'hui.

- merci, dit-elle avant de se glisser dans ses bras.

il la serra contre lui alors que ses ailes puissantzs les emportaient dans le ciel.

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- Des mensonges rapportés par une adolescente jalouse, qui avait si peu de contrôle sur elle-même que son âme éternelle s'est brisée ! cracha Neferet.

- Espèce de... hurla Stark en faisant mine de se précipiter sur elle.

Neferet ne tressaillit même pas. Elle leva la main dans un geste élégant, paume tournée vers lui. Alors qu'il se débattait pour se libérer des bras de Darius, Stark crut voir de la fumée noire se matérialiser autour de ses doigts.

- Arrête, Stark !

Aphrodite se planta devant lui. Stark savait qu'elle était l'amie de Zoey, mais si Darius ne l'avait pas retenu, il n'aurait pas hésité à la pousser sur le côté pour atteindre Neferet.

- Stark ! cria-t-elle. Ce n'est pas comme ça que tu vas aider Zoey !

Alors elle fit quelque chose qui le surprit totalement, et qui choqua aussi son combattant, à en juger par la façon dont il retint son souffle. Elle prit son visage entre ses paumes lisses et le força à la regarder dans les yeux, avant de murmurer des mots qui allaient changer sa vie :

- Je sais comment la sauver.

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Spoiler(cliquez pour révéler)

-J'aimerais rester avec toi, murmura Rephaïm.

Lucie le regarda d'un air interrogateur. Quand elle eut saisi le sens de ces mots simples, elle ressentit une bouffée de joie inattendue.

-Moi aussi, je veux que tu restes avec moi, mais ça ne va pas être facile, dit-elle.

-Ils vont essayer de me tuer.

-Je ne les laisserai pas faire! s'écria-t-elle en lui prenant la main.

Très lentement, il glissa ses doigts entre les siens, et l'attira vers lui

-Je ne les laisserai pas faire, répéta-t-elle.

Elle ne le regardait pas, se contentant de lui tenir la main et de profiter de ce moment. Elle ne voulait pas réfléchir ; elle ne voulait pas tout remettez en question. Elle fixait l'eau npre et immobile de la fontaine en pensant:"Je suis une fille liée à l'humanité d'une bête."

-Je suis liée à toi, Rephaïm.

-Et moi à toi, Lucie.

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Tenir aux autres ne faisait pas de moi quelqu'un de faible. C'étaient les choix décidés par ma sensibilité qui définissaient la personne que j'étais. J'avais laissé l'amour me briser, et, alors que Kalona s'adonnait à un jeu cruel avec mon combattant, mon gardien, je décidai de laisser l'honneur me guérir.

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Il toucha ma joue à nouveau, juste du bout des doigts, et de nouveaux frissons m’envahirent. Il examina ma blessure avec attention et reposa ses incroyables yeux noirs sur moi. À cet instant, je compris que j’étais officiellement tombée amoureuse de lui.

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